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-====== Le Monde.fr: EN DIRECT, guerre en Ukraine : Emmanuel Macron estime qu’il va falloir que l’Europe renoue le dialogue avec Vladimir Poutine ====== 
- https://www.lemonde.fr/international/live/2025/12/19/en-direct-guerre-en-ukraine-emmanuel-macron-estime-qu-il-va-falloir-que-l-europe-renoue-le-dialogue-avec-vladimir-poutine_6657241_3210.html 
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-https://www.lemonde.fr/international/article/2025/12/19/l-union-europeenne-va-preter-90-milliards-d-euros-a-l-ukraine-faute-d-accord-sur-les-avoirs-russes-geles-et-temporise-sur-le-mercosur_6658626_3210.html 
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-L’Union européenne va prêter 90 milliards d’euros à l’Ukraine, faute d’accord sur les avoirs russes gelés, et temporise sur le Mercosur 
-L’aide allouée à Kiev va prendre la forme d’un prêt à taux zéro. La signature du traité de libre-échange avec l’Amérique du Sud, est, elle, reportée à janvier, l’Italie s’étant alliée à la France. 
-Par Virginie Malingre (Bruxelles, bureau européen) et Philippe Jacqué (Br... 
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-Publié aujourd’hui à 06h40  
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-La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, s’adresse aux médias à son arrivée au sommet de l’UE à Bruxelles, le 18 décembre 2025. OMAR HAVANA / AP 
-Pour Friedrich Merz, qui se veut l’homme fort de l’Europe, la réunion, jeudi 18 septembre à Bruxelles, des chefs d’Etat et de gouvernement européens s’est soldée par un échec. Le chancelier allemand était arrivé dans la capitale belge avec deux objectifs : d’une part, convaincre les Vingt-Sept d’utiliser les actifs russes immobilisés pour financer l’effort de guerre ukrainien et de l’autre, obtenir d’eux qu’ils mandatent la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, afin qu’elle puisse signer, samedi 20 décembre au Brésil, l’accord de libre-échange avec quatre pays du Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay) conclu un an plus tôt. 
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-Lire aussi | EN DIRECT, guerre en Ukraine : les dirigeants européens trouvent un accord pour débloquer 90 milliards d’euros en faveur de Kiev 
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-Il en allait, dans les deux cas, avait-il affirmé, de la crédibilité de l’Europe sur la scène géopolitique mondiale. Las. Sur le prêt de réparation, Friedrich Merz n’a pas réussi à lever les objections du premier ministre belge, Bart De Wever, inquiet des risques que le dispositif ferait peser sur son pays, où sont hébergés l’essentiel des avoirs russes, et sur la stabilité de l’euro. « Je suis pire qu’Orban », a plaisanté le nationaliste flamand, en référence au premier ministre hongrois toujours prêt à dégainer son droit de veto. Sur le Mercosur, c’est la présidente du conseil italien, Giorgia Meloni, qui a contrarié les plans du chancelier, en s’alliant au président français, Emmanuel Macron. 
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-Pour autant, Volodymyr Zelensky, également à Bruxelles en début d’après midi jeudi, a évité le pire. Si les Européens ont renoncé à « faire payer » la Russie, comme le souhaitait le président ukrainien, pour aider Kiev à subvenir à ses besoins en 2026 et 2027, ils ont quand même trouvé une manière de lui fournir 90 milliards d’euros sur cette période (un prêt à taux zéro qui ne devra être remboursé qu’à l’issue de la guerre, quand la Russie aura payé des indemnités de réparation). Il y avait urgence, puisque l’Ukraine sera à court d’argent à la fin du premier trimestre de l’année prochaine et que les Etats-Unis ne veulent plus la soutenir. 
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-Discussions difficiles 
-Les discussions ont été difficiles. Mais les Vingt-Sept ont finalement décidé, à l’unanimité, d’emprunter ensemble, avec la garantie du budget de l’Union européenne (UE). Les « frugaux », Allemagne en tête, qui ne voulaient pas en entendre parler, s’y sont résolus. Quant à la Hongrie, la Slovaquie et la République tchèque, qui refusent de continuer à aider l’Ukraine, elles ont obtenu de ne pas participer au remboursement du prêt. In fine, seulement vingt-quatre Etats membres se sont donc engagés derrière Kiev. 
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-Lire aussi l’éditorial | Avoirs russes : l’Europe face à ses responsabilités 
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-Viktor Orban avait certes fort opportunément quitté la salle quand, en décembre 2023, ses homologues avaient ouvert les négociations d’adhésion de l’Ukraine à l’UE. Mais jamais, jusqu’ici, les Vingt-Sept ne s’étaient désolidarisés sur la question de l’assistance financière à Kiev. « Les Slovaques, les Tchèques et les Hongrois ont fait front commun. C’est encourageant. Nous allons poursuivre notre coopération », s’est félicité le premier ministre hongrois, regrettant « la stratégie de guerre » des Européens. 
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-« Garantir 90 milliards d’euros à un autre pays pour les deux prochaines années, je ne crois pas que cela se soit jamais vu dans notre histoire », a commenté la première ministre danoise, Mette Frederiksen. L’UE a envoyé un « message clair » à Vladimir Poutine, a insisté Friedrich Merz, qui se félicite par ailleurs qu’elle ait décidé, le 12 décembre, d’immobiliser les actifs russes jusqu’à la fin de la guerre. Ce faisant, elle les a mis à l’abri d’un éventuel veto hongrois, dès lors que les sanctions doivent aujourd’hui être renouvelées tous les six mois à l’unanimité. 
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-A l’heure où les Etats-Unis de Donald Trump négocient un accord de paix en Ukraine sans y associer les Européens, cela leur « permet (…) de conserver l’un de ses principaux leviers dans les négociations », a, pour sa part, jugé Emmanuel Macron. Maintenant, « il va redevenir utile de parler à Vladimir Poutine », a-t-il poursuivi. 
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-Pression sur Meloni 
-Au sujet du traité de libre-échange entre l’UE et le Mercosur, en négociation depuis plus de vingt-six ans, l’affaire est renvoyée à janvier 2026. Giorgia Meloni a souhaité se donner du temps, alors qu’Ursula von der Leyen comptait aller, samedi 20 décembre, au Brésil signer l’accord. Or, sans l’Italie, la présidente de la Commission ne peut plus compter sur la majorité qualifiée des Etats membres requise, puisque la Pologne, la Hongrie, l’Autriche et la France font partie du camp du non. Elle a donc annulé son déplacement. 
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-Toute la journée, jeudi, les défenseurs d’un accord avec le Mercosur, largement majoritaires à la table des Vingt-Sept, ont fait pression sur Giorgia Meloni pour qu’elle lève ses objections. Au premier rang desquels Friedrich Merz, soucieux de trouver des débouchés pour une industrie allemande en crise. « Il faut prendre des décisions maintenant si l’UE veut rester crédible dans le commerce mondial », a-t-il martelé. 
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-Au Brésil, le président Luiz Inacio Lula da Silva, qui menaçait de rompre les discussions si l’Union n’était pas au rendez-vous prévu, s’en est également mêlé. Il a finalement accepté de patienter après que Giorgia Meloni lui eut assuré qu’elle consentirait à l’accord entre l’UE et le Mercosur « d’ici une semaine, dix jours, un mois au maximum », a-t-il déclaré. 
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-De son côté, Emmanuel Macron, également favorable à un report de la signature du traité de libre-échange, n’a pas ménagé ses efforts pour garder Giorgia Meloni à ses côtés et empêcher ainsi Ursula von der Leyen de s’envoler vers le Brésil. 
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-Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Mercosur, dermatose nodulaire, réorientation de la PAC… la colère des agriculteurs s’exprime de la Haute-Garonne à Bruxelles 
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-« Le compte n’y est pas », a répété le président, jugeant que l’efficacité des garde-fous promis par la Commission pour protéger les agriculteurs d’une éventuelle concurrence déloyale des pays d’Amérique du Sud – clauses de sauvegarde, mesures miroir et contrôle accru aux frontières – restait à prouver. A trois mois des élections municipales, au milieu des discussions sur le budget 2026 et en pleine crise de la dermatose nodulaire, il avait surtout bien conscience que l’affaire pouvait être fatale au gouvernement de Sébastien Lecornu. 
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-Court répit 
-Invoquant son « bon sens un peu paysan », le chef de l’Etat a aussi rappelé que la France, Etat fondateur et grand pays de l’UE, méritait d’être bien traitée. « On doit être respectés », a insisté Emmanuel Macron, que la décision d’Ursula von der Leyen, il y a un an, d’aller à Montevideo, en Uruguay, conclure les négociations avec le Mercosur contre son avis avait exaspéré. 
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-Affaibli en France depuis la dissolution ratée de l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron ne veut pas paraître en perte d’influence à Bruxelles. Jeudi, avec l’aide de Giorgia Meloni, il a donc pu crier victoire. Mais il ne s’agit là que d’un court répit. « Nous attendons depuis vingt-six ans cet accord, donc perdre trois semaines, ce n’est pas un problème », a assuré le président du Conseil européen, Antonio Costa. 
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-Jeudi soir, Emmanuel Macron a ajouté une nouvelle condition à l’éventuel support de la France : le maintien des aides directes de la politique agricole commune (PAC) dans le prochain budget communautaire (2028 - 2034), qui n’y sont aujourd’hui garanties qu’à hauteur de 80 %. Là-dessus, ses préoccupations rejoignent celles de Giorgia Meloni, qui a également mis ce point sur la table. « On est en pleine négociation du budget, je ne vois pas comment il pourrait y avoir une assurance à ce sujet », commente un haut fonctionnaire européen. 
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-Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Accord UE-Mercosur : l’Italie tiraillée entre la défense des agriculteurs et les intérêts des industriels exportateurs 
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-Contrairement à la France, où la quasi-totalité du spectre politique est viscéralement opposée au traité de libre-échange, l’Italie, dont la balance commerciale est largement excédentaire, n’en fait pas une affaire de principe. Reste à voir comment Rome appréciera la situation en janvier. 
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-Virginie Malingre (Bruxelles, bureau européen) et Philippe Jacqué (Bruxelles, bureau européen) 
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