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| - | ====== Trump, Musk, Ukraine, Syrie, Iran, terrorisme… ce qu’Emmanuel Macron a déclaré devant les ambassadeurs ====== | ||
| - | Le présideTrump, | ||
| - | Emmanuel Macron a d’abord accusé, sans le citer nommément, le patron de X, Elon Musk, de soutenir « une nouvelle internationale réactionnaire » et d’ingérence dans les élections, notamment en Allemagne. « Voilà dix ans, si on nous avait dit que le propriétaire d’un des plus grands réseaux sociaux du monde soutiendrait une nouvelle internationale réactionnaire et interviendrait directement dans les élections, y compris en Allemagne, qui l’aurait imaginé ? », a-t-il lancé, en référence au soutien continu du milliardaire américain au parti d’extrême droite allemand, AfD. | ||
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| - | « On a l’impression d’assister à une romance adolescente » : Elon Musk et Donald Trump, les inséparables | ||
| - | Quant à Donald Trump, il « sait qu’il a en France un allié solide, un allié qu’il ne mésestime pas », « qui croit dans l’Europe » et porte une « ambition lucide » pour la relation transatlantique, | ||
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| - | « De 2016 à 2020, la France a su travailler avec le président Trump », a souligné le chef de l’État. « Si on décide d’être faible et défaitiste, | ||
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| - | Trump, Musk, Ukraine, Syrie, Iran, terrorisme… ce qu’Emmanuel Macron a déclaré devant les ambassadeurs | ||
| - | Le président Emmanuel Macron a exposé ce lundi, à l’Élysée, | ||
| - | Emmanuel Macron a d’abord accusé, sans le citer nommément, le patron de X, Elon Musk, de soutenir « une nouvelle internationale réactionnaire » et d’ingérence dans les élections, notamment en Allemagne. « Voilà dix ans, si on nous avait dit que le propriétaire d’un des plus grands réseaux sociaux du monde soutiendrait une nouvelle internationale réactionnaire et interviendrait directement dans les élections, y compris en Allemagne, qui l’aurait imaginé ? », a-t-il lancé, en référence au soutien continu du milliardaire américain au parti d’extrême droite allemand, AfD. | ||
| - | Quant à Donald Trump, il « sait qu’il a en France un allié solide, un allié qu’il ne mésestime pas », « qui croit dans l’Europe » et porte une « ambition lucide » pour la relation transatlantique, | ||
| - | « De 2016 à 2020, la France a su travailler avec le président Trump », a souligné le chef de l’État. « Si on décide d’être faible et défaitiste, | ||
| - | Aucun « répit » dans la lutte contre le terrorisme | ||
| - | À la veille du dixième anniversaire de l’attentat islamiste qui avait décimé la rédaction de « Charlie Hebdo », Emmanuel Macron a également appelé à poursuivre sans « relâchement », sans « répit » la lutte contre le terrorisme. « Nous savons que le terrorisme est un risque qui demeure prégnant dans nos sociétés et qui implique qu’il n’y ait aucun relâchement et une vigilance collective », a-t-il martelé. | ||
| - | « On a oublié de nous dire merci », a aussi regretté le chef de l’État au sujet des interventions menées depuis 2013 par la France contre le terrorisme en Afrique. Paris a eu « raison » d’intervenir militairement, | ||
| - | Sur la Syrie, le président a appelé à « regarder sans naïveté le changement de régime », et a promis de ne pas abandonner les combattants kurdes alliés des Occidentaux dans la lutte contre le terrorisme. La France accompagnera « dans la durée » la transition en faveur « d’une Syrie souveraine, libre et respectueuse de sa pluralité ethnique, politique et confessionnelle », a-t-il assuré. | ||
| - | Il a aussi estimé que l’Iran constituait le « principal défi stratégique et sécuritaire » au Moyen-Orient, | ||
| - | Sur l’Ukraine, | ||
| - | Au sujet de la guerre en Ukraine, il « n’y aura pas de solution rapide et facile », a prévenu le chef de l’État. « Le nouveau président américain sait lui-même que les États-Unis n’ont aucune chance de gagner quoi que ce soit si l’Ukraine perd », et une « capitulation de l’Ukraine ne saurait être bonne pour les Européens et les Américains », a-t-il encore insisté. | ||
| - | Pour Emmanuel Macron, la « crédibilité » des Occidentaux serait « battue en brèche » s’ils acceptent de « transiger » en raison d’une « fatigue » du conflit. Il a également appelé « les Ukrainiens à mener des discussions réalistes sur les questions territoriales », alors que la Russie, qui a pris possession de quelque 20 % de l’Ukraine, | ||
| - | Des garanties qui découlent en bonne partie de la stratégie de défense des 27. Selon Emmanuel Macron, les Européens doivent aller « beaucoup plus vite et beaucoup plus fort » pour renforcer leur industrie face à la montée des menaces. « La question est de savoir si les Européens veulent, pour les 20 ans qui viennent, produire ce qui sera nécessaire à leur sécurité ou pas », car « si nous dépendons de la base industrielle et technologique de défense américaine, | ||
| - | Autre dossier européen : l’accord avec le Mercosur. La « messe n’est pas dite » concernant la conclusion de l’accord commercial controversé avec les pays sud-américains. « On continuera de défendre avec force la cohérence de nos engagements », a promis le chef de l’État. | ||
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