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| - | ====== A Rouen, le maire insulté après le don de tickets de métro gratuits pour les exilés – Libération ====== | ||
| - | Migrants, réfugiés... face à l' | ||
| - | Le socialiste Nicolas Mayer-Rossignol a déclaré, mercredi 12 février, avoir été la cible de messages haineux sur les réseaux sociaux après sa décision censée faciliter l’intégration des étrangers primo-arrivants en France. | ||
| - | Le maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol à Blois, le 31 août 2024. (Magali Cohen/Hans Lucas.AFP) | ||
| - | Quand 62 000 passagers utilisent chaque jour le tramway de Rouen, le don de 12 500 tickets à usage unique par la métropole aurait pu passer inaperçu. Mais la décision de la mairie normande d’offrir ces titres de transport aux associations d’aide aux exilés et à l’Office français de l’immigration (Ofii) ne plaît pas à tout le monde. Le maire socialiste, Nicolas Mayer-Rossignol, | ||
| - | «Va niquer ta grand-mère à offrir des tickets de bus pour des clandestins qui n’ont rien à faire en France encore moins en Normandie», | ||
| - | Contacté par Libération, | ||
| - | La distribution de ces tickets avait été validée par le conseil métropolitain, | ||
| - | Une tâche que les associations ou l’Office français de l’immigration et de l’intégration accompagnent en prenant en charge le coût des tickets de transports à Rouen. Mais une «grande partie de ces structures travaillent exclusivement avec des bénévoles et vivent des dons», c’est pourquoi Nicolas Mayer-Rossignol avait décidé de les décharger de cette dépense. Une décision chiffrée à 9 120 euros qui semble anodine pour la métropole, dont le budget primitif pour 2025 s’élevait à plus de 1 milliard d’euros. | ||
| - | Après la publication de ces insultes, le maire de la capitale normande a reçu de nombreux témoignages de soutien de la part de citoyens mais aussi d’élus socialistes. La présidente de la région Occitanie, Carole Delga, s’est élevée contre «l’ignominie et […] la lâcheté de ces insultes», tout comme le maire de Cherbourg, Benoît Arrivé. Le député PS et candidat à la candidature à la mairie de Paris, Emmanuel Grégoire, a, lui, déploré qu’à Rouen «comme partout dans le pays, en ligne comme sur le terrain, les élu·es de la République sont insultés, menacés, parfois jusqu’à subir des violences physiques». | ||
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