Uber au prix doublé, gradins vides dans les stades, usagers mécontents : la grève des chauffeurs d’autobus et de métro de la Société de transport de Montréal (STM) a causé des perturbations, samedi. Pour la première fois en 38 ans, aucun métro ni autobus n’a circulé, et ce, pendant toute la journée.
C’est une victoire importante pour le milieu culturel. L’emblématique salle de spectacle La Tulipe pourra recommencer à faire du bruit, vient de trancher la Cour supérieure.
La frustration est palpable dans le métro et les autobus de Montréal, à quelques heures du début d’une longue grève qui s’annonce jusqu’au 28 novembre. Pour la plupart des usagers, le transport collectif devrait être réellement traité comme un service essentiel.
Sous pression, la Société de transport de Montréal (STM) assure « tout mettre en œuvre » pour éviter ou raccourcir la grève qui s’annonce en novembre. Le transporteur ouvre maintenant la porte à la nomination d’un arbitre afin de mettre fin au conflit de travail, qui perturbera les déplacements de milliers d’usagers.
Une nouvelle grève des employés d’entretien perturbera le service du métro et des bus de Montréal durant tout le mois de novembre à l’extérieur des heures de pointe. À court terme, le transport collectif sera même totalement inexistant ce samedi, une première en presque 40 ans. Pour vous aider à vous y retrouver, voici un petit guide pratique.
Seulement un quart des résidants de l’île de Montréal parlent uniquement en français avec leurs proches sur une base régulière. N’empêche, au travail et dans les commerces, le français continue d’être la langue employée par une majorité.
Il n’y aura aucun transport collectif samedi à Montréal. Le tribunal vient d’autoriser les chauffeurs d’autobus et de métro à débrayer durant toute la journée, ce qui forcera l’interruption du service pendant plus de 24 heures.
Une tempête parfaite s’annonce en novembre dans le transport collectif. La grève des employés d’entretien pourra bel et bien se tenir durant tout le mois, vient de trancher le tribunal. Le métro et les autobus ne passeront donc pas en dehors des heures de pointe du 1er au 28 novembre. Et déjà une autre grève, celle des chauffeurs, s’organise.
Une longue grève s’annonce à la Société de transport de Montréal (STM), alors que le service pourrait être limité aux heures de pointe du 1er au 28 novembre. Une question s’impose donc : vaudra-t-il la peine de prendre une carte mensuelle ? Ou sera-t-il préférable d’acheter des billets à l’unité, au besoin ? La Presse a fait le calcul.
À 20 jours de la mise en service de l’antenne Deux-Montagnes du Réseau express métropolitain (REM), les responsables ont confiance de ne pas voir les ratés se multiplier. Les leçons des deux dernières années ont été retenues, mais surtout, les réseaux alternatifs déjà existants demeureront en place pendant encore un moment.
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