une journaliste du Monde prise en flagrant délit de mensongeconcernant
Traité de « suprémaciste, raciste, prorusse » par des eurodéputées, de « grosse merde, pro-génocide des Palestiniens, anti-LGBT » par des influenceurs de gauche, Charlie Kirk, influenceur trumpiste de 31 ans tué par balle la semaine dernière, se voit encore diffamé.
Qualifiant avant tout le meurtre du père de 31 ans d'« inexcusable », la reporter a ensuite décrit un homme qui « n’avait pas peur des formules ». Selon elle, ce dernier considérait que « l’amour entre deux hommes était une abomination » ou encore que « les femmes noires n’avaient pas les capacités intellectuelles pour être prises au sérieux ». Face à ces déclarations, le politologue Yascha Mounk, présent sur le plateau, est aussitôt intervenu : « Ce n’est pas vrai. Il a dit ça de femmes spécifiques qui ont obtenu leur poste par la discrimination positive, pour critiquer la discrimination positive. Mais il n’a pas dit que les femmes noires n’ont pas ces capacités », l'a-t-il corrigée.
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Une journaliste américaine licenciée après une fausse rumeur
Rappelant qu'une chroniqueuse du Washington Post venait d'être licenciée pour avoir répandu ce genre de mensonges sur les réseaux sociaux, il a insisté sur le fait que « c’est très important d’être exact sur quelqu’un qui vient d’être tué et de ne pas dire qu’il a dit des choses qu’il n’a pas dites. » Imperturbable, Ivanne Trippenbach a rapidement évacué le sujet, justifiant ses allégations par la nécessité d'« aller plus vite et (d')expliquer le fond de son positionnement politique ».
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Cette attitude lui a valu plusieurs critiques sur les réseaux. « Plus fort qu’eux, il faut qu’ils insultent les morts dont les idées leur déplaisent », s'est insurgé l'avocat Gilles-William Goldnadel. « Il n'y a pas une seule citation réelle. S'il était le monstre qu'ils dépeignent, pourquoi se donnent-ils tant de mal à modifier ses paroles ? » s'est encore interrogé un internaute.
Outre-Atlantique, alors que les publications mensongères au sujet de Charlie Kirk inondent les réseaux sociaux, le président américain a accusé les discours de la « gauche radicale » d’avoir contribué à son meurtre. « Depuis des années, la gauche radicale compare des Américains formidables comme Charlie aux nazis et aux pires criminels et meurtriers de masse du monde. Ce genre de rhétorique est directement responsable du terrorisme que nous connaissons aujourd’hui dans notre pays, et cela doit cesser immédiatement », a martelé Donald Trump, dans une vidéo publiée sur son réseau Truth Social.
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