Une deuxième grève vient de commencer à la Société de transport de Montréal (STM), alors que celle des 800 professionnels s’ajoute à celle des 2400 employés d’entretien.
Une nouvelle halte-chaleur d’urgence entrera en service dès vendredi, dans Mercier–Hochelaga-Maisonneuve. Mais plusieurs citoyens craignent une « concentration de l’itinérance » dans l’arrondissement, et redoutent que le projet « temporaire » devienne une ressource permanente.
La Ville de Montréal ira finalement de l’avant avec la démolition de l’immense rampe de l’incinérateur des Carrières, malgré les préoccupations patrimoniales. Des citoyens s’inquiètent du bruit des travaux, qui s’échelonneront jusqu’au printemps prochain.
La mairesse de Montréal, Soraya Martinez Ferrada, promet de se battre au côté des immigrants menacés d’expulsion par l’abolition du Programme de l’expérience québécoise (PEQ). Elle dit vouloir discuter avec le gouvernement Legault pour « trouver une voie de passage ».
Grand gagnant de la course au chargement de la neige, le maire d’Anjou et nouveau patron du déneigement à Montréal, Luis Miranda, pense avoir son mot à dire dans la façon d’opérer à l’échelle de la ville.
Une partie de la hausse de taxes imposée en 2026 par la Ville de Longueuil servira à dédommager les victimes d’agressions sexuelles commises par un coach sportif municipal entre les années 1970 et 1990.
Le Tribunal administratif du travail juge suffisants les services essentiels qui seront dispensés lors de la grève des professionnels, qui aura lieu à la Société de transport de Montréal (STM) à compter de la nuit de mardi à mercredi.
Les chauffeurs d’autobus, opérateurs de métro et agents de station de la Société de transport de Montréal ont un nouveau contrat de travail, alors qu’ils ont approuvé l’entente de principe intervenue avec leur employeur.
L’arrivée tardive de l’hiver ces dernières années avait considérablement raccourci la saison du patinage. Cette fois, le froid est déjà bien installé, mais la Ville de Montréal n’a ouvert qu’une poignée de patinoires. Elle promet de mettre les bouchées doubles d’ici au congé des Fêtes pour pouvoir accueillir les patineurs.
Les nouveaux trottoirs ne sont pas plus beaux, mais coûtent 72 % plus cher à construire qu’il y a dix ans. Et la facture pour bâtir un chalet de parc est deux fois plus salée. Cette explosion, qui touche tous les projets municipaux, est due à la hausse des prix dans la construction, mais aussi à l’ajout de normes et à l’amélioration des bâtiments, révèle une étude commandée par l’Union des municipalités du Québec (UMQ), qui parle d’un constat « clair et brutal ».
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