Utilisateur non connecté
elsenews:spot-2025:11:repartitions-couts-emploi-ia [ElseNews]

Outils pour utilisateurs

Outils du site


elsenews:spot-2025:11:repartitions-couts-emploi-ia

Différences

Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.

Lien vers cette vue comparative

Les deux révisions précédentes Révision précédente
elsenews:spot-2025:11:repartitions-couts-emploi-ia [26/12/2025/H09:09:08]
216.73.216.167 supprimée
— (Version actuelle)
Ligne 1: Ligne 1:
- {{tag>a1}} 
-  
  
- 
----- 
-====== Le Monde.fr: « Pour faire face à l’IA qui menace l’emploi, il faut un nouveau partage du coût salarial » ====== 
- https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/11/15/pour-faire-face-a-l-ia-qui-menace-l-emploi-il-faut-un-nouveau-partage-du-cout-salarial_6653571_3232.html 
- 
-<hidden Article Complet (utilisateurs connectés)> 
-<ifauth @user> 
- 
-https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/11/15/pour-faire-face-a-l-ia-qui-menace-l-emploi-il-faut-un-nouveau-partage-du-cout-salarial_6653571_3232.html 
- 
-INTELLIGENCE ARTIFICIELLE 
-« Pour faire face à l’IA qui menace l’emploi, il faut un nouveau partage du coût salarial » 
-TRIBUNE 
-Benoît Borrits 
- 
-Entrepreneur 
- 
-Dans une tribune au « Monde », Benoît Borrits, initiateur d’une proposition de loi pour la Sécurité économique, et sociale suggère un nouveau partage du coût du travail pour concilier innovation, emploi et cohésion sociale. 
- 
-Publié hier à 18h30   Temps deLecture 2 min. 
- 
-Lire dans l’application 
- 
- 
- 
-Article réservé aux abonnés 
- 
-Le 28 octobre, le géant Amazon annonçait la suppression prochaine de 14 000 emplois, rendue possible par l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA). Pour la même raison, la banque Goldman Sachs vient d’informer ses équipes qu’ils doivent s’attendre à une nouvelle vague de suppressions d’emplois cette année. D’une façon plus générale, près de la moitié des entreprises disent avoir déjà réduit leurs effectifs à cause de l’IA, selon une étude du groupe Adecco. 
- 
-Cette nouvelle technologie produira les mêmes effets que les précédentes : une augmentation de la productivité qui réduit les coûts pour l’ensemble des consommateurs au prix de la disparition de certains métiers et de nombreuses entreprises, ce que l’économiste Joseph Shumpeter appelait la « destruction créatrice ». Les innovations précédentes telles que le machinisme, le travail à la chaîne, la robotique, la bureautique et le big data ont détruit des emplois faiblement qualifiés. Cette nouvelle révolution s’en prend désormais à des emplois intellectuels. 
- 
-Il serait vain de rejeter par principe cette innovation capable, comme les précédentes, de nous assurer une meilleure qualité de vie. Cependant, cela ne peut pas se faire au détriment des travailleurs et de notre cohésion sociale. Or les précédentes innovations ont détruit des emplois qui n’ont été que partiellement retrouvés. Le chômage de masse reste une réalité et de plus en plus de personnes ont les plus grandes difficultés à vivre des revenus de leur travail. L’IA ne fera qu’aggraver une situation déjà critique. 
- 
-Lire aussi | Article réservé à nos abonnés « L’IA et l’emploi » : un impact très incertain sur le marché du travail 
- 
-Afin de faire face, il nous faut repenser les règles du jeu en matière d’emploi. Aujourd’hui, chaque entreprise supporte seule le coût salarial. Nous proposons d’instaurer une nouvelle règle selon laquelle ce coût serait partagé : l’entreprise n’en assumerait qu’une partie, tandis que le reste serait pris en charge collectivement par l’ensemble des autres entreprises. Un tel mécanisme créerait un puissant levier d’incitation à l’embauche et entraînerait une forte augmentation des offres d’emploi. 
- 
-Responsabiliser l’entreprise 
-Très concrètement, il s’agirait de garantir à chaque entreprise une allocation mensuelle fixe par emploi, financée collectivement par l’ensemble des entreprises. Chacune contribuerait à hauteur d’un pourcentage de la richesse qu’elle a produite. Tel est le projet de la Sécurité économique et sociale (SES), un système fonctionnant sur l’équilibre budgétaire entre allocations et contributions : des entreprises y gagneraient et d’autres y perdraient. 
- 
-Une entreprise qui, grâce à l’IA ou à une autre technologie, supprimerait des emplois, perdrait les allocations relatives à ceux-ci. Dans le même temps, elle continuerait, comme toutes les autres, de payer le même pourcentage sur la richesse qu’elle aurait produite. Ceci permettrait ainsi aux entreprises introduisant des ruptures technologiques d’assumer les conséquences sociales de leurs décisions. 
- 
-Un tel mécanisme rappelle le projet de taxe sur les robots [portée par le candidat socialiste à l’élection présidentielle 2017, Benoît Hamon] qui visait à faire contribuer ceux-ci à la protection sociale. Mais la difficulté d’une telle taxe aurait été de déterminer ce qui relève du robot ou pas. La SES évite cet écueil et s’applique à toute rupture technologique. 
- 
-Lire aussi la tribune | Article réservé à nos abonnés « Les transformations induites par l’IA ne se limitent pas à la question de l’emploi, mais touchent aussi à la qualité du travail » 
- 
-De plus, celle-ci ne s’oppose pas par principe à l’innovation. En effet, la mesure de la richesse produite par chaque entreprise, qui permet de déterminer la contribution due, est fondée sur la différence entre les encaissements de ventes et de subventions d’un côté et les paiements d’achats et d’impôts de l’autre. Cela signifie que tout encaissement est soumis à contribution mais qu’à l’inverse, tout achat, au même titre que les emplois, est aidé par l’ensemble des entreprises. Très concrètement, tout investissement de long terme est ainsi, en partie, payé par l’ensemble des entreprises. 
- 
-La SES aide donc les entreprises à investir dans des technologies de rupture capables d’apporter une amélioration de nos conditions de vie sans se faire au détriment de l’emploi. Les valorisations abyssales de certaines entreprises n’existent que parce qu’elles sont aujourd’hui dégagées de toute responsabilité sociale. A l’inverse, ce dispositif responsabiliserait toute entreprise en l’aidant dans ses emplois et en la pénalisant au cas où elle supprimerait des postes de travail. Son objectif est de favoriser le progrès et les gains de productivité dans le cadre d’une société plus homogène où chacune et chacun aura sa place. 
- 
-Benoît Borrits, entrepreneur en informatique et initiateur de la proposition de Sécurité économique et sociale. 
- 
-Benoît Borrits (Entrepreneur) 
- 
- 
-Voir les commentaires 
-Nos lecteurs ont lu ensuite 
- 
- 
-Article réservé à nos abonnés Hugo Travers (« HugoDécrypte ») : « Quand je fais mes courses, je ne suis pas Leonardo DiCaprio » 
- 
-Article réservé à nos abonnés « L’amour pour la Rome antique d’Elon Musk et de Mark Zuckerberg dissimule une fascination secrète pour l’impérialisme » 
- 
-Article réservé à nos abonnés « La souveraineté numérique européenne est un défi d’ordre civilisationnel » 
- 
-Alex Ursulet, célèbre avocat accusé de viol sur une stagiaire, acquitté par la cour criminelle de Paris 
- 
-Logement : l’Assemblée nationale adopte un nouveau statut fiscal pour inciter les particuliers à louer à un prix abordable 
- 
-EN DIRECT, guerre en Ukraine : l’armée ukrainienne annonce avoir attaqué une raffinerie russe près de Moscou. Retrouvez les informations du 8 au 15 novembre. 
- 
-Donald Trump rompt avec Marjorie Taylor Greene, figure du camp MAGA, en raison de l’affaire Epstein 
- 
-Maurice Denuzière, ancien journaliste devenu écrivain, est mort 
- 
-Article réservé à nos abonnés « The Beast in Me », sur Netflix : un voisin à l’histoire trouble 
- 
-Article réservé à nos abonnés Le Rassemblement national tourne en dérision la commémoration des dix ans du 13-Novembre 
- 
-Des rassemblements dans plusieurs villes en France contre les violences faites aux enfants 
- 
-Article réservé à nos abonnés Après la fin du shutdown, ce que l’on sait sur l’état de l’économie américaine 
- 
-Radio Nova défend la « liberté d’expression » à la suite d’une plainte de Laurent Nuñez contre l’humoriste Pierre-Emmanuel Barré 
- 
-Le siège du groupe RMC BFM évacué pendant plus de deux heures et demie après une alerte à la bombe 
- 
-Article réservé à nos abonnés « L’IA et l’emploi » : un impact très incertain sur le marché du travail 
- 
-Article réservé à nos abonnés Ludovic Berthier, l’orfèvre de la physique statistique 
-Jeux 
-Découvrir 
-Mots croisés mini 
- 
-Profitez tout l’été de grilles 5x5 inédites et ludiques, niveau débutant 
- 
-Mots croisés 
- 
-Chaque jour une nouvelle grille de Philippe Dupuis 
- 
-Mots trouvés 
- 
-10 minutes pour trouver un maximum de mots 
- 
-Voir plus 
-SERVICES LE MONDE 
-GUIDES D'ACHAT LE MONDE 
-LE MONDE À L'INTERNATIONAL 
-SERVICES PARTENAIRES 
-SITES DU GROUPE 
-NEWSLETTERS DU MONDE 
- 
-Recevoir les newsletters du Monde 
-APPLICATIONS MOBILES 
- 
-Sur iPhone 
-Sur Android 
-ABONNEMENT 
- 
-Archives du Monde  
-S’abonner / Se désabonner  
-Se connecter  
-Consulter le Journal du jour Évenements abonnés Jeux-concours abonnés Contacter Le Monde 
-INFORMATIONS LÉGALES LE MONDE 
-Mentions légales 
-Charte du Groupe 
-Politique de confidentialité 
-Gestion des cookies 
-Conditions générales 
-Aide (FAQ) 
-Votre avis sur le site 
-SUIVEZ LE MONDE 
- 
-Facebook 
-Youtube 
-Instagram 
-Snapchat 
-TikTok 
-Fils RSS 
- 
-</ifauth> 
-</hidden> 
× iphelper toolbox

you see this when javscript or css is not working correct

Untested
IP Address:
First usable:
Subnet:
Last usable:
CIDR:
Amount of usable:
Network address:
Reverse address:
Broadcast address: