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Logements sociaux imposés: la droite entre en guerre contre le PLU de la mairie de Paris - Figaro Immobilier

Logements sociaux imposés: la droite entre en guerre contre le PLU de la mairie de Paris - Figaro Immobilier ✍Highlight–2024:11:17:09:23:33

Les propriétaires de ces gros immeubles qui sont souvent des banques, des compagnies d’assurance, des fonds d’investissement ou encore des investisseurs étrangers «ne sont pas mandatés par leurs actionnaires pour abandonner une partie de la valeur de leur immeuble, affirme-t-il. Les investisseurs internationaux ne vont rien comprendre et vont vendre leurs immeubles», anticipe le maire du 6e arrondissement.

Les bâtiments classés exemptés
Parmi les plus de 90 amendements déposés par le groupe Changer Paris, plusieurs portent sur ce pastillage tant décrié. L’amendement numéro 7 propose d’imposer la création de logements sociaux à tout propriétaire d’un immeuble de bureaux uniquement pour les opérations immobilières dépassant 15.000 mètres carrés.

Pour les projets de plus petite taille, les contraintes seraient supprimées. L’amendement numéro 8 propose «d’exempter les immeubles situés dans des zones sauvegardées ou classées monuments historiques» de cette obligation de créer du logement social, «en raison des contraintes architecturales et patrimoniales». Changer Paris souhaite préserver l’authenticité et le charme des quartiers emblématiques de la villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia

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, «sans imposer des transformations incompatibles avec leur valeur historique».

Un autre amendement exempterait les bâtiments administratifs et publics de l’obligation d’intégrer des logements sociaux, «afin de ne pas imposer des contraintes disproportionnées aux infrastructures publiques nécessaires à la gestion de la villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia

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et de l’État». Effectivement, selon Valérie Montandon, le pastillage ajoute des règles complexes à suivre et sacrifie une partie de la surface des immeubles: «Un immeuble de bureaux qui accueille des logements sociaux doit répondre à deux réglementations incendie différentes et offrir deux accessibilités distinctes qui font perdre de la surface».
Ce sont deux visions de la villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia

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de Paris qui s’affrontent. D’un côté la volonté d’instaurer un nouveau plan local d’urbanisme (PLU) bioclimatique, par la mairie de Paris, qui impose entre autres d’affecter une partie d’un immeuble à des logements sociaux, en cas de gros travaux. Une obligation dénommée pastillage. Avec pour objectif d’atteindre 40 % de logements publics en 2035, dont 30 % de logements sociaux et 10 % de logements abordables (600 nouveaux emplacements seront réservés pour du logement social dont des centaines d’immeubles de bureaux). De l’autre, des élus de Changer Paris (Républicains, Centristes et Indépendants), qui comptent bien empêcher ces contraintes qui pèsent sur les propriétaires de voir le jour.

Le PLU est actuellement révisé et Changer Paris espère faire adopter son projet lors du prochain Conseil de Paris qui aura lieu du 19 au 22 novembre. La dernière révision du PLU remonte à près de 20 ans puisqu’elle date de 2006. Ce nouveau PLU est donc une révision exceptionnelle.

«La valeur des actifs va baisser de 30%» dans les immeubles concernés par la servitude de mixité sociale, s’inquiète Valérie Montandon, conseillère Changer Paris du 12e arrondissement de Paris, lors d’une conférence de presse ce jeudi. Les effets du pastillage sur la rénovation thermique vont être «contre-productifs», assure-t-elle. «Le risque est de figer des opérations. Les propriétaires des immeubles concernés ne vont pas effectuer de travaux de rénovation et vont bloquer les projets. Le nouveau PLU va ralentir la transition écologique», redoute de son côté Jean-Pierre Lecoq, maire du 6e arrondissement.
Un déficit de logements privés
Un autre amendement suggère d’introduire la notion de zones de déficit en logement privé dans le PLU, ciblant les arrondissements où la part de logements sociaux dépasse 40%. Dans ces zones, un minimum de 60% de logements privés doit être respecté pour «rééquilibrer l’offre résidentielle». Le but étant de répondre «aux besoins des Parisiens en quête de logement dans des quartiers où le logement social est surreprésenté».

Autre sujet d’inquiétude. Le patrimoine faubourien, composé de petits immeubles bas coincés entre deux autres plus hauts, «mérite de garder son identité», explique le maire du 6e arrondissement qui s’oppose à la surélévation d’immeubles faubouriens. «Les deux tiers des surélévations concernent actuellement des immeubles faubouriens», regrette Anne Biraben, conseillère du 5e arrondissement de Paris. Un amendement a été déposé par Changer Paris afin de protéger ce type de bâtiment en garantissant qu’il ne soit pas menacé par des surélévations par exemple. «Nous ne voulons pas d’un Paris surdensifié», conclut David Alphand, conseiller de Paris du 16e arrondissement et coprésident du groupe Changer Paris. À voir si ces amendements seront retenus par la Ville de Paris.
La mairie veut obliger les propriétaires, en cas de gros travaux, à affecter une partie de l’immeuble à du logement social, dans le nouveau Plan local d’urbanisme. Le groupe Changer Paris s’insurge.

Kotaemon - l'assistant RAG open source qui booste votre productivité | Outils dev | Le site de Korben

Kotaemon - l'assistant RAG open source qui booste votre productivité | Outils dev | Le site de Korben ✍Highlight–2024:11:16:21:15:56

Salut la compagnie ! Aujourd’hui on va parler d’un petit outil open source qui va vous faire gagner un temps fou quand il s’agit de discuter avec vos documents.

Son petit nom ? Kotaemon. Non, ce n’est pas un nouveau Pokémon, mais plutôt votre futur meilleur pote quand il s’agit de faire du RAG (Retrieval-Augmented Generation pour les intimes).

Alors le RAG, c’est quoi ? Imaginez un assistant virtuel capable de fouiller dans une montagne de docs pour vous sortir l’info dont vous avez besoin, le tout en discutant avec vous comme si de rien n’était au travers d’une interface toute propre. Idéal pour chatter avec vos documents, que vous soyez un simple utilisateur qui veut poser des questions à ses fichiers, ou un développeur qui veut mettre les mains dans le cambouis pour créer son propre pipeline RAG aux petits oignons.

Commençons par le commencement : l’installation. Rien de plus simple, il suffit de lancer cette commande dans votre terminal :

docker run -e GRADIO_SERVER_NAME=0.0.0.0 -e GRADIO_SERVER_PORT=7860 -p 7860:7860 -it –rm taprosoft/kotaemon:v1.0

Et hop, rendez-vous sur http://localhost:7860/ pour accéder à l’interface web. Le compte par défaut c’est admin/admin, mais vous pourrez créer d’autres utilisateurs directement depuis l’interface.

Maintenant, parlons un peu des fonctionnalités qui déchirent :

1. Multi-utilisateurs : Kotaemon supporte la connexion de plusieurs utilisateurs. Pratique pour bosser en équipe ou partager vos collections de documents préférées avec vos collègues.

2. Modèles LLM variés : Que vous soyez team OpenAI, Azure, ou que vous préfériez les modèles open source comme Llama, Kotaemon s’adapte à vos envies. Il supporte même les modèles locaux via Ollama ou llama-cpp-python.

3. Pipeline RAG hybride : Kotaemon utilise un mix de recherche full-text et vectorielle pour trouver les infos les plus pertinentes dans vos docs.

4. Support multi-modal : Textes, images, tableaux… Kotaemon gère tout ça comme un chef. C’est parfait pour vos rapports bourrés de graphiques incompréhensibles.

5. Citations avancées : Fini les réponses sorties de nulle part. Kotaemon vous dit exactement d’où viennent ses infos, avec un petit coup de surligneur dans le document original. Pratique pour vérifier que votre assistant n’est pas en train de vous raconter des conneries.

6. Raisonnement complexe : Pour les questions tordues qui nécessitent de combiner plusieurs infos, Kotaemon peut décomposer le problème en sous-questions. Merci Sherlock !

7. Interface configurable : Vous pouvez tweaker pas mal de paramètres directement depuis l’interface, sans avoir à plonger dans le code. Bref, l’idéal pour les allergiques au terminal.

8. Extensibilité : Pour les devs qui aiment bidouiller, Kotaemon est basé sur Gradio. Ça veut dire que vous pouvez ajouter vos propres éléments d’interface ou customiser le pipeline de traitement comme bon vous semble.

Pour les devs qui aiment bidouiller, Kotaemon est basé sur Gradio. Ça veut dire que vous pouvez ajouter vos propres éléments d’interface ou customiser le pipeline de traitement comme bon vous semble.

Maintenant, si vous voulez vraiment pousser le bouchon, voici quelques astuces pour tirer le meilleur de Kotaemon :

1. Optimisez vos documents : Plus vos docs sont bien structurés, plus Kotaemon sera efficace. Pensez à utiliser des titres clairs, des listes à puces, et à formater proprement vos tableaux.

2. Jouez avec les paramètres : N’hésitez pas à bidouiller les réglages de récupération et de génération. Parfois, un petit ajustement peut faire toute la différence dans la qualité des réponses.

3. Combinez les modèles : Essayez différentes combinaisons de modèles d’embedding et de LLM pour trouver le duo parfait pour vos besoins.

4. Utilisez les agents : Pour les tâches complexes, les agents comme ReAct ou ReWOO peuvent vraiment faire la différence.

5. Personnalisez les prompts : Les prompts par défaut sont bien, mais en les adaptant à votre domaine spécifique, vous pouvez obtenir des réponses encore plus pertinentes.

Et pour les devs qui voudraient pousser encore plus loin, sachez que vous pouvez facilement ajouter vos propres pipelines de raisonnement ou d’indexation. Le projet fournit même un exemple de pipeline GraphRAG pour vous donner des idées.

Bon, je vous entends déjà : “Mais Korben, c’est pas un peu overkill tout ça pour juste poser des questions à mes docs ?”. Eh bien, figurez-vous que non ! Imaginez un peu : vous êtes en train de bosser sur un projet énorme, avec des centaines de pages de specs, de rapports, et de notes diverses. Au lieu de passer des heures à tout éplucher pour trouver une info précise, vous balancez une question à Kotaemon et boom, vous avez votre réponse en quelques secondes, avec les sources exactes. Ça, mes amis, ça s’appelle gagner en productivité !

Et le plus beau dans tout ça, c’est que c’est open source.

Allez jeter un œil au repo GitHub du projet et commencez à jouer avec.

Daisy, la mamie virtuelle qui fait cauchemarder les arnaqueurs | Insolite | Le site de Korben

Daisy, la mamie virtuelle qui fait cauchemarder les arnaqueurs | Insolite | Le site de Korben ✍Highlight–2024:11:16:20:57:42

Vous pensiez avoir tout vu en matière de piège à arnaqueurs ? Et bien je vous présente Daisy, la grand-mère virtuelle qui fait tourner en bourrique les escrocs du web ! Cette adorable mamie n’est pas une retraitée ordinaire : c’est en réalité une intelligence artificielle ultra sophistiquée, conçue par l’opérateur télécom britannique O2 pour tenir la dragée haute aux fraudeurs en ligne.

Un arnaqueur compose un numéro, pensant tomber sur une proie facile et au bout du fil, une voix chaleureuse de grand-mère lui répond. Notre escroc se frotte déjà les mains… Sauf que cette fois, c’est lui qui va se faire avoir ! Car Daisy n’est pas du genre à se laisser embobiner. Au contraire, elle excelle dans l’art de faire perdre un temps précieux aux malfrats.

Comment s’y prend-elle ? Et bien en leur racontant des histoires interminables sur sa famille, en dissertant pendant des heures sur sa passion pour le tricot, en présentant son chat, ou encore en donnant de faux numéros de compte en banque… Bref, elle mène les arnaqueurs par le bout du nez et le plus drôle, c’est que certains restent accrochés jusqu’à 40 minutes au téléphone, s’arrachant probablement les cheveux devant cette mamie qui n’en finit pas de radoter.

Sous ses airs de grand-mère gâteau, Daisy cache une technologie de pointe impressionnante. Elle combine plusieurs modèles d’IA qui travaillent en parfaite harmonie : un système de reconnaissance vocale transcrit les paroles de l’arnaqueur, un grand modèle de langage (LLM) analyse le texte et génère une réponse appropriée, puis un système de synthèse vocale transforme cette réponse en paroles avec une voix totalement naturelle. Le tout inspiré d’une véritable grand-mère, la mamie d’un employé de l’agence VCCP qui a développé le projet !

Cette initiative n’est pas qu’une expérience amusante : c’est une véritable arme contre la fraude. Au Royaume-Uni, 67% des gens s’inquiètent d’être victimes d’escroqueries, et un quart de la population subit des tentatives de fraude chaque semaine. En monopolisant le temps des arnaqueurs, Daisy les empêche ainsi de cibler de vraies victimes potentielles.

Alors, quand verrons-nous débarquer l’équivalent français de Daisy ? On peut rêver qu’Orange, SFR ou Bouygues s’inspirent de cette excellente initiative. J’imagine déjà une Mamie Suzette virtuelle qui raconte ses histoires de jeunesse, parle de ses petits-enfants pendant des heures, explique son amour d’Emmanuel Macron ou encore propose aux arnaqueurs de goûter sa tarte aux pommes… On peut aussi prendre de vraies grands mères, ça fera pareil et ça créera de l’emploi ^^.

En attendant, restons vigilants face aux tentatives d’arnaque. Et si un jour vous tombez sur une grand-mère particulièrement bavarde au téléphone qui vous raconte sa vie en long, en large et en travers… qui sait, ce sera peut-être une cousine artificielle de Daisy ou votre mère !

Procès du RN : une procureure a-t-elle « avoué » que cela « lui ferait trop mal » de demander la relaxe de Marine Le Pen ? - Le Parisien

Procès du RN : une procureure a-t-elle « avoué » que cela « lui ferait trop mal » de demander la relaxe de Marine Le Pen ? - Le Parisien ✍Highlight–2024:11:16:20:42:00

Alors que l’accusation a requis mercredi à Paris cinq ans de prison, dont deux ans de prison ferme aménageables, 300 000 euros d’amende et cinq ans d’inéligibilité contre Marine Le Pen dans l’affaire dite des « assistants parlementaires », la figure du RN a mis en cause devant la presse l’éthique d’une des procureures en charge du dossier.

« Une outrance », dénonce Marine Le Pen. « Une atteinte à la démocratie », renchérit Jordan Bardella. Alors que le parquet a réclamé ce mercredi cinq ans de prison dont deux ans ferme aménageables et une peine d’inéligibilité de cinq ans à l’encontre de la cheffe de file des députés du Rassemblement national, cette dernière a dénoncé devant la presse un dossier vide et une accusation éprouvant bien des peines à fournir les preuves de sa culpabilité.

Pis, l’une des deux procureures en charge du dossier aurait, selon Marine Le Pen, « avoué » lors de son réquisitoire ne disposer d’aucun élément à propos « d’un contrat », mais ne pas demander la relaxe, car cela lui « ferai[t] trop mal ». Une preuve irréfutable, pour la députée du Pas-de-Calais, de la volonté du parquet « de priver les Français de la capacité de voter pour ceux qu’ils souhaitent » et de « ruiner » le RN. Un discours repris en boucle sur les réseaux sociaux par ses soutiens. Qu’en est-il vraiment ?

Il y a du vrai et du faux dans les déclarations de Marine Le Pen. Selon plusieurs de nos confrères présents dans la salle d’audience du tribunal de grande instance de Paris, la procureure Louise Neython a bien déclaré qu’elle ne disposait pas de beaucoup d’éléments pour déterminer l’illégalité d’un des contrats litigieux : celui de Jean-François Jalkh, un ancien vice-président du Rassemblement national, signé avec un de ses assistants parlementaires.

#RN : Elle a reconnu qu'elle n'avait pas grand chose pour déterminer l'illégalité de ce contrat et a eu cette formule. “Je ne peux pas demander une relaxe [partielle]. Ca me ferait trop mal. Je m'en rapporte donc [à la décision du tribunal]…”

Imaginez la réaction de la défense

« Je ne peux pas demander une relaxe [partielle]. Ça me ferait trop mal. Je m’en rapporte donc [à la décision du tribunal]… » a-t-elle déclaré, selon un compte rendu de Vincent Vantighem, grand reporter Police-Justice à BFMTV, sur X (ex-Twitter). « Je ne vous demande pas la relaxe car ça me fait trop mal », aurait-elle dit, selon Catherine Fournier, journaliste à France Info. Le journaliste du Parisien, présent au palais de Justice de Paris, en a également été témoin.

Mais si la magistrate a effectivement tenu ses propos, ils ne concernent qu’un élément – minime – sur l’ensemble du dossier : celui, donc, du contrat liant Jean-François Jalkh et son assistant parlementaire.

De multiples preuves de l’implication de Marine Le Pen

Du matin au soir, ce mercredi, les deux procureurs ont détaillé l’architecture d’un « système » qui a selon eux été mis en place au Front national (devenu RN) entre 2004 et 2016 pour faire du Parlement européen la « vache à lait » du parti à la flamme en concluant des « contrats artificiels » d’assistants parlementaires européens qui travaillaient en réalité pour le parti.

À l’époque, la formation politique « est dans une situation financière particulièrement tendue. Tout ce qui peut contribuer à l’allègement des charges va être utilisé de manière systématique », que ce soit « légal ou pas », a affirmé la procureure Louise Neyton durant l’audience.

Dénonçant « le rôle primordial » de Marine Le Pen, la magistrate a affirmé que « tout passait » par la figure du RN qui, « informée » par Wallerand de Saint-Just (un ancien militant du FN également accusé dans cette affaire), ne pouvait ignorer ce système de détournement de fonds européens.

À lire aussiPrison ferme et inéligibilité requises contre Marine Le Pen : récit d’un coup de tonnerre annoncé

Face à « la fiction alternative » proposée en défense, les procureurs ont décortiqué, prévenu par prévenu et contrat par contrat, « la nature du travail » effectué par les douze assistants parlementaires et le « lien de subordination » qu’ils entretenaient avec « leur député » européen. Avec un constat général : en justificatif de travail, « il n’y a rien », sauf « la fameuse preuve standard : la revue de presse », ont-ils affirmé. Les contrats de travail ? « Artificiels », sans « cohérence », a asséné l’accusation.

La défense doit plaider à partir de lundi et la fin du procès est prévue le 27 novembre. Le tribunal ne rendra pas sa décision avant plusieurs mois. Concernant l’inéligibilité, question décisive pour la triple candidate à la présidentielle, le parquet réclame l’exécution provisoire. Ce qui signifie que, si le tribunal suit le parquet, cette interdiction serait applicable dès la condamnation, y compris en cas d’appel.

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