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-====== Le Monde – « I’m Only F**king Myself », de Lola Young, confession pop et luxure débridée ====== 
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- https://www.lemonde.fr/culture/article/2025/09/23/i-m-only-f-king-myself-de-lola-young-confession-pop-et-luxure-debridee_6642501_3246.html 
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-Extrait !! : 
-===== Si musicalement This Wasn’t Meant For You Anyway, servait déjà un cocktail éclectique d’indie pop, de soul et de R’n’B, I’m Only F**king Myself y insuffle des guitares rock crades, comme pour mieux être raccord avec ses mots : notamment avec l’addictif F**k Everyone, posé sur un groove garage, avec en sus un riff bien grunge pour dynamiter le refrain, ainsi que le rock tendance slacker Can We Ignore It ?. Sur les arpèges déprimés de Spiders, son timbre brisé se révèle particulièrement émouvant. Les vocalises perchées de Post Sex Clarity lorgnent vers la power ballade des années 1990 façon Alanis Morissette, flanquée du sticker Parental Advisory Explicit Lyrics. On préférera l’indie folk survitaminé de Not Like That Anymore, où elle détaille une énième désillusion sentimentale, non sans un humour cru ravageur. ===== 
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-Culture 
-« I’m Only F**king Myself », de Lola Young, confession pop et luxure débridée 
-La chanteuse britannique sort un audacieux troisième album centré sur sa sexualité et son penchant à l’autosabordage. 
-Par Franck Colombani 
-Par Franck Colombani 
-Par Franck Colombani 
-Article réservé aux abonnés 
-LOUISE GOUIN 
-Lola Young, en septembre 2025. LOUISE GOUIN 
-Ce fut la bande-son virale incontournable des stories Instagram et TikTok de la fin d’année 2024. Le tubesque Messy, signé de la Britannique Lola Young, et son fameux refrain « Cause I’m too messy, and then I’m too fucking clean (Parce que je suis trop bordélique, et puis je suis trop propre ») s’est hissé au sommet des ventes de nombreux pays, sept mois après sa discrète parution. Aujourd’hui, alors que sort son troisième album, I’m Only F**king Myself (traduire « Je ne fais que me baiser moi-même »), elle cumule plus d’un milliard d’écoutes sur les plateformes de streaming. 
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-Agée de 24 ans, bouille ronde, yeux mistigri et piercings sur le visage, l’autrice, compositrice et interprète incarne, en 2025, un modèle de jeune femme libérée revendiquant ses imperfections. Son succès phénoménal l’a catapultée en première partie de la tournée mondiale de l’Américaine Billie Eilish, tout en raflant au passage le prestigieux prix Ivor Novello (meilleur espoir). 
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-Activement ballottée entre les festivals, mais aussi passée par une cure de désintox, la diva de Croydon, au Sud de Londres, entend battre le fer tant qu’il est encore chaud en publiant I’m Only F**king Myself, à peine quinze mois après son prédécesseur, This Wasn’t Meant For You Anyway. Enregistré au cours du premier semestre à New York, dans le légendaire studio Electric Lady, ainsi qu’à Paris, le coté studio Rue Boyer (Rosita, Lana del Rey), I’m Only F**king Myself a été conçu sous la houlette du fidèle duo de producteurs Manuka (William Brown et Conor Dickinson) avec qui Lola Young cosigne toutes les chansons depuis ses débuts, ainsi que le Californien Jason Solomonophonic (SZA). 
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-Du charnel, mais décadent 
-A entendre les textes de la diplômée de la Brit School sur cette audacieuse douzaine de compositions, son seul talent autoproclamé serait pourtant celui de l’autosabordage. Diagnostiquée d’un trouble schizo-affectif à ses 17 ans, la parolière à la voix rocailleuse repousse sur ce troisième opus ses limites de l’introspection, avec pour thème principal le sexe. Du charnel certes, mais décadent voire pathétique par moments, grattant sous le vernis de la luxure un mal-être identitaire. Elle affiche sa bisexualité sur F**k Everyone, rassasie ses pulsions avec fille ou garçon, peu importe s’ils ne l’aiment pas (I just wanna fuck guys who don’t like me and don’t mind). Ses dérives sentimentales très crues feraient passer Taylor Swift pour Dorothée. Sur la pochette teintée d’ironie, elle pose d’ailleurs avec une poupée gonflable à son effigie, prônant les plaisirs en solitaire. 
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-Si musicalement This Wasn’t Meant For You Anyway, servait déjà un cocktail éclectique d’indie pop, de soul et de R’n’B, I’m Only F**king Myself y insuffle des guitares rock crades, comme pour mieux être raccord avec ses mots : notamment avec l’addictif F**k Everyone, posé sur un groove garage, avec en sus un riff bien grunge pour dynamiter le refrain, ainsi que le rock tendance slacker Can We Ignore It ?. Sur les arpèges déprimés de Spiders, son timbre brisé se révèle particulièrement émouvant. Les vocalises perchées de Post Sex Clarity lorgnent vers la power ballade des années 1990 façon Alanis Morissette, flanquée du sticker Parental Advisory Explicit Lyrics. On préférera l’indie folk survitaminé de Not Like That Anymore, où elle détaille une énième désillusion sentimentale, non sans un humour cru ravageur. 
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-Elle change pertinemment de registre, dans une veine pop réverbérée sur Walk All Over You, ou encore le jazzy Sad Sob Story !, où elle descend en flamme le compte Instagram de son ex… Toujours sur le thème de la sexualité, One Thing flirte avec la dance-pop, mais le refrain calque trop les courbes du Training Season de Dua Lipa, sans vraiment s’en émanciper. D£aler, où elle raconte sa dépendance aux drogues, lui sied mieux sur un beat electro rudimentaire, une synthpop diablement entraînante. 
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-Finalement c’est sur Who Fuckin Cares ?, seulement accompagnée d’une guitare sèche, à nu et débarrassée de son penchant narcissique, qu’elle se révèle peut-être la plus sincère. Elle avoue pleurer en écoutant Radiohead et cherche encore la signification du bonheur. 
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-Lola Young, I’m Only F**king Myself Island/Polydor 
-Concerts 1er et 2 juin 2026, Olympia, Paris 8e. 
-Franck Colombani 
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