Entretien Etabli par l’Ifop, le baromètre annuel de cette association, qui propose des distributions gratuites de produits alimentaires, d’hygiène et de vêtements, décrit une précarité étudiante qui s’enlise.
Propos recueillis par Henri Rouillier
Publié le 29 septembre 2025 à 10h00 , mis à jour le 29 septembre 2025 à 11h05
Lecture : 4 min.
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Des étudiants font la queue lors d’une distribution alimentaire organisée par l’association « Union Pirate », à l’université Rennes 2, en septembre 2024. DAMIEN MEYER / AFP
La troisième édition du baromètre annuel de la précarité étudiante, réalisé par l’Ifop pour l’association COP1, nous apprend que 16 % des étudiants ont déjà eu recours à l’aide alimentaire. Dans le même temps, 47 % des quelque 150 000 bénéficiaires de cette structure fondée il y a cinq ans, limitent leurs achats d’hygiène ou y renoncent, faute de moyens financiers. Marine Issartel, directrice du plaidoyer chez COP1, décrypte pour « le Nouvel Obs…
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