Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.
| Les deux révisions précédentes Révision précédente | |||
|
elsenews:spot-2025:08:bilan-aurillac [26/12/2025/H11:49:14] 216.73.216.167 supprimée |
— (Version actuelle) | ||
|---|---|---|---|
| Ligne 1: | Ligne 1: | ||
| - | | ||
| - | |||
| - | |||
| - | |||
| - | ---- | ||
| - | ====== Aurillac : quel bilan pour le festival de théâtre de rue ? ====== | ||
| - | Publié : 26 août 2025 à 18h05 par La rédaction | ||
| - | L' | ||
| - | Des dégradations dans les rues d' | ||
| - | Crédit : Fanny Paul / Totem | ||
| - | |||
| - | C'est l' | ||
| - | d' | ||
| - | C'est toujours difficile de dire ce qu'il ne se passe pas. En tout cas, on a eu plusieurs actes préparatoires, | ||
| - | À noter également, le renfort de gendarmes et de policiers sur le terrain. 1.000 dépistages alcool et stupéfiants | ||
| - | ont été réalisés sur les routes du Cantal lors du festival. | ||
| - | De son côté, le maire d' | ||
| - | https:// | ||
| - | |||
| - | |||
| - | ---- | ||
| - | https:// | ||
| - | |||
| - | ====== Nuance forcée pour le bilan du théâtre de rue à Aurillac : "Le festival ne menace rien, il est une respiration" | ||
| - | Exercice classique rendu difficile par les violences de mercredi dernier, la conférence de presse de bilan du Festival a permis à l’État et à la Ville de réaffirmer leur soutien au théâtre de rue. | ||
| - | Article inclus dans votre abonnement | ||
| - | |||
| - | Par Pierre Chambaud | ||
| - | |||
| - | Publié le 27 août 2025 à 08h07 | ||
| - | |||
| - | 12 commentaires | ||
| - | |||
| - | |||
| - | La présence accrue de policiers, vendredi, n’aura pas enflammé le festival et a contribué à éteindre une tentative d’affrontements © Jérémie FULLERINGER | ||
| - | Écouter l' | ||
| - | |||
| - | 00:00 | ||
| - | Une conférence de presse peut tenir de l’exercice acrobatique que les circassiens au programme des compagnies de passage ne renieraient pas. Comment faire le bilan d’une édition du Festival de théâtre de rue réussie d’un côté, mais entachée d’un épisode de violence, mercredi, et d’une tentative de déstabilisation vendredi ? | ||
| - | |||
| - | Philippe Loos, préfet du Cantal, Pierre Mathonier, maire (PS) d’Aurillac et Frédéric Remy, directeur d’Éclat, association qui organise le festival, ont fait des allers/ | ||
| - | |||
| - | 201.000 personnes | ||
| - | Le logiciel Flux Vision, de l’Office de tourisme, a compté 201.000 personnes en cumulé, en s’appuyant sur le décompte des téléphones. Si le mode de calcul a ses limites, il permet de comparer les années entre elles. 2023 est loin derrière, avec 159.000 personnes, et 2024, année record dopée par le 15 août au cœur de la fête, est approchée (232.000 spectateurs). | ||
| - | |||
| - | Ce festival, c’est de l’attractivité. Quand les hôtels sont pleins à 98 %, cela génère quelque chose. Il y a tout un écosystème qui est mis en place. | ||
| - | Pierre Mathonier (Maire (PS) d' | ||
| - | Il résume : « C’est un moment d’effervescence populaire. Les gens sourient, les gens rient. C’est un espace de mixité sociale, avec une large palette de spectacles gratuits, pour tous les âges. » | ||
| - | |||
| - | Et il y a cette tâche. Depuis le centre opérationnel départemental, | ||
| - | |||
| - | Le contact dure plus d’une heure, les répliques durent jusqu’à trois heures du matin et des vitrines sont cassées, tout autour du Square : | ||
| - | |||
| - | J’ai une pensée pour les commerçants : l’État et les services publics seront là pour les accompagner et pour que cela ne soit qu’un mauvais souvenir | ||
| - | Philippe Loos (Préfet du Cantal) | ||
| - | La pensée est partagée par Pierre Mathonier, qui regrette que l’accent ait été mis uniquement sur « un espace de quelques centaines de mètres carrés et quelques vitrines, les mêmes images qui repassent en boucle, alors que les festivaliers qui étaient à l’Hôtel-de-Ville n’ont même rien vu. Je recevais des messages qui me disaient que tout Aurillac brûlait ! » | ||
| - | |||
| - | Rumeurs | ||
| - | Cela donne un récit sans nuances où les extrêmes se montent dessus, alliés de circonstances pour créer du vacarme : d’un côté, des émeutiers « qui étaient là pour générer un événement médiatique et créer une révolte » ; de l’autre, des influenceurs « dont on comprend la volonté de vouloir faire la promotion d’idées radicales ». | ||
| - | |||
| - | Loin des écrans de télé et des réseaux sociaux, le festival a continué à vivre. « La fréquentation n’a pas baissé, note Frédéric Remy. Ce qui a nui au festival, ce sont les événements, | ||
| - | |||
| - | Il sourit. « Il y a eu beaucoup de rumeurs. Il a fallu les démentir… J’aurais été appelé par la ville de Toulouse, qui souhaiterait reprendre le festival, ainsi que par une organisation de chats qui voudrait reprendre la rue aux chiens, en disant : elle est à nous ! » Il redevient sérieux : | ||
| - | |||
| - | Nous ne laisserons pas s’installer un récit travesti qui fait du festival un bouc émissaire. Le festival ne menace rien, il n’est pas un problème, il est une respiration. Il mérite d’être compris et je pense qu’il mérite d’être aimé et défendu. | ||
| - | Frédéric Remy (Directeur d' | ||
| - | Vendredi, un nouvel épisode de violence a été tué dans l’œuf. « On a vu des personnes aller au contact, se rappelle le préfet. Il y a eu un bond offensif de la part des CRS, ce qui a provoqué une dislocation complète du regroupement. » Éteint par les renforts policiers arrivés le jeudi matin, ce petit groupe radical avait tenté de rallier le public du festival à sa cause. Sans succès. La présence policière accrue n’a pas été l’étincelle mettant le feu aux poudres. | ||
| - | |||
| - | Changement | ||
| - | Le travail de médiation, entamé depuis plusieurs années et maintenu tout au long du festival, a aussi fonctionné. Le mouvement n’a pas fait tache d’huile, contrairement à l’attaque du tribunal, en 2023, ou quelques dizaines de manifestants à la mairie étaient devenus 1.000 au Palais de justice, au fil d’une déambulation. Mercredi, puis vendredi, « les émeutiers étaient là pour casser le festival, reprend Pierre Mathonier. Cela ne marchera pas, parce que les festivaliers ne sont pas prêts à casser une ville qui les accueille. » | ||
| - | |||
| - | En l’état, il n’y a pas de raison qu’un festival qui n’a pas été annulé en cours de route ne se tienne pas l’an prochain. « Il y a des gens qui le critiquent et qui le critiqueront toujours, clôt Frédéric Remy. Nous continuerons à aller vers eux. » « Le référendum, | ||
| - | |||
| - | Lire les 12 commentaires | ||
| - | Partager : | ||
| - | |||
| - | Hôtes pleins …. Oui peut être, mais combien de commerces sont fermés et ne peuvent pas travailler et combien cela coûte la collectivité ce genre de manifestation… coupons les subventions et on verra… Les auriaquois sont au moins tranquille un an. | ||
| - | |||
| - | 2,2 millions d euros de subventions pour 4 jours. Avant que les bénéfices des hôtels et autres commerces atteignent ce montant …. Stop à tous ces spectacles gratuits financés avec nos impôts | ||
| - | |||
| - | |||
| - | ---- | ||
| - | ====== Où est passé Oscar, un des deux cygnes emblématiques du square Vernemouze d' | ||
| - | Scarlett, 15 ans elle aussi, se retrouve seule dans le bassin du square Vernemouze. © Jérémie FULLERINGER | ||
| - | Le retour du couple emblématique à plumes blanches au square Vermenouze devait marquer la fin du Festival d’Aurillac. Et un retour à la normale après leur exfiltration jeudi 21 août, au matin, au lendemain des émeutes nocturnes qui ont entaché la première soirée du festival. Mais, hélas, il n’en est rien. | ||
| - | Car dans la nuit de vendredi 22 à samedi 23 août, le cygne Oscar, âgé d’une quinzaine d’années, | ||
| - | Une martre suspectée | ||
| - | Les deux cygnes blancs polonais « ont été installés jeudi 21 août au matin dans le chenil pour chiens vacants du CTM, anciennement affecté à la brigade cynophile de la police municipale. Ça représente 100 m² d’espace vert clôturé », explique Marc Delort, directeur du CTM. | ||
| - | « Les tôles qui entouraient le square avaient été arrachées la veille (par les émeutiers, ndlr) », précise Vincent Fournier. Le cygne Oscar « aurait été tué par une martre (de la même famille que les fouines, les mustélidés, | ||
| - | Le directeur du CTM est aussi convaincu par la piste qui mène à la présence de la martre. Selon lui, les traces de l’attaque, | ||
| - | Série noire | ||
| - | Au lendemain de l’attaque fatale, survenue dans la nuit de vendredi 22 à samedi 23 août et après avoir retrouvé le corps inanimé d’Oscar, les services de la ville ont pris en charge la protection de Scarlett. Elle a été retirée et « installée avec une bassine d’eau et à manger dans le local attenant au chenil », poursuit Marc Delort. Et la veuve à plumage blanc a pu retrouver dès mardi 26 août au matin son cours d’eau du square Arsène-Vermenouze, | ||
| - | Pour les cygnes blancs d’Aurillac, | ||
| - | « On lui cherche un remplaçant », fait savoir Vincent Fournier, qui assure avoir pris contact avec la ferme de Beaumont, spécialisée notamment dans l’élevage de certains oiseaux d’ornement. Mais la question se pose. | ||
| - | « Quid de l’avenir de ces cygnes en plein centre-ville ?, | ||
| - | A la une | ||
| - | https:// | ||
| - | |||
| - | |||
| - | ---- | ||
| - | ====== La Montagne: Nuance forcée pour le bilan du théâtre de rue à Aurillac : "Le festival ne menace rien, il est une respiration" | ||
| - | | ||
| - | |||
| - | La Montagne | ||
| - | |||
| - | Loisirs | ||
| - | Festival | ||
| - | Nuance forcée pour le bilan du théâtre de rue à Aurillac : "Le festival ne menace rien, il est une respiration" | ||
| - | Exercice classique rendu difficile par les violences de mercredi dernier, la conférence de presse de bilan du Festival a permis à l’État et à la Ville de réaffirmer leur soutien au théâtre de rue. | ||
| - | Article inclus dans votre abonnement | ||
| - | |||
| - | Par Pierre Chambaud | ||
| - | |||
| - | Publié le 27 août 2025 à 08h07 | ||
| - | 12 commentaires | ||
| - | |||
| - | |||
| - | La présence accrue de policiers, vendredi, n’aura pas enflammé le festival et a contribué à éteindre une tentative d’affrontements © Jérémie FULLERINGER | ||
| - | Écouter l' | ||
| - | |||
| - | |||
| - | 00:00 | ||
| - | |||
| - | Une conférence de presse peut tenir de l’exercice acrobatique que les circassiens au programme des compagnies de passage ne renieraient pas. Comment faire le bilan d’une édition du Festival de théâtre de rue réussie d’un côté, mais entachée d’un épisode de violence, mercredi, et d’une tentative de déstabilisation vendredi ? | ||
| - | |||
| - | À lire aussi | ||
| - | "On s’est retrouvés au milieu d’une bataille rangée" | ||
| - | Philippe Loos, préfet du Cantal, Pierre Mathonier, maire (PS) d’Aurillac et Frédéric Remy, directeur d’Éclat, association qui organise le festival, ont fait des allers/ | ||
| - | |||
| - | 201.000 personnes | ||
| - | Le logiciel Flux Vision, de l’Office de tourisme, a compté 201.000 personnes en cumulé, en s’appuyant sur le décompte des téléphones. Si le mode de calcul a ses limites, il permet de comparer les années entre elles. 2023 est loin derrière, avec 159.000 personnes, et 2024, année record dopée par le 15 août au cœur de la fête, est approchée (232.000 spectateurs). | ||
| - | |||
| - | Ce festival, c’est de l’attractivité. Quand les hôtels sont pleins à 98 %, cela génère quelque chose. Il y a tout un écosystème qui est mis en place. | ||
| - | Pierre Mathonier (Maire (PS) d' | ||
| - | Il résume : « C’est un moment d’effervescence populaire. Les gens sourient, les gens rient. C’est un espace de mixité sociale, avec une large palette de spectacles gratuits, pour tous les âges. » | ||
| - | |||
| - | Et il y a cette tâche. Depuis le centre opérationnel départemental, | ||
| - | |||
| - | À lire aussi | ||
| - | " | ||
| - | Le contact dure plus d’une heure, les répliques durent jusqu’à trois heures du matin et des vitrines sont cassées, tout autour du Square : | ||
| - | |||
| - | J’ai une pensée pour les commerçants : l’État et les services publics seront là pour les accompagner et pour que cela ne soit qu’un mauvais souvenir | ||
| - | Philippe Loos (Préfet du Cantal) | ||
| - | La pensée est partagée par Pierre Mathonier, qui regrette que l’accent ait été mis uniquement sur « un espace de quelques centaines de mètres carrés et quelques vitrines, les mêmes images qui repassent en boucle, alors que les festivaliers qui étaient à l’Hôtel-de-Ville n’ont même rien vu. Je recevais des messages qui me disaient que tout Aurillac brûlait ! » | ||
| - | |||
| - | Rumeurs | ||
| - | Cela donne un récit sans nuances où les extrêmes se montent dessus, alliés de circonstances pour créer du vacarme : d’un côté, des émeutiers « qui étaient là pour générer un événement médiatique et créer une révolte » ; de l’autre, des influenceurs « dont on comprend la volonté de vouloir faire la promotion d’idées radicales ». | ||
| - | |||
| - | Loin des écrans de télé et des réseaux sociaux, le festival a continué à vivre. « La fréquentation n’a pas baissé, note Frédéric Remy. Ce qui a nui au festival, ce sont les événements, | ||
| - | |||
| - | Il sourit. « Il y a eu beaucoup de rumeurs. Il a fallu les démentir… J’aurais été appelé par la ville de Toulouse, qui souhaiterait reprendre le festival, ainsi que par une organisation de chats qui voudrait reprendre la rue aux chiens, en disant : elle est à nous ! » Il redevient sérieux : | ||
| - | |||
| - | Nous ne laisserons pas s’installer un récit travesti qui fait du festival un bouc émissaire. Le festival ne menace rien, il n’est pas un problème, il est une respiration. Il mérite d’être compris et je pense qu’il mérite d’être aimé et défendu. | ||
| - | Frédéric Remy (Directeur d' | ||
| - | À lire aussi | ||
| - | Palais de justice saccagé à Aurillac : " | ||
| - | Vendredi, un nouvel épisode de violence a été tué dans l’œuf. « On a vu des personnes aller au contact, se rappelle le préfet. Il y a eu un bond offensif de la part des CRS, ce qui a provoqué une dislocation complète du regroupement. » Éteint par les renforts policiers arrivés le jeudi matin, ce petit groupe radical avait tenté de rallier le public du festival à sa cause. Sans succès. La présence policière accrue n’a pas été l’étincelle mettant le feu aux poudres. | ||
| - | |||
| - | Changement | ||
| - | Le travail de médiation, entamé depuis plusieurs années et maintenu tout au long du festival, a aussi fonctionné. Le mouvement n’a pas fait tache d’huile, contrairement à l’attaque du tribunal, en 2023, ou quelques dizaines de manifestants à la mairie étaient devenus 1.000 au Palais de justice, au fil d’une déambulation. Mercredi, puis vendredi, « les émeutiers étaient là pour casser le festival, reprend Pierre Mathonier. Cela ne marchera pas, parce que les festivaliers ne sont pas prêts à casser une ville qui les accueille. » | ||
| - | |||
| - | En l’état, il n’y a pas de raison qu’un festival qui n’a pas été annulé en cours de route ne se tienne pas l’an prochain. « Il y a des gens qui le critiquent et qui le critiqueront toujours, clôt Frédéric Remy. Nous continuerons à aller vers eux. » « Le référendum, | ||
| - | |||
| - | |||
| - | ---- | ||
| - | ====== La Montagne: "Toute l’équipe bosse ensemble, ce qui est rare" : comment nettoyer la ville d' | ||
| - | |||
| - | https:// | ||
| - | |||
| - | La Montagne | ||
| - | |||
| - | Travaux - Urbanisme | ||
| - | "Toute l’équipe bosse ensemble, ce qui est rare" : comment nettoyer la ville d' | ||
| - | Sur le pont tous les matins du Festival de théâtre de rue, du mercredi 20 au samedi 23 août, les services techniques s’attaquent à leur mission la plus volumineuse : remettre le centre-ville dans le meilleur état de propreté possible. | ||
| - | Article inclus dans votre abonnement | ||
| - | |||
| - | Par Mathis Lagrange | ||
| - | |||
| - | Publié le 27 août 2025 à 12h23 | ||
| - | 11 commentaires | ||
| - | |||
| - | |||
| - | Six agents sont dépêchés spécialement pour faire disparaître tous les graffitis du centre-ville. © Jérémie FULLERINGER | ||
| - | Écouter l' | ||
| - | |||
| - | |||
| - | 00:00 | ||
| - | |||
| - | «Tout devait être propre pour le début de Ruralitic (aujourd’hui, | ||
| - | |||
| - | À lire aussi | ||
| - | "La rue est à nous" : Brésilien, Taïwanais, Estonien... Ces artistes du Festival d' | ||
| - | En priorité, les parkings. « C’est un des seuls moments durant l’année où il n’y a pas de voitures, explique Clément Gaillard, agent d’entretien. On peut repartir de zéro. » Ils ont fait en premier lieu le parking du Gravier, grandement sollicité par les stands alimentaires, | ||
| - | |||
| - | « Depuis le Covid, on voit de gros efforts de la part des personnes sur les déchets » | ||
| - | Christian Raoux (chef d' | ||
| - | |||
| - | « Depuis le Covid, on voit de gros efforts de la part des personnes sur les déchets, reconnaît Christian Raoux. Même lorsque les poubelles sont pleines, ils mettent leurs ordures à côté de la corbeille et beaucoup moins n’importe où dans la rue. » Le chef d’équipe n’en est pas à son premier festival à Aurillac. Bien que le travail soit conséquent, | ||
| - | |||
| - | |||
| - | Sur les 26 agents, cinq conduisent les véhicules de nettoyage. © Jérémie Fulleringer | ||
| - | |||
| - | |||
| - | Pendant de longues journées, les trois balayeuses et deux laveuses vont continuer de nettoyer l’hypercentre dans un premier temps, puis les quartiers en périphérie. | ||
| - | |||
| - | Enlever les tags injurieux en priorité | ||
| - | « On en découvre de nouveaux chaque jour. » Gilles Lathière ne les compte même plus. Il est le chef de service responsable du « détaguage ». « On doit enlever en priorité les tags injurieux, ceux dans les écoles et tous les appels à la manifestation du 10 septembre. » | ||
| - | |||
| - | |||
| - | © Jérémie Fulleringer | ||
| - | Deux méthodes. La première, la sableuse, intervient sur les surfaces comme de la pierre, ou du crépi. Un jet à forte pression projette du sable ultra-fin et fait partir le marquage. La seconde consiste à frotter avec un agent chimique sur les vitres, le métal ou notamment les blocs sanitaires. | ||
| - | |||
| - | « Ça ne revient jamais réellement comme neuf mais si un particulier souhaite retrouver sa façade neuve, la solution est de passer un coup de peinture après notre intervention. » | ||
| - | |||
| - | |||
| - | ---- | ||
| - | ====== Arrêt sur images: " | ||
| - | | ||
| - | |||
| - | " | ||
| - | |||
| - | enquête | ||
| - | " | ||
| - | Un localier : "On a vu arriver BFM et CNews avec leurs caméras, venir chercher ce qu’ils voulaient : de l’audimat" | ||
| - | |||
| - | Clara Barge | ||
| - | Clara Barge | ||
| - | 28 août 2025 Maj: 28 août 2025 | ||
| - | |||
| - | Réservé à nos abonné.e.s | ||
| - | " | ||
| - | Entre deux spectacles de théâtre et de cirque, Louna, 24 ans, reçoit un message de sa grand-mère. "Tout va bien ma chérie ? J'ai vu les émeutes aux infos" | ||
| - | |||
| - | Il | ||
| - | Clara Barge | ||
| - | " | ||
| - | |||
| - | Abonnez-vous pour pouvoir commenter ! | ||
| - | si vous êtes déjà abonné Connectez-vous | ||
| - | Commentaires préférés des abonnés | ||
| - | Asinaute sans pseudo 1185a | ||
| - | 28 août 2025 à 20:38:37 | ||
| - | 6 | ||
| - | Il se trouve que j'y étais, je suis arrivé en rentrant d'un spectacle sur le square Vermenouze quand les fumées des premières grenades peinaient à se disperser. Une cinquantaine de personnes en grappes de 5 à 10 montaient sporadiquement provoquer 3 r(...) | ||
| - | |||
| - | |||
| - | |||
| - | isaton | ||
| - | 28 août 2025 à 22:47:40 | ||
| - | 1 | ||
| - | Enfin, merci pour cet article qui me permet d’avoir l’info : un gars qui tague la façade d’une banque se fait arrêter par la police et des gens viennent protester contre son arrestation ; ensuite, le lendemain une manifestation dite « manif sauvage » est organisée pour protester contre la trop forte présence policière. | ||
| - | |||
| - | |||
| - | |||
| - | j’ai bon, question résumé ? | ||
| - | |||
| - | |||
| - | |||
| - | J’avais eu vent de cette bagarre sans aller plus loin dans l’information ; je restais juste étonné de cet événement dans ce cadre qu’est le festival des arts de la rue à cette période de l’année. | ||
| - | |||
| - | |||
| - | |||
| - | il y a trois/ | ||
| - | |||
| - | |||
| - | |||
| - | Encore merci à vous d’avoir relayé cette info dans ses juste proportions, | ||
| - | |||
| - | Asinaute sans pseudo 1185a | ||
| - | 28 août 2025 à 20:38:37 | ||
| - | 5 | ||
| - | Il se trouve que j'y étais, je suis arrivé en rentrant d'un spectacle sur le square Vermenouze quand les fumées des premières grenades peinaient à se disperser. Une cinquantaine de personnes en grappes de 5 à 10 montaient sporadiquement provoquer 3 rangées de crs qui tapaient sur leurs boucliers. Un groupe a fracassé un distributeur et endommagé la partie basse d'une vitrine de pharmacie, un barnum de buvette a été mis à terre. Un feu de palette a été allumé. Voilà. | ||
| - | |||
| - | Le lendemain soir, j'ai dû montrer patte blanche pour regagner ma location qui se trouvait dans la rue du commissariat, | ||
| - | |||
| - | L'une aurait été bien mensongère... | ||
| - | robin | ||
| - | 28 août 2025 à 20:06:00 | ||
| - | |||
| - | Aurillac et un des plus beau festival de théâtre de rue, il fait référence pour tous les autres à suivre, c'est un rassemblement familial pour tous, c'est du spectacle vivant gratuit, j'y ai pleuré de rire, en marge des dérives sont toujours possible, que la sécurité intervienne contre la violence, les brutalités, | ||
| - | |||
| - | il semblerait qu'ils se soient mis au service de leur candidat préféré qui semble avoir intérêt à ce que ça se passe mal pour paraitre le chevalier blanc qui remportera les suffrages | ||
| - | |||
| - | à force de provocations, | ||
| - | |||
| - | nul doute que les chaînes anxiogènes viendront couvrir l' | ||
| - | |||
| - | |||
| - | |||
you see this when javscript or css is not working correct