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| - | ====== «Il faut en faire beaucoup plus», selon Attali L’essayiste estime que la France et l’Europe ont une carte à jouer dans la période actuelle. À condition de s’en donner les moyens. ====== | ||
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| - | L’essayiste estime que la France et l’Europe ont une carte à jouer dans la période actuelle. À condition de s’en donner les moyens. | ||
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| - | Les défis qui attendent l’Europe sont immenses, mais ses atouts le sont tout autant. Interrogé lors du « Grand Jury RTL-Le Figaro-M6-Public Sénat » ce dimanche, Jacques Attali a invité les Européens à être à la hauteur de « l’accélération de l’histoire » qui se déroule actuellement. « Il y a un retrait américain de l’Europe qui s’accélère et c’est tant mieux », a assuré l’essayiste, | ||
| - | Car pour l’Europe, il s’agit de marcher sur la corde raide, avec d’un côté un président américain multipliant les droits de douane et les menaces de rétorsion. Et, de l’autre, le chef de l’État russe mettant toujours davantage en danger le front est. « Poutine n’a pas renoncé à mettre un gouvernement fantoche à la tête de l’Ukraine. Puis de menacer ensuite la Moldavie et la Roumanie », estime l’essayiste. Pour éviter ce scénario, c’est au Vieux Continent d’assurer la sécurité de Kiev, au travers d’une force de gardiens de la paix. Mais peut-il le faire ? « Le meilleur moyen de la savoir, c’est de le faire », a balayé Jacques Attali, qui a néanmoins appelé à un sursaut : « Nous avons moyens d’être la première puissance du monde », a-t-il assuré. | ||
| - | «L’argent ne manque pas» | ||
| - | Reste que les belles déclarations seules ne suffiront pas si la France et le reste du Vieux Continent ne se donnent pas les moyens de leurs ambitions. L’essayiste ajoute sa voix à ceux qui demandent « d’en faire beaucoup plus » dans le passage vers l’économie de guerre. Combien Paris doit-il consacrer à sa défense ? « Pour moi, c’est 4 % de son PIB », a-t-il détaillé. | ||
| - | Toutefois, l’invité de ce dimanche a fait entendre un son singulier en expliquant que « l’argent ne manquait pas » pour financer cet effort. Une position à rebours de la doxa pour qui il faudra choisir entre « les canons et les pensions », selon les mots du sociologue Julien Damon dans Le Figaro . Au contraire, « c’est le moment d’investir, | ||
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