26/12/2025/H14:07:56
Marguerite Stern.
Marguerite Stern. Lucas Pialot / Le Figaro
Coauteur d’une enquête sur le «transactivisme» qui lui a valu des menaces de mort, l’ex-Femen est poursuivie par SOS-Racisme pour avoir souligné la surreprésentation des hommes d’origine africaine ou maghrébine chez les agresseurs de femmes.
Les cheveux de Marguerite Stern ne sont plus bleus et elle ne manifeste plus seins à l’air pour défendre ses idées mais, à 35 ans, l’ex-Femen se bat toujours contre tout ce qui entrave les libertés en général et la liberté d’expression en particulier. Elle en revendique une conception radicale, qui la fait « regretter » que le Conseil d’État ait validé l’interdiction de la conférence de Rima Hassan à Sciences Po, mais qui lui vaut, aussi, d’être traînée en justice par SOS-Racisme.
Son crime : avoir affirmé le 16 juillet 2023 sur la chaîne YouTube du média Frontières que « proportionnellement, les personnes issues de l’immigration […] africaine et moyen-orientale […], en majorité musulmane mais pas uniquement […] agressent plus les femmes que les Français de culture française ».
Dans ce long entretien, Marguerite Stern aggrave son cas en s’interrogeant sur le caractère « inné ou acquis » de ce qu’elle appelle la «masculinité toxique» aussi…
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Le Figaro
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