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| - | Économie et Société | ||
| - | «Une grande partie de notre société est devenue […] castrée en quelque sorte» : le patron de Meta, Mark Zuckerberg, se radicalise | ||
| - | Temps de lecture : 2 min | ||
| - | Mark Zuckerberg pousse Meta dans une nouvelle direction politique. Après avoir mis fin au programme de fact-checking aux États-Unis, | ||
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| - | © David Paul Morris/ | ||
| - | Par Noah Sdiri & Capital avec AFP | ||
| - | Publié le 12/01/2025 à 19h59 | ||
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| - | Dans une note interne adressée aux salariés de Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp) et dévoilée le 12 janvier 2025, la vice-présidente des ressources humaines Janelle Gale a justifié la suppression des objectifs de diversité par des évolutions juridiques récentes aux États-Unis. «Le paysage juridique et politique autour des efforts de diversité, d’équité et d’inclusion est en train de changer», explique-t-elle. Cette mesure marque un tournant pour Meta, qui renonce à son engagement en faveur de la représentation des femmes et des minorités ethniques dans ses effectifs. Si l’entreprise affirme qu’elle continuera à rechercher des candidats issus de différents horizons, elle ne fixera plus de quotas spécifiques. | ||
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| - | Cette annonce intervient dans un contexte de remise en cause généralisée des politiques dites «DEI» (diversité, | ||
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| - | À lire aussi : Comment supprimer un compte Facebook ? | ||
| - | La fin des programmes de diversité chez Meta | ||
| - | Cette nouvelle orientation stratégique suscite l’inquiétude de nombreuses organisations, | ||
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| - | Parallèlement, | ||
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| - | À lire aussi : Meta : trois ans après son lancement, où en est le métavers promis par Mark Zuckerberg ? | ||
| - | Vers une modération plus souple sur les contenus | ||
| - | Le tournant de Mark Zuckerberg ne se limite pas aux décisions stratégiques de Meta. Le patron du groupe californien multiplie les déclarations controversées. Lors d’un entretien avec Joe Rogan, il a défendu une vision traditionnelle de la masculinité. «Je pense qu’une grande partie de notre société est devenue castrée en quelque sorte, ou émasculée», | ||
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| - | Ces prises de position rappellent celles d’Elon Musk, qui, depuis son rachat de Twitter, a libéré la parole des figures conservatrices sur sa plateforme. Comme son homologue, Zuckerberg critique désormais ouvertement les médias et les autorités démocrates. «J’ai accordé trop de crédit aux médias dans le passé», a-t-il déclaré à Rogan, accusant le gouvernement Biden de «censure» sur ses plateformes. | ||
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| - | À lire aussi : La folle histoire Hawk Tuah Girl, l’influenceuse sulfureuse accusée d’arnaque aux crypto | ||
| - | Une proximité croissante avec Donald Trump | ||
| - | Mark Zuckerberg semble également se rapprocher personnellement de Donald Trump. Selon plusieurs sources, il aurait dîné avec lui en novembre dernier et aurait fait un don d’un million de dollars pour financer sa cérémonie d’investiture prévue le 20 janvier. Lors de son entretien avec Joe Rogan, le patron de Meta s’est montré optimiste quant à la présidence Trump. «Je pense que le président Trump veut simplement que l’Amérique gagne, et cela me rend optimiste», | ||
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| - | Ce virage politique suscite des inquiétudes bien au-delà des États-Unis. Les décisions récentes de Meta pourraient affaiblir les efforts mondiaux de lutte contre les discours de haine et la désinformation. Le Conseil de l’Europe, la responsable européenne de la souveraineté numérique, Joe Biden et l’ONU ont tour à tour exprimé leur préoccupation face à la montée des contenus extrêmes sur les réseaux sociaux, mettant en garde contre «une régression inquiétante» de la modération en ligne. | ||
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