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| - | ====== Handicap et inclusion : pourquoi des villas ont-elles été construites à Saint-Cernin ? ====== | ||
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| - | « Nous avons travaillé le projet avec les personnes accompagnées, | ||
| - | L’association départementale de sauvegarde de l’enfant à l’adulte du Cantal vient d’achever un chantier colossal sur son site d’Anjoigny, | ||
| - | « Il n’était plus aux normes, et ne correspondait pas à ce qu’on attend d’un hébergement aujourd’hui », ajoute Marie-France Forses, directrice du complexe d’activités d’Anjoigny. À l’époque, | ||
| - | L' | ||
| - | C’était il y a trois ans. 2,5 millions d’euros plus tard, c’est un complexe harmonisé, flambant neuf et mis aux normes qui accueille aujourd’hui ces 28 travailleurs. « Le fil conducteur reste l’inclusion, | ||
| - | Chaque pavillon est composé de sept chambres, d’une cuisine commune et à l’étage, d’une mezzanine. « Nous avons plusieurs parcours d’habitat », précise Bruno Lacoste. En plus de ces villas, quinze studios dans le bourg de Saint-Cernin (partenaire de l’ADSEA) permettent à d’autres personnes de vivre en semi-autonomie, | ||
| - | Un surveillant de nuit garde un œil sur cinq villas depuis le bureau dans l’une d’elles. « Cela permet de ne pas être sous l’œil constant du professionnel », indique Bruno Lacoste. En plus de ces quatre hébergements sortis de terre, l’ADSEA a réhabilité une cinquième maison, existante sur le site : la villa Thourou. Quatre résidents y sont hébergés. | ||
| - | Une restauration en profondeur | ||
| - | L’autre axe d’amélioration, | ||
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| - | « Il existe peu d’Esat agricoles en France, beaucoup sont consacrés aux espaces verts, à la blanchisserie, | ||
| - | "Ici, les personnes accompagnées ont une forte valeur du travail, ils sont très attachés à la qualité du travail et aux exigences du client. Quand la demande est plus forte, de petites équipes sont constituées sur la base du volontariat, | ||
| - | Bruno Lacoste (Directeur de l' | ||
| - | L’ADSEA s’inscrit comme un acteur départemental. À travers son pôle de protection de l’enfance, | ||
| - | La mise en œuvre est prévue en septembre 2025, avec treize postes créés. Sur le dispositif intégré thérapeutique éducatif et pédagogique (Ditep), en septembre 2024, l’ADSEA a déménagé son site de Polminhac à Aurillac, rue de Limagne. | ||
| - | Les autres investissements dans le Cantal | ||
| - | Début 2024, elle a acquis un ancien hôtel du centre-ville de Mauriac pour restructurer l’hébergement de l’IME (institut médico-éducatif) de Mauriac. « Le site historique ne répondait plus aux besoins d’aujourd’hui, | ||
| - | Un nouveau terrain avenue Charles-de-Gaulle | ||
| - | Ouvert au premier trimestre 2025, cet hébergement permet de développer des passerelles et l’inclusion. L’année 2025 sera aussi marquée par l’acquisition d’un terrain avenue Charles-de-Gaulle à Aurillac pour y construire de nouveaux locaux pour le CMPP, service de l’ADSEA, qui a déjà une antenne à Saint-Flour et à Mauriac, et du Sessad (service d’éducation spéciale et de soins à domicile), qui a un agrément pour soixante places. | ||
| - | « Ce développement est rendu possible par la présence au sein du conseil d’administration d’administrateurs ayant des compétences spécialisées : un ingénieur, un agriculteur, | ||
| - | Combien pèse l' | ||
| - | Près de 345 professionnels travaillent pour l’ADSEA, qui compte soixante travailleurs en situation de handicap. Au total, ce sont 1.565 personnes qui sont accompagnées. Ils sont 723 via le volet de la protection de l’enfance (déléguée par le Conseil départemental à l’ADSEA). Ils sont 630 jeunes à être suivis par le pôle médico-social enfants et 212 par le pôle adultes. En termes économiques, | ||
| - | L’achat d’un nouvel appartement pour le centre d’action en milieu ouvert, impasse du Pont Bourbon à Aurillac, ainsi que les travaux (au premier étage, dans le même immeuble que les locaux déjà occupés par le Pôle protection de l’enfance au rez-de-chaussée) ont coûté 330.000 euros. La rénovation de la partie hébergement de l’institut médico-éducatif à Crouzit-Haut, | ||
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