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Allemagne : quand Elon Musk discute de Hitler avec l'extrême droite. Elon Musk et Alice Weidel ont échangé pendant plus d'une heure sur X, évoquant le nucléaire, Hitler, la guerre en Ukraine et l'immigration clandestine. La coprésidente de l'AfD a dressé un portrait catastrophique de l'Allemagne au propriétaire de Tesla. [ElseNews]

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Les Échos: Allemagne : quand Elon Musk discute de Hitler avec l'extrême droite https://www.lesechos.fr/monde/europe/allemagne-quand-elon-musk-discute-de-hitler-avec-lextreme-droite-2141707

Allemagne : quand Elon Musk discute de Hitler avec l'extrême droite. Elon Musk et Alice Weidel ont échangé pendant plus d'une heure sur X, évoquant le nucléaire, Hitler, la guerre en Ukraine et l'immigration clandestine. La coprésidente de l'AfD a dressé un portrait catastrophique de l'Allemagne au propriétaire de Tesla.

Goldman Sachs
Guerres et conflits
« Hitler était un socialiste, un communiste », a expliqué Alice Weidel à Elon Musk, lors de leur échange sur X.
« Hitler était un socialiste, un communiste », a expliqué Alice Weidel à Elon Musk, lors de leur échange sur X. (Kay Nietfeld/DPA/AFP)
Par Emmanuel Grasland

Publié le 10 janv. 2025 à 07:54
L'entretien était très attendu. Fin décembre, la tribune d'Elon Musk en faveur de l'extrême droite allemande avait fait réagir toute la classe politique outre-Rhin.

Jeudi soir, son interview d'Alice Weidel, la co-présidente du parti « Alternative pour l'Allemagne » (AfD) a été suivie par environ 200.000 personnes, dont des représentants de l'Union européenne chargés d'évaluer son impact sur les élections allemandes. Mais elle a vite pris la tournure d'une conversation hors-sol, assez ennuyeuse.

Le propriétaire de SpaceX et de Tesla a échangé pendant environ une heure et quart avec l'ancienne cadre de Goldman Sachs. Chacun a cherché à s'informer sur le pays de l'autre. Un peu à la manière de deux touristes, qui se rencontrent en vacances et comparent la situation de leurs pays respectifs.

« Angela Merkel a ruiné le pays »
Alice Weidel a dressé un portrait catastrophique de l'état de l'Allemagne, évoquant successivement la politique énergétique, l'immigration, l'éducation, la bureaucratie et la sécurité des personnes.

« Angela Merkel a ruiné le pays », a-t-elle expliqué au dirigeant de Tesla. « L'Allemagne est le seul pays industriel qui soit sorti du nucléaire », a-t-elle dit, tout en considérant Angela Merkel comme le premier « chancelier vert ».

Elle a ensuite jugé stupide la décision du gouvernement d'Olaf Scholz de fermer les dernières centrales nucléaires, malgré la guerre en Ukraine. « Il faut être très stupide ou détester son pays pour faire cela », a-t-elle asséné. « C'est vrai que c'est l'une des choses les plus stupides que j'ai jamais vu », a abondé le patron de SpaceX.

Lire aussi :
Allemagne : Elon Musk réitère son soutien à l'extrême droite dans une tribune au vitriol

L'éducation ? Du fait d'une population d'enseignants « wokistes et gauchistes », « les jeunes n'apprennent plus rien à l'école », a expliqué Alice Weidel, au grand étonnement d'Elon Musk.

L'Etat ? L'administration du pays est hypertrophiée et les salariés allemands « travaillent plus de la moitié de l'année pour un Etat dysfonctionnel ». Elon Musk a confirmé le poids de la bureaucratie en Allemagne, citant les 25.000 pages de documents réglementaires, qui avaient dû être fournies en format papier à l'administration allemande en plusieurs exemplaires, pour la construction de son usine près de Berlin.

« Un agenda de l'extrême gauche »
Alice Weidel a ensuite dénoncé la politique migratoire d'Angela Merkel avec l'arrivée de « 7 millions de personnes en Allemagne depuis 2015 », tandis qu'Elon Musk évoquait une situation identique aux Etats-Unis et « une sorte d'agenda de l'extrême gauche mis en place dans les pays de l'ouest. »

Le patron de Tesla a raconté à Alice Weidel que « des piles géantes de passeports et de permis de conduire » s'amoncelaient à la frontière mexicaine, empêchant de détecter qui parmi eux étaient des violeurs et des criminels.

Lire aussi :
Allemagne : Elon Musk s'invite avec fracas dans la campagne

« Ce que l'AfD souhaite, c'est une politique sensée en matière d'énergie et d'immigration. Ma recommandation est donc de voter AfD », a martelé Elon Musk. « Les gens doivent réellement se ranger derrière l'AfD, sinon la situation va vraiment, vraiment empirer en Allemagne », a-t-il lancé, alors que des élections législatives doivent se tenir le 23 février.

Qui sont les bad guys ?
Alice Weidel a présenté l'AfD comme un parti de conservateurs libertariens, injustement considéré comme d'extrême droite par les médias. Elle a souligné que cet échange sur X constituait une situation nouvelle pour elle. « Je suis dans une conversation où je ne suis pas interrompue, ou contrée systématiquement, comme c'est le cas depuis dix ans », a-t-elle souligné à Elon Musk.

Les deux se sont accordés sur l'importance de la liberté d'expression dans une démocratie. Sur ce sujet, iI est facile de voir « qui sont les bad guys », a martelé Elon Musk, « ce sont ceux qui veulent limiter la liberté de parole ».

Lire aussi :
Thierry Breton : « L'Europe a l'obligation d'enquêter sur les pratiques de Musk »

Dans un passage lunaire, Alice Weidel en a profité pour souligner que son parti était selon elle, l'opposé d'Adolf Hitler parce que les nazis ont immédiatement supprimé la liberté de parole après leur accession au pouvoir. Le milliardaire sud-africain et américain lui a alors demandé de répondre aux affirmations des médias qui tendent à considérer son parti comme d'extrême droite et à associer ses idées avec celles du parti nazi d'Adolf Hitler.

« Hitler était un socialiste, un communiste »
« Hitler était un socialiste, un communiste », a-t-elle répondu à Elon Musk, passant sous silence le fait que les socialistes et les communistes ont été persécutés par les nazis. « Les nazis ont nationalisé l'industrie comme des fous et ils ont exigé de lourdes taxes des entreprises privées », a-t-elle expliqué, tout en réaffirmant que l'AfD était au contraire un parti libertarien et conservateur.

Elon Musk a ensuite souhaité savoir ce qu'Alice Weidel pensait du conflit israélo-palestinien. « Le sujet est très compliqué », a-t-elle répondu, indiquant de pas voir de solution claire. Mais elle a répondu par l'affirmative quand le patron de Tesla lui a demandé si elle soutenait l'existence de l'Etat d'Israël.

Elle a ensuite rebondi en expliquant qu'en Allemagne, « avec toutes ces manifestations des Palestiniens, un juif ne pouvait plus marcher dans les rues. Pour être franc, l'AfD est le seul parti qui protège les juifs », a-t-elle affirmé, en dépit du bon sens. « L'AfD est vraiment mal représenté, notamment par les médias occidentaux », a réagi Elon Musk.

Lire aussi :
L'extrême droite réalise un score historique en Allemagne

Interrogé par Alice Weidel sur la paix au Proche-Orient, le dirigeant de Tesla a vu trois conditions à sa réalisation : l'élimination de ceux qui s'opposent à l'existence de l'Etat d'Israël, un changement du système d'éducation afin que les enfants palestiniens ne soient pas éduqués dans la haine des juifs et l'avènement de zones palestiniennes prospères.

Elon Musk a cité le traité de Versailles comme le contre-exemple en la matière et l'approche américaine vis-à-vis du Japon et de l'Allemagne après la Seconde guerre mondiale comme le chemin à suivre.

L'existence de Dieu
La co-présidente de l'AfD a souhaité savoir de quelle manière la nouvelle administration américaine apporterait la paix en Ukraine mais le propriétaire de SpaceX s'est gardé d'entrer dans les détails, réitérant simplement sa confiance en Donald Trump pour trouver une solution.

Lire aussi :
ANALYSE : Elon Musk, le destructeur des médias traditionnels

Les deux se sont ensuite mutuellement interrogés sur l'existence de Dieu, sans qu'aucun ne prenne vraiment position sur la question. La conversation tournant un peu à vide, Alice Weidel a évoqué les voyages sur Mars. Elon Musk lui a expliqué qu'un premier vol non habité pourrait avoir lieu dans deux ans, selon lui.

La discussion s'est achevée sur des considérations sur la nécessité pour l'humanité de devenir « une espèce multiplanétaire », si elle souhaitait assurer sa survie. Une idée obsessionnelle chez lui.

Les lectures d'Elon Musk
Fan de science-fiction, le dirigeant reste marqué par la lecture, adolescent, des ouvrages culte du domaine, notamment « The Hitchhiker's Guide to the Galaxy » de Douglas Adams et la série « Fondation » d'Isaac Asimov. L'ouvrage de Douglas Adams a poussé Elon Musk à se poser la question de savoir comment étendre le degré de conscience et de connaissance de l'espèce humaine.

Dans « Fondation », une saga sur un empire galactique au bord de l'effondrement, un héros - Hari Seldon - emmène des disciples vers un lieu aux confins de la galaxie pour sauver la somme des connaissances humaines de l'anéantissement. Difficile de ne pas y voir un lien avec le rôle qu'entend se donner Elon Musk vis-à-vis de l'humanité.

Emmanuel Grasland (Bureau de Berlin)

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Par Emmanuel Grasland

Publié le 10 janv. 2025 à 07:54
L'entretien était très attendu. Fin décembre, la tribune d'Elon Musk en faveur de l'extrême droite allemande avait fait réagir toute la classe politique outre-Rhin.

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Le propriétaire de SpaceX et de Tesla a échangé pendant environ une heure et quart avec l'ancienne cadre de Goldman Sachs. Chacun a cherché à s'informer sur le pays de l'autre. Un peu à la manière de deux touristes, qui se rencontrent en vacances et comparent la situation de leurs pays respectifs.

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Elle a ensuite jugé stupide la décision du gouvernement d'Olaf Scholz de fermer les dernières centrales nucléaires, malgré la guerre en Ukraine. « Il faut être très stupide ou détester son pays pour faire cela », a-t-elle asséné. « C'est vrai que c'est l'une des choses les plus stupides que j'ai jamais vu », a abondé le patron de SpaceX.

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L'Etat ? L'administration du pays est hypertrophiée et les salariés allemands « travaillent plus de la moitié de l'année pour un Etat dysfonctionnel ». Elon Musk a confirmé le poids de la bureaucratie en Allemagne, citant les 25.000 pages de documents réglementaires, qui avaient dû être fournies en format papier à l'administration allemande en plusieurs exemplaires, pour la construction de son usine près de Berlin.

« Un agenda de l'extrême gauche »
Alice Weidel a ensuite dénoncé la politique migratoire d'Angela Merkel avec l'arrivée de « 7 millions de personnes en Allemagne depuis 2015 », tandis qu'Elon Musk évoquait une situation identique aux Etats-Unis et « une sorte d'agenda de l'extrême gauche mis en place dans les pays de l'ouest. »

Le patron de Tesla a raconté à Alice Weidel que « des piles géantes de passeports et de permis de conduire » s'amoncelaient à la frontière mexicaine, empêchant de détecter qui parmi eux étaient des violeurs et des criminels.

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« Ce que l'AfD souhaite, c'est une politique sensée en matière d'énergie et d'immigration. Ma recommandation est donc de voter AfD », a martelé Elon Musk. « Les gens doivent réellement se ranger derrière l'AfD, sinon la situation va vraiment, vraiment empirer en Allemagne », a-t-il lancé, alors que des élections législatives doivent se tenir le 23 février.

Qui sont les bad guys ?
Alice Weidel a présenté l'AfD comme un parti de conservateurs libertariens, injustement considéré comme d'extrême droite par les médias. Elle a souligné que cet échange sur X constituait une situation nouvelle pour elle. « Je suis dans une conversation où je ne suis pas interrompue, ou contrée systématiquement, comme c'est le cas depuis dix ans », a-t-elle souligné à Elon Musk.

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Elon Musk a cité le traité de Versailles comme le contre-exemple en la matière et l'approche américaine vis-à-vis du Japon et de l'Allemagne après la Seconde guerre mondiale comme le chemin à suivre.

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