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-====== CNews: Commission sur l'audiovisuel public : Patrick Cohen et Thomas Legrand s'engagent dans de vifs échanges avec les députés ======
- https://www.cnews.fr/france/2025-12-18/commission-sur-laudiovisuel-public-patrick-cohen-et-thomas-legrand-sengagent-dans
-En direct - Commission sur l'audiovisuel public : revivez l'audition de Patrick Cohen et Thomas Legrand
-www.cnews.fr
-Patrick Cohen et Thomas Legrand ont été auditionnés ce jeudi après-midi dans le cadre de la commission sur l'audiovisuel public. Chacun leur tour, les deux journalistes ont été interrogés sur les soupçons de collusion entre l'audiovisuel public et la gauche. Revivez leur audition.
-:54
-Alerte
-L'audition de Thomas Legrand est terminée
-Après près de 5 heures de débats entre les membres de la commission et les deux journalistes Patrick Cohen et Thomas Legrand, l'audition a pris fin ce jeudi soir.
-:41
-Déclaration
-Thomas Legrand prend la défense de Cash Investigation
-====== Pour répondre à une question de Philippe Ballard sur les méthodes de Cash Investigation, qui n'hésite pas à enregistrer des personnes à leur insu pour leurs enquêtes, Thomas Legrand a pris leur défense : «Cash Investigation quand ils font des caméras cachées, c'est qu'on leur a d'abord refusé l'accès. Moi, on ne m'a pas demandé l'accès à mon café», a-t-il déclaré.  ======
-:34
-Déclaration
-Thomas Legrand : «Quand on fait un édito pour le service public, on ne veut pas marquer des points mais on veut donner des clés»
-Thomas Legrand : «Quand on fait un édito pour le service public, on ne veut pas marquer des points mais on veut donner des clés», a déclaré le journaliste à propos de la manière dont il voit son travail.
-:32
-Déclaration
-Thomas Legrand : «Je ne pense pas faire le jeu du Front national en faisant mon métier»
-À la suite d'une question posée par un député, Thomas Legrand a expliqué : «Je ne pense pas faire le jeu du Front national en faisant mon métier».
-:29
-Déclaration
-Thomas Legrand : «A Libération, je suis plutôt celui qui défend la culture du compromis que de l'affrontement»
-Interrogé sur son travail, Thomas Legrand a répondu : «À Libération, je suis plutôt celui qui défend la culture du compromis que de l'affrontement».
-:07
-C'est au tour des députés de prendre la parole
-Après de vifs échanges entre le rapporteur et Thomas Legrand, c'est au tour des députés de prendre la parole et de poser des questions au journaliste.
-:55
-Déclaration
-«J'aime beaucoup François Morel, je le remercie de cette chronique», assure Thomas Legrand
-Interrogé par le rapporteur sur le billet d'humeur de François Morel dans lequel il insultait un confrère d'«enculé et de fils de pute», Thomas Legrand a déclaré : «J'aime beaucoup François Morel, je le remercie de cette chronique et je suis en total désaccord avec la façon dont vous l'avez interprétée», a-t-il répondu.
-:51
-Déclaration
-«S'il y a deuxième tour Edouard Philippe - Marine Le Pen, je ne deviens pas fou, je sais exactement ce que je fais», affirme Thomas Legrand
-Interrogé sur une autre phrase qui a retenu l'attention sur les enregistrements au coeur de la polémique, le journaliste a dit : «S'il y a deuxième tour Edouard Philippe - Marine Le Pen, je ne deviens pas fou, je sais exactement ce que je fais», a déclaré Thomas Legrand, ajoutant qu'il était «plutôt à gauche».
-:42
-Déclaration
-«Je ne regrette pas d'avoir prononcé ces propos», réaffirme Thomas Legrand
-«Je ne regrette pas d'avoir prononcé ces propos», a réaffirmé Thomas Legrand après une nouvelle question du rapporteur. «La seule chose que je regrette, c'est qu'ils aient été filmés et montés, voilà !», a-t-il conclu.
-:33
-Déclaration
-«Je n'ai pas rencontré ni appelé Emmanuel Grégoire», assure Thomas Legrand
-«Je n'ai pas rencontré ni appelé Emmanuel Grégoire», a assuré Thomas Legrand, en rappelant qu'il était sous serment. Il a concédé avoir pris un café avec le député lorsqu'il était éditorialiste mais plus depuis.
-:25
-Déclaration
-«Ce serait quand même assez dramatique que les hommes politiques et les journalistes ne puissent plus aller dans des cafés sans penser qu'ils vont être écoutés et enregistrés»
-«Ce serait quand même assez dramatique que les hommes politiques et les journalistes ne puissent plus aller dans des cafés sans penser qu'ils vont être écoutés et enregistrés», a analysé Thomas Legrand.
-Thomas Legrand : «Ce serait quand même assez dramatique que les hommes politiques et les journalistes ne puissent plus aller dans des cafés sans penser qu'ils vont être écoutés et enregistrés» pic.twitter.com/nUFwsP0pCh
-— CNEWS (@CNEWS) December 18, 2025
-:17
-Vif échange entre le rapporteur et Thomas Legrand
-Le rapporteur de la commission, Charles Alloncle, et Thomas Legrand ont connu un vif échange à propos des déclarations du journaliste qui a expliqué que les vidéos étaient «montées». Le rapporteur a déclaré : «Comment vous pouvez, devant la représentation nationale, alors que vous avez prêté serment, nous dire que cette phrase vous choque car elle a été montée ?».
-:13
-Déclaration
-«On voulait s'occuper de Rachida Dati journalistiquement»
-«On voulait s'occuper de Rachida Dati journalistiquement», a déclaré Thomas Legrand pour se justifier concernant sa phrase sur la ministre de la Culture, qui avait mis le feu aux poudres lors de la sortie de l'extrait vidéo.
-:05
-Déclaration
-Thomas Legrand revient sur sa phrase : «Nous, on fait ce qu'il faut pour Rachida Dati»
-Après son préambule, le journaliste Thomas Legrand va à présent répondre aux questions. Il est notamment revenu sur sa phrase : «Nous, on fait ce qu'il faut pour Rachida Dati», au coeur de la polémique : «Cette phrase, elle me choque et je comprends qu'elle choque mais elle me choque car elle est montée et sortie de son contexte», a-t-il expliqué.
-Thomas Legrand, dans la commission d'enquête sur la neutralité de l'audiovisuel français, se défend sur sa phrase : «Nous on fait ce qu'il faut pour s'occuper de Rachida Dati» pic.twitter.com/ctPqSB4Dh4
-— CNEWS (@CNEWS) December 18, 2025
-:02
-Déclaration
-«Ce sont des extraits volés, montés et diffusés illégalement»
-«Je vais devoir répondre à vos questions à propos d'extraits volés, montés et diffusés illégalement. Trois minutes rendues publiques en dehors de toute déontologie journalistique», a expliqué Thomas Legrand à propos des vidéos de sa conversation avec son collègue Patrick Cohen.
-:58
-Déclaration
-«La conversation politique est une passion bien française»
-Avant de répondre aux questions des députés, le journaliste de Thomas Legrand a lu un texte à propos des soupçons de collusion entre l'audiovisuel public et la gauche. Il s'est justifié, notamment en déclarant que «la conversation politique est une passion bien française».
-:56
-C'est au tour de l'audition de Thomas Legrand
-Après son collègue Patrick Cohen, c'est au tour du journaliste Thomas Legrand de se présenter devant les députés dans le cadre de son audition dans cette commission sur l'audiovisuel public.
-:54
-Déclaration
-Patrick Cohen refuse de répondre aux questions sur sa rémunération
-Interrogé par le rapporteur de la commission, Charles Alloncle, sur sa rémunération, Patrick Cohen n'a pas souhaité répondre. Quand le rapporteur lui a demandé pourquoi il ne souhaitait pas donner son salaire, le journaliste s'est contenté de dire : «Parce que c'est mon droit monsieur le rapporteur».
-:52
-Déclaration
-«Nous ne sommes pas dans un univers aussi apaisé qu'au début de ma carrière»
-«Je continue, malgré les polémiques, de vivre une vie normale sans avoir peur de me faire agresser à tous les coins de rue, mais évidemment, nous ne sommes pas dans un univers aussi apaisé qu'au début de ma carrière», a répondu Patrick Cohen à une question sur la violence subie par les journalistes.
-:44
-Déclaration
-«Je ne pensais jamais être interrogé devant une commission d'enquête»
-«Je n'ai pas fait le métier de journaliste pour être connu, ni pour être attaqué», a déclaré Patrick Cohen. «Je ne pensais jamais être interrogé devant une commission d'enquête», a-t-il ajouté.
-:38
-Déclaration
-«Je ne suis pas une personnalité politique, je ne suis pas un élu»
-«Je ne suis pas une personnalité politique, je ne suis pas un élu. On peut avoir des exigences supérieures sur un plan citoyen avec les responsables politiques qu'avec les journalistes», a pointé le journaliste en réponse à une question d'un député.
-:27
-Patrick Cohen cite Brigitte Macron devant les députés
-Patrick Cohen a repris les déclarations de Brigitte Macron devant les députés lors de son audition. Il a cité une déclaration de la Première dame qui disait : «Si on met des micros partout, si on écoute les propos privés des journalistes et des chefs d'entreprise, on ne sera pas déçu du voyage».
-:22
-Déclaration
-«Moi et Thomas Legrand n'étions pas dans un état d'esprit complotiste»
-«Moi et Thomas Legrand n'étions pas dans un état d'esprit complotiste ou dans l'idée de peser sur l'opinion dans le but de faire échouer madame Dati, pas plus que de faire réussir le Parti socialiste», a-t-il expliqué.
-Patrick Cohen : «On n'était pas dans un état d'esprit complotiste ou dans l'idée de peser dans l'opinion dans le but de faire échouer Madame Dati, pas plus que de faire réussir le Parti socialiste» pic.twitter.com/RIQ4r5BFSQ
-— CNEWS (@CNEWS) December 18, 2025
-:15
-Déclaration
-«Les auditeurs se fichent de mes opinions»
-«Les auditeurs se fichent de mes opinions», a estimé le journaliste Patrick Cohen. «Le métier de l'éditorialiste, c'est de donner son point de vue, mais moi je ne considère pas que mon métier est de donner mes opinions. Je n'ai pas une opinion sur tout», a-t-il ajouté.
-:13
-Déclaration
-«Je ne suis pas neutre, personne ne l'est dans ce métier»
-«Je ne suis pas neutre, personne ne l'est dans ce métier», a expliqué Patrick Cohen lors de son audition devant la commission sur l'audiovisuel public. «Cependant, dans la construction de mes matinales, je me fixe des principes», a-t-il ajouté.
-Patrick Cohen : «Personne n'est neutre dans ce métier. Mais je me fixe quelques principes : d'abord parler à tout le monde. Des auditeurs de tout âge, de toute condition, des villes et des champs, de gauche, de droite, d'extrême droite...» pic.twitter.com/1TUiEAWJJ1
-— CNEWS (@CNEWS) December 18, 2025
-:43
-Déclaration
-«J'essaie de discuter avec les électeurs de toutes opinions politiques», déclare Patrick Cohen
-«Depuis le début de ma carrière, j’essaie de parler à tout le monde (…) J’essaie de discuter avec les électeurs de tous âges, de toutes origines et de toutes les opinions politiques», a estimé Patrick Cohen en réponse à une interview donnée en 2012 où il assurait qu'il était «plus difficile» de débattre avec Marine Le Pen.
-:21
-Déclaration
-«Je ne condamne pas les propos de Thomas Legrand», assure Patrick Cohen
-«Je ne condamne pas les propos de Thomas Legrand», a affirmé Patrick Cohen, faisant référence à la phrase : «on a fait ce qu'il faut avec Rachida Dati» dans la vidéo diffusée publiquement.
-:56
-Déclaration
-«Les accusations que vous relayez résultent d’une manipulation, voire d’une falsification, et nous en ferons justice», assure Patrick Cohen
-Le journaliste Patrick Cohen a évoqué une «manipulation, voire une falsification» de la vidéo relayée à son insu et au coeur de la polémique.
-«Les accusations que vous relayez résultent d’une manipulation, voire d’une falsification, et nous en ferons justice», a assuré ce dernier.
-:44
-Déclaration
-«Je n’ai rien fait d’autre que mon métier», se défend Patrick Cohen
-En préambule de son audition devant les députés français, le journaliste Patrick Cohen s'est défendu concernant l'affaire de la vidéo qui a fuité concernant l'audiovisuel public.
-«Je n’ai rien fait d’autre que mon métier», a affirmé le journaliste après une première prise de parole d'une dizaine de minutes.
-:23
-L'audience va bientôt commencer
-Les journalistes du service public Patrick Cohen et Thomas Legrand sont attendus devant les députés.

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