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-====== Le Monde: Face à la « menace russe », Emmanuel Macron sollicite la « force d’âme » des Français ====== 
- https://www.lemonde.fr/politique/article/2025/03/06/face-a-la-menace-russe-emmanuel-macron-sollicite-la-force-d-ame-des-francais_6576648_823448.html 
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-https://www.lemonde.fr/politique/article/2025/03/06/face-a-la-menace-russe-emmanuel-macron-sollicite-la-force-d-ame-des-francais_6576648_823448.html 
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-JM 
-POLITIQUE 
-EMMANUEL MACRON 
-Face à la « menace russe », Emmanuel Macron sollicite la « force d’âme » des Français 
-Lors d’une allocution solennelle sur l’Ukraine et la défense européenne, le chef de l’Etat a annoncé un effort budgétaire important et appelé le gouvernement et les corps intermédiaires à trouver les « solutions de demain ». Un Conseil européen extraordinaire se tient à Bruxelles, jeudi. 
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-Par Mariama Darame, Philippe Ricard et Nathalie Segaunes 
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-Publié aujourd’hui à 05h26, modifié à 07h50  
-Temps deLecture 4 min. 
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-Une capture d’écran durant l’allocution d’Emmanuel Macron sur l’Ukraine, à l’Elysée, à Paris, le 5 mars 2025. LUDOVIC MARIN / AFP 
-Comme un retour aux années Covid-19. Emmanuel Macron est apparu sur les écrans, mercredi 5 mars à 20 heures, vêtu de noir, pour une allocution solennelle s’adressant à des Français « légitimement inquiets » face au rapprochement entre les Etats-Unis et la Russie, qui se fait au détriment de l’Ukraine. Une bascule qui précipite les Européens dans « une nouvelle ère », acte-t-il. Si l’Amérique de Donald Trump est toujours notre alliée, la Russie est devenue « une menace pour l’Europe » et son agressivité « ne semble pas connaître de frontières », juge-t-il. « Face à ce monde de danger, rester spectateur serait une folie », prévient le président de la République dans un discours au ton grave, d’une quinzaine de minutes. 
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-L’allocution du chef de l’Etat intervenait à la veille d’un Conseil européen extraordinaire, jeudi 6 mars à Bruxelles, consacré au soutien à l’Ukraine et à la défense de l’Europe, à l’heure où Donald Trump entend accélérer des négociations avec la Russie, au risque de s’aligner sur les positions de Vladimir Poutine. « Le chemin qui mène à la paix ne peut pas passer par l’abandon de l’Ukraine, martèle le chef de l’Etat. La paix ne peut pas être un diktat russe. » 
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-Pour tenter de peser dans les discussions, Emmanuel Macron défend la préparation par les Européens – Français et Britanniques en particulier – d’un « plan pour une paix solide, durable, vérifiable », qu’il a commencé à dévoiler à la Maison Blanche, lundi 24 février. Une trêve initiale permettrait de tester les Russes et de gagner du temps pour négocier un véritable cessez-le-feu, assorti de garanties de sécurité. 
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-Lire aussi | Emmanuel Macron propose un « débat sur la protection des alliés du continent européen » par la dissuasion nucléaire française, revivez l’allocution présidentielle 
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-La paix en Ukraine « passera aussi, peut-être, par le déploiement de forces européennes. Celles-ci n’iraient pas se battre aujourd’hui, elles n’iraient pas se battre sur la ligne de front, mais elles seraient là, au contraire, une fois la paix signée, pour en garantir le plein respect », explique le chef de l’Etat. Une réunion des chefs d’état-major des pays volontaires pour garantir l’accord doit se tenir à Paris le 11 mars. 
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-« Nous restons attachés à l’OTAN » 
-Emmanuel Macron a, par ailleurs, cherché à tirer les leçons de la rupture qui semble se creuser au sein de l’Alliance atlantique, au fil des décisions prises par Donald Trump. Il justifie ainsi son choix d’ouvrir « le débat stratégique sur la protection par notre dissuasion [nucléaire] de nos alliés du continent européen », en réponse « à l’appel historique » du futur chancelier allemand, Friedrich Merz. Mais sans donner d’indication sur les modalités de ce débat entre les alliés européens. « Quoi qu’il arrive, la décision a toujours été et restera entre les mains du président de la République, chef des armées », assure-t-il, afin de contrer les critiques venues en particulier du Rassemblement national. 
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-Lire aussi | Article réservé à nos abonnés L’extension du parapluie nucléaire français et britannique en Europe suscite un intérêt grandissant de la part des alliés 
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-« Nous restons attachés à l’OTAN et à notre partenariat avec les Etats-Unis d’Amérique », mais « l’avenir de l’Europe n’a pas à être tranché à Washington et à Moscou », a encore dit le chef de l’Etat, qui recevait à dîner, mercredi, le premier ministre hongrois, Viktor Orban, soutien notoire de Vladimir Poutine et de Donald Trump. 
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-Enfin, pour Emmanuel Macron, l’annonce par l’administration Trump d’une hausse imminente des droits de douane sur les produits européens constitue une « décision incompréhensible ». « Nous préparons la riposte » au sein de l’UE, affirme-t-il, espérant encore « dissuader » son homologue américain d’agir en ce sens. Le matin même, à l’issue du conseil des ministres, la porte-parole du gouvernement, Sophie Primas, avait évoqué un nouveau déplacement d’Emmanuel Macron à Washington, accompagné de Volodymyr Zelensky et de Keir Starmer. Une annonce aussitôt démentie par l’Elysée. 
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-Effort budgétaire 
-Dans ce contexte international incertain, « je veux croire que les Etats-Unis resteront à nos côtés. Mais il nous faut être prêts si tel n’était pas le cas », explique le chef de l’Etat. Aussi charge-t-il le gouvernement d’engager « le plus vite possible » les « investissements supplémentaires qui sont désormais devenus indispensables », mais « sans que les impôts ne soient augmentés ». Un effort budgétaire qui s’annonce difficile, au regard de la situation des finances publiques très dégradées de la France. Pour relever ce défi, « il faudra des réformes, du choix, du courage », indique Emmanuel Macron en direction du gouvernement, lui-même sans grandes marges de manœuvre en l’absence de majorité sur laquelle s’appuyer. 
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-Lire aussi | Article réservé à nos abonnés « Trump a vidé l’OTAN de ce qui fait la force d’une alliance de défense collective : la fiabilité » 
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-« Rien ne sera plus comme avant », affirmait Emmanuel Macron en mars 2020, alors que le pays se préparait à affronter la crise du Covid-19. Il reprend, cinq ans plus tard, la même antienne, assurant que « le moment exige des décisions sans précédent ». Jugeant que « nous ne pouvons avoir les mêmes débats que naguère », le chef de l’Etat invite le gouvernement et « toutes les forces politiques, économiques et syndicales du pays », à « faire des propositions » pour « trouver les solutions de demain », sans plus de précision. 
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-Les oppositions n’ont pas caché leurs réserves. Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, pourtant aligné sur le discours présidentiel, a plaidé pour « faire contribuer les ultrariches ». Si « le soutien à l’Ukraine est un impératif », « s’en donner les moyens ne peut pas passer par de nouveaux sacrifices pour les Français, la dégradation de nos services publics et l’abandon de la transition écologique » a-t-il écrit sur X. 
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-« Il ne faut céder à aucun excès » 
-Convaincu que « l’Europe de la défense, que nous défendons depuis huit ans, devient une réalité », Emmanuel Macron a aussi mis en avant son leadership sur la scène européenne, dressant « un cap, celui de la volonté pour la paix et la liberté », « pour défendre la démocratie », alors que l’Etat de droit vacille aux Etats-Unis sous les coups de boutoir du trumpisme. « Il ne faut céder à aucun excès. Ni l’excès des va-t-en-guerre, ni l’excès des défaitistes », a exhorté le chef de l’Etat, visant, par cette dernière pique, l’extrême gauche et l’extrême droite. 
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-Lire aussi la chronique | Article réservé à nos abonnés « Donald Trump, en voulant détruire l’Europe, force sa recomposition » 
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-Retrouvant un rôle à sa mesure neuf mois après la dissolution de l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron a tenté avec cette allocution de sensibiliser les Français à la gravité de la situation. Sollicitant leur « engagement » pour la « patrie » et faisant appel à leur « force d’âme » pour surmonter les difficultés à venir. « Notre génération ne touchera plus les dividendes de la paix, a-t-il conclu, lugubre. Il ne tient qu’à nous que nos enfants récoltent demain les dividendes de nos engagements. » 
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-Mariama Darame, Philippe Ricard et Nathalie Segaunes 
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