Utilisateur non connecté
elsenews:spot-2025:09:danemark [ElseNews]

Outils pour utilisateurs

Outils du site


elsenews:spot-2025:09:danemark

Différences

Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.

Lien vers cette vue comparative

Les deux révisions précédentes Révision précédente
elsenews:spot-2025:09:danemark [26/12/2025/H09:45:48]
216.73.216.167 supprimée
— (Version actuelle)
Ligne 1: Ligne 1:
- {{tag>a1}} 
-  
  
- 
----- 
-====== Le Monde – « La période actuelle traversée par le Danemark fait penser à la mésaventure de la Finlande avec Nokia dans les années 2000 » ====== 
- https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/09/17/la-periode-actuelle-traversee-par-le-danemark-fait-penser-a-la-mesaventure-de-la-finlande-avec-nokia-dans-les-annees-2000_6641501_3234.html 
- 
-<hidden Article Complet (utilisateurs connectés)> 
-<ifauth @user> 
- 
-https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/09/17/la-periode-actuelle-traversee-par-le-danemark-fait-penser-a-la-mesaventure-de-la-finlande-avec-nokia-dans-les-annees-2000_6641501_3234.html 
- 
-ÉCONOMIE 
-« La période actuelle traversée par le Danemark fait penser à la mésaventure de la Finlande avec Nokia dans les années 2000 » 
-CHRONIQUE 
- 
-Olivier Pinaud 
-Les difficultés recontrées par le laboratoire pharmaceutique Novo Nordisk ou le champion de l’éolien en mer Orsted fragilisent l’économie danoise. Celle-ci repose en large partie sur la manne de ses multinationales, comme en son temps celle de la Finlande sur le champion de la téléphonie, remarque Olivier Pinaud, journaliste économique au « Monde ». 
-Aujourd’hui à 11h00 
-Lecture 1 min 
-Article réservé aux abonnés 
-Offrir 
-C’était l’époque dorée où les superprofits coulaient à flots, promettant investissements massifs et créations d’emplois par milliers. Une période faste où une entreprise pouvait, à elle seule, doubler le rythme de croissance du pays, autorisant le ministre des finances à promettre, comme en août, réductions d’impôts, factures d’électricité moins élevées et programmes sociaux mieux financés. 
- 
- 
-Le siège de Novo Nordisk à Bagsvaerd (Danemark), le 5 février 2025. MADS CLAUS RASMUSSEN/AP 
-Ce temps est révolu. Depuis une semaine, le Danemark déchante. Novo Nordisk, son laboratoire pharmaceutique béni, celui qui assurait, jusqu’en 2024, 15 % de ses recettes fiscales, a révélé, mercredi 10 septembre, vouloir supprimer 9 000 emplois, dont 5 000 dans son pays, après avoir perdu sa position de leader sur le marché américain des médicaments contre l’obésité. 
- 
-Et maintenant, c’est un autre géant danois, Orsted, qui vacille. Mis à terre par le veto du président américain, Donald Trump, à un important projet aux Etats-Unis, le numéro un mondial des fermes éoliennes en mer a annoncé, mardi 16 septembre, procéder à une recapitalisation de 60 milliards de couronnes danoises (8 milliards d’euros) en bradant ses actions de 40 % par rapport à leur valeur sur le marché. L’ancienne star des renouvelables ne vaut plus que 11 milliards d’euros, sept fois moins qu’à son zénith de janvier 2021. 
- 
-Un trop grand confort 
-Ces difficultés fragilisent l’économie danoise, devenue accro à ses multinationales. Dans les années 1980, les revenus des dix plus grandes entreprises du pays, comme Novo Nordisk, Orsted mais aussi le transporteur maritime Maersk ou le fabricant de jouets Lego, correspondaient à 20 % de son produit intérieur brut (PIB). Leur poids atteint désormais environ 45 %, indique Martin Jes Iversen, chercheur en histoire des affaires à la Copenhagen Business School, cité par Bloomberg. Pour certains économistes, la manne de ces multinationales a plongé le pays dans un trop grand confort. Obnubilés par le principe du ruissellement, les responsables politiques auraient cédé à l’immobilisme et à la facilité. 
- 
-Novo Nordisk ou Orsted peuvent toujours redresser leur situation. Mais la période actuelle traversée par le Danemark fait penser à la mésaventure de la Finlande dans les années 2000. Devenu ultraprospère grâce au succès mondial de Nokia, le pays nordique a ensuite payé très cher la chute de l’ancienne star des téléphones mobiles, balayée par l’arrivée du premier iPhone d’Apple, en juin 2007. Alors qu’il atteignait 5 % au milieu des années 2000, le poids de Nokia dans le PIB finlandais n’était plus que de 0,5 % en 2011 après une série de plans sociaux et de fermetures d’usines. 
- 
-Lire aussi la chronique 
-« Après avoir dominé le marché de l’anti-obésité, le danois Novo Nordisk fait face à une nuée de concurrents dans les starting-blocks » 
-Olivier Pinaud 
-NOS LECTEURS ONT LU ENSUITE 
-Chez les patrons, le sentiment d’être injustement pris pour cible par les mouvements sociaux 
- 
-Aujourd’hui à 08h40 
-Les logiciels pour surveiller les salariés, au bureau ou à distance, de plus en plus utilisés aux Etats-Unis 
- 
-Aujourd’hui à 05h00 
-« Sébastien Lecornu peut, au mieux, tenter de faire baisser la pression pour que la vague du dégagisme n’emporte pas tout » 
- 
-Hier à 05h15 
-Arnaud Fossier, historien : « A quand un Puy du Fou de gauche ? » 
- 
-Aujourd’hui à 05h30 
-La tapisserie de Bayeux, œuvre presque millénaire et baromètre des passions franco-britanniques 
- 
-Hier à 07h00 
-Le milliardaire Pierre-Edouard Stérin visé par une enquête après son refus de comparaître à l’Assemblée nationale 
- 
-Hier à 19h51 
-CONTRIBUTIONS 
-Bienvenue dans l’espace des contributions 
-Pour améliorer la qualité des échanges sous nos articles, ainsi que votre expérience de contribution, nous vous invitons à consulter nos règles d’utilisation. 
-Voir les contributions 
-</ifauth> 
-</hidden> 
× iphelper toolbox

you see this when javscript or css is not working correct

Untested
IP Address:
First usable:
Subnet:
Last usable:
CIDR:
Amount of usable:
Network address:
Reverse address:
Broadcast address: