Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.
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elsenews:spot-2025:11:seo-ia [25/11/2025/H09:33:48] 127.0.0.1 modification externe |
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| - | ====== Google n'est plus le modèle : les IA génèrent des réponses très différentes du moteur ====== | ||
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| - | Si les moteurs de recherche sont encore le point d’entrée du web, une nouvelle étude révèle à quel point les LLM s’éloignent des résultats SEO traditionnels. Une tendance qui pourrait remodeler la visibilité en ligne des sites, sans que les éditeurs n’en aient pleinement conscience. | ||
| - | En effet, l’analyse menée par SearchAtlas compare plus de 18 000 requêtes similaires entre Google et trois modèles : Perplexity, OpenAI et Gemini. À travers un examen très fin des citations, notamment sur les URLs et les domaines, l’objectif était de mesurer à quel point les IA reprennent ce que Google met en avant. Et les écarts sont plus marqués qu’on ne l’imagine… | ||
| - | Perplexity, le modèle le plus proche des résultats de Google | ||
| - | Perplexity propose des résultats fidèles à Google – Source : SearchAtlas | ||
| - | Pour commencer, Perplexity est le seul des trois systèmes à intégrer une recherche web en direct. Sans surprise, cette mécanique rapproche son comportement de celui d’un moteur classique. | ||
| - | Selon l’étude, la plateforme affiche un recouvrement de 25 à 30% avec les domaines qui apparaissent dans Google. Au niveau des URLs, la correspondance atteint environ 20%, soit un taux élevé pour des pages précises. Au total, Perplexity partage près de 18 500 domaines avec Google, soit plus de 40% de l’ensemble de ses sources citées. | ||
| - | Des logiques plus sélectives pour OpenAI et Google ? | ||
| - | Les résultats de l’étude concernant Google sont particulièrement étonnants… – Source : SearchAtlas | ||
| - | ChatGPT, qui fonctionne sans recherche en direct par défaut, adopte une stratégie bien différente. Le modèle privilégie des sources internes ou consolidées, | ||
| - | Gemini, pourtant développé par Google, surprend par une faible proximité avec les résultats du moteur, si bien que ses citations se révèlent très variables d’une requête à l’autre. L’étude montre qu’il ne partage que 160 domaines avec Google sur l’ensemble des requêtes analysées, soit environ 4% des domaines du moteur, même si ces mêmes domaines constituent 28% des sources de Gemini. | ||
| - | Cette sélection restreinte laisse penser que le modèle privilégie une base de sources limitée, filtrée, parfois très éloignée des pratiques SEO actuelles. | ||
| - | Ce que cela change pour la visibilité web | ||
| - | Au delà de la comparaison, | ||
| - | Cette analyse permet aussi de comprendre que les LLM ne répondent pas à la même logique de classement que Google. Là où l’optimisation SEO vise la pertinence algorithmique, | ||
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