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-====== Le Monde: En direct, nouveau premier ministre : le nom du successeur de Michel Barnier ne sera pas connu ce soir ======  
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-https://www.lemonde.fr/politique/live/2024/12/11/en-direct-nouveau-premier-ministre-le-nom-du-successeur-de-michel-barnier-ne-sera-pas-connu-ce-soir_6437830_823448.html 
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-https://www.lemonde.fr/politique/live/2024/12/12/en-direct-nouveau-premier-ministre-emmanuel-macron-va-ecourter-sa-visite-en-pologne-ce-jeudi_6437830_823448.html 
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-12:47 URGENT 
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-Emmanuel Macron va « écourter » sa visite en Pologne ce jeudi 
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-Le président de la République, Emmanuel Macron, a dépose une gerbe au pied de la statue du général de Gaulle ce jeudi à Varsovie. JULIEN MUGUET / JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE » 
-Le chef de l’Etat, en visite en Pologne ce jeudi, va « écourter » son voyage afin « qu’il puisse rentrer à Paris », fait savoir son entourage auprès du Monde. Il ne visitera pas comme prévu le Musée de l’insurrection de Varsovie. Le chef de l’Etat est attendu à Paris en début de soirée. 
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-Le président de la République s’était engagé mardi auprès des représentants des partis présents à l’Elysée à nommer un premier ministre « dans les quarante-huit heures », soit d’ici jeudi soir. 
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-10:02 
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-Dérapage budgétaire : Bruno Le Maire se dit « responsable » des erreurs de prévision de Bercy et critique les oppositions 
-Après le Sénat, c’est désormais à l’Assemblée nationale de se pencher sur le dérapage budgétaire intervenu en 2023 et 2024. La commission de finances, qui s’est dotée des pouvoirs d’une commission d’enquête sur ce sujet, auditionne en ce moment même l’ancien ministre de l’économie et des finances, Bruno Le Maire. 
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-Mis en cause par les oppositions pour des prévisions du déficit public pour cette année qui sont passées de 4,4 % en début d’année à 6,1 % du PIB début octobre, M. Le Maire s’est dit « responsable de tous [ses] actes, de toutes [ses] décisions, de tous [ses] choix comme ministre des finances ». « Je suis responsable des erreurs de prévision sur les recettes de mes services qui étaient sous mon autorité », a-t-il ajouté, se disant aussi « responsable des dépenses qu[’ils ont] engagées pour faire face au Covid et à la crise inflationniste » 
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-Devant les sénateurs début novembre, M. Le Maire avait estimé qu’il n’y avait « eu ni faute, ni dissimulation ni volonté de tromperie, mais une grave erreur d’évaluation des recettes ». Il avait alors considéré que l’« ouragan » budgétaire est « lié à 80 % » à une évaluation erronée des recettes par les services de Bercy, évaluation sur laquelle l’ex-ministre affirme n’avoir pas eu son mot à dire. 
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-LIRE AUSSI | 
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- Dérapage du déficit : Bruno Le Maire réfute toute « faute » ou « dissimulation » 
-Temps deLecture 6 min. 
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-Durant son propos liminaire jeudi matin à l’Assemblée, Bruno Le Maire a également rejeté la faute de la situation budgétaire sur les oppositions. « A quel moment a-t-il été sérieusement question du redressement des comptes de la nation dans vos débats ? Jamais », a-t-il tancé. L’ancien ministre ne souhaite pas « porter la responsabilité de cet aveuglement collectif qui [leur] interdit de voir une chose simple : ni les impôts ni les bouts de ficelle ne régleront le problème de la dette et des déficits en France, qui remonte à cinquante ans ». 
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-« Notre chômage de masse, notre effondrement industriel depuis 1980, notre modèle social, le poids des retraites sont les seules véritables explications de la situation où nous sommes », a-t-il assuré. 
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-08:54 
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-Raphaël Glucksmann salue « les bougés » de la classe politique mais n’attend pas « de grand soir » 
-Invité de BFM-TV et RMC ce jeudi matin, l’eurodéputé Place publique, qui a mené la liste du Parti socialiste au dernier scrutin européen, a félicité les « bougés dans la classe politique », ces derniers jours. Que ce soit le premier secrétaire du PS, Olivier Faure qui a appelé mardi à « accepter les compromis » et les « concessions réciproques » ou Emmanuel Macron qui a réuni l’ensemble des forces politiques, hors RN et LFI. 
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-« Enfin on prend au sérieux les résultats des législatives du 7 juillet. Qui a gagné le 7 juillet ? C’est le front républicain, le refus de donner les manettes à Le Pen et Bardella », a estimé l’eurodéputé. Or pour M. Glucksmann, depuis le second tour des législatives, « on n’a absolument pas respecté le front républicain. Comme si on avait gagné à gauche, comme si on pouvait continuer comme avant du côté d’Emmauel Macron », a-t-il déploré. « Le résultat a été de donner les clés à Marine Le Pen », qui a précipité la chute de Michel Barnier en votant la censure, a ajouté l’élu. 
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-Pour M. Glucksmann, il y a désormais « une opportunité pour changer les méthodes politiques et notre rapport au pouvoir ». « Dans les autres démocraties européennes, quand on est dans une situation comme celle-là, il y a des discussions pour savoir comment trouver une majorité », qui appelle les responsables politiques à « accepter de parler avec des gens avec lesquels [ils ne sont] pas d’accord ». 
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-Alors que l’Assemblée nationale est aujourd’hui morcelée en onze groupes parlementaires et trois blocs à peu près équivalents, M. Glucksmann concède que jusqu’à la prochaine présidentielle « il n’y aura pas de grand soir », avec des réformes importantes, faute d’accord politique mais que la gauche doit « gratter, arracher des progrès ». Il rejette aussi l’ambition de La France insoumise de pousser Emmanuel Macron à la démission pour permettre une présidentielle anticipée. « Pour obtenir sa démission, on va plonger dans le chaos ? Une censure, deux censures, trois censures… En attendant l’économie s’effondre, le pays n’est pas gouverné, les agriculteurs ne peuvent obtenir de deal avec personne. Alors on fait quoi ? », a-t-il interrogé. 
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-08:03 
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-Marine Tondelier déplore qu’Emmanuel Macron « s’obstine en voulant mettre un premier ministre de son camp » 
-Présente à l’Elysée mardi où Emmanuel Macron s’est engagé à nommer un premier ministre « dans les quarante-huit heures », la secrétaire nationale des Ecologistes a ironisé jeudi matin sur TF1 en estimant que « les promesses du maître des horloges n’engagent que ceux qui lui demandent l’heure ». Avant de dénoncer un chef de l’Etat qui aurait, selon elle, l’intention de nommer un chef de gouvernement macroniste : « Le fait que le président de la République s’obstine en voulant mettre un premier ministre de son camp conduit la France dans un blocage politique, social, économique, environnemental. » « Ça fait six mois que les politiques publiques n’avancent pas », a-t-elle ajouté. 
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-Mme Tondelier a ensuite rappelé l’engagement fait par les Ecologistes, les socialistes et les communistes au cours de la réunion à l’Elysée mardi de ne pas avoir recours au 49.3 si un premier ministre « issu du NFP » était nommé. « Ça veut dire que le premier ministre que l’on souhaite ne va pas partir avec un rouleau compresseur à l’Assemblée nationale et écraser la démocratie parlementaire », a-t-elle expliqué. 
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-Interrogée ensuite sur les noms qui circulent pour Matignon, dont François Bayrou, la secrétaire nationale des Ecologistes a fait savoir qu’elle « vo[yait] mal comment » le maire de Pau « peut nous convaincre de ne pas le censurer ». « Comment voulez-vous qu’un camp qui a perdu les législatives garde le poste de premier ministre pour mener la même politique ? », a-t-elle interrogé, avant de rejeter également l’hypothèse de Bernard Cazeneuve. « Le poste de Matignon doit revenir à quelqu’un qui a participé à la victoire du NFP, et Bernard Cazeneuve, pendant cette période, je ne l’ai pas entendu nous soutenir », a-t-elle rappelé. 
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-07:22 
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-Quel est le programme de ce jeudi ? 
-Alors que la nomination d’un premier ministre se fait attendre, le président de la République, Emmanuel Macron, se rend en Pologne jeudi. Il doit déposer une gerbe au pied de la statue du général de Gaulle à Varsovie en fin de matinée, avant d’être reçu par le premier ministre polonais, Donald Tusk. Le chef de l’Etat s’entretiendra ensuite vers 15 heures avec son homologue polonais, Andrzej Duda. 
-A l’Assemblée nationale, si les travaux ont été ajournés, la commission des finances auditionnera néanmoins l’ancien ministre de l’économie, Bruno Le Maire, dans le cadre des travaux menés pour revenir sur les raisons du dérapage budgétaire. 
-Du côté des matinales, TF1 reçoit, à 7 h 40, le député RN de la Somme, Jean-Philippe Tanguy. Au même moment, la secrétaire nationale des écologistes, Marine Tondelier, sera sur France 2. Franceinfo recevra à 8 h 30 le sénateur écologiste de Paris, Yannick Jadot. L’eurodéputé Place publique, Raphaël Glucksmann, sera lui sur BFM-TV et RMC. 
-Sur Le Monde aujourd'hui 
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-07:15 POUR APPROFONDIR 
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- A la recherche d’un premier ministre qui permette une stabilité politique, Emmanuel Macron étire le temps 
-Par Sandrine Cassini, Claire Gatinois 
-Lecture : 3 min. 
-ALAIN JOCARD / AFP 
-La question leur brûle les lèvres. Mais ce mercredi 11 décembre, aucun des sénateurs macronistes conviés à déjeuner dans le salon des portraits de l’Elysée n’ose aborder le sujet devant le président de la République. Quand, soudain, finissant sa tranche de veau, Emmanuel Macron évoque, de lui-même, le futur « premier ministre », dit-il. « Le ou la ? », tente, devant lui, l’élu de Côte-d’Or (Renaissance) François Patriat en quête d’un maigre indice sur le profil du prochain chef du gouvernement. « Le ou la, tu as raison, François, le premier ministre ou la première ministre », corrige le chef de l’Etat, reprenant le fil de sa phrase en laissant l’assistance dans un épais brouillard. 
- 
-Lire la suite de l’article 
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-07:14 
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-Une semaine après la censure de Michel Barnier, l’annonce d’un premier ministre se fait attendre 
-Alors qu’il avait affiché son objectif mardi devant les représentants des principaux partis – hors RN et LFI – de nommer un premier ministre « dans les quarante-huit heures », le président de la République tiendra-t-il son engagement ? 
- 
-Si peu osent faire des pronostics tant Emmanuel Macron a eu pour habitude durant ses mandats d’étirer le temps dans les nominations qui lui incombent, la seule certitude reste que le chef de l’Etat doit se rendre en Pologne ce jeudi pour discuter d’un renforcement du soutien à l’Ukraine dans la perspective de négociations de paix. 
- 
-Mercredi, en conseil des ministres, où un projet de loi spéciale sur le budget a été présenté pour éviter la paralysie, Emmanuel Macron a constaté que le « socle » de partis qui soutenait Michel Barnier, réunissant le camp présidentiel et la droite, n’avait pu « en l’état » être élargi. La veille, il avait souligné « sa volonté de ne pas dissoudre » à nouveau l’Assemblée nationale d’ici à 2027. Et il avait relevé « une unanimité des forces politiques pour ne plus dépendre du Rassemblement national ». 
- 
-21:00 L’ESSENTIEL 
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-Ce qu’il faut savoir mercredi 11 décembre au soir 
-La nomination du futur chef de gouvernement n’aura pas lieu ce soir, a appris Le Monde. Le président avait déclaré, mardi après-midi lors de sa réunion avec les chefs de parti, que cette nomination aurait lieu « dans les quarante-huit heures », sans plus de précisions. 
-Emmanuel Macron doit se rendre jeudi en Pologne. Il arrivera en fin de matinée à Varsovie pour rencontrer le premier ministre, Donald Tusk, avant de revenir en France en début de soirée. 
-Le projet de loi spéciale pour « garantir la continuité de la vie nationale » a été présenté mercredi matin en conseil des ministres. Il sera examiné lundi 16 décembre dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale, puis le 18 décembre au Sénat. 
-Le chef de l’Etat a déclaré que le « socle » de partis qui soutenait l’exécutif de Michel Barnier n’avait pas pu « en l’état » être élargi. C’est plutôt un pacte de non-censure qui a été à la table des discussions mardi. 
-Lors de son dernier conseil des ministres, Michel Barnier a alerté le président au sujet des « fractures sociales, territoriales, rurales » dans le pays. Selon Matignon, il a aussi fait part à M. Macron de sa « préoccupation » à propos de « la dette financière ». 
-Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a déclaré qu’« on ne [pouvait] pas passer sa vie à dire non », sur fond de tensions à gauche. La France insoumise refuse de participer aux négociations, contrairement à ses alliés du Nouveau Front populaire. 
-20:51 
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-Des députés regrettent qu’un budget rectificatif n’ait pas été déposé pour contenir le dérapage du déficit 
-La décision du gouvernement de ne pas déposer de projet de loi de finances rectificative (PLFR) après la découverte de l’envolée du déficit public a animé les débats d’une commission d’enquête parlementaire mercredi, avec en filigrane la critique d’un arbitrage qui a réduit les marges de manœuvre du Parlement. 
- 
-Auditionnant l’ancien directeur de cabinet de l’ex-premier ministre Gabriel Attal et ancien directeur du Trésor, Emmanuel Moulin, les députés de la commission des finances de l’Assemblée ont cherché à comprendre qui était à l’origine de cet arbitrage. 
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-En février, pour rétablir d’urgence la situation, le ministre de l’économie et des finances d’alors, Bruno Le Maire, avait annoncé 10 milliards d’euros d’économies sur le budget de l’Etat – le maximum qui pouvait être fait par décret, sans avoir à passer par un PLFR au Parlement. Il s’agissait du « plus important décret d’annulation qui a été publié, je pense, sous la Ve République », selon M. Moulin, qui a précisé que « 10 milliards d’euros supplémentaires » d’économies devaient ensuite être trouvés. 
- 
-Mais l’avantage d’un PLFR, c’est « qu’on peut aussi discuter des recettes », a souligné le président de la commission des finances, Eric Coquerel (La France insoumise). Augmenter les impôts « n’était pas l’optique que nous avions », a rétorqué M. Moulin, assurant qu’« il n’y avait pas de volonté de contourner le Parlement ». 
- 
-La question de privilégier un PLFR avait suscité des remous jusqu’au sein de l’ancienne majorité, notamment entre M. Le Maire, M. Attal et le chef de l’Etat. Une loi de finances rectificative ouvrait notamment la voie à une éventuelle motion de censure de l’opposition. M. Le Maire a regretté devant la commission des finances du Sénat, au début de novembre, de ne pas avoir réussi à convaincre de la nécessité au printemps d’un tel projet de loi. 
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-Mais « qui s’est vraiment opposé à la présentation de ce projet de loi de finances rectificative ? », a lancé Eric Ciotti (Union des droites pour la République). M. Moulin a répondu que « le président de la République et le premier ministre étaient sur la même ligne, et [que] constitutionnellement c’est le premier ministre qui décide ». 
- 
-19:44 URGENT 
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-Le nom du futur premier ministre ne sera pas connu ce soir 
-La nomination du futur chef de gouvernement n’est pas attendue mercredi soir, a appris Le Monde, confirmant une information de l’Agence France-Presse. 
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-Le président de la République a déclaré, mardi après-midi lors de sa réunion avec les chefs de parti et de groupe parlementaire, qu’il nommerait « dans les quarante-huit heures » le nouveau premier ministre – soit d’ici à jeudi en fin de journée. Mais sans plus de précisions quant au moment où le nom sera annoncé. 
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-Une partie de l’agenda du chef de l’Etat jeudi est connue puisqu’il doit se rendre en Pologne en fin de matinée, avant de revenir en France en fin d’après-midi. 
- 
-17:58 VOS QUESTIONS 
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-Bonjour, 
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-Que font les députés pendant que le gouvernement démissionnaire expédie les affaires courantes ? 
-Etienne 
-Bonjour Etienne, 
- 
-En raison de l’adoption de la motion de censure contre le gouvernement de Michel Barnier le 4 décembre, les travaux en séance publique ont été ajournés à l’Assemblée, tout comme au Sénat. Puisque le gouvernement démissionnaire est cantonné à la gestion des affaires courantes, ses membres, sauf cas exceptionnel, ne peuvent plus participer aux débats en séance au Parlement ; or la présence du gouvernement dans l’Hémicycle est obligatoire pour pouvoir légiférer. 
- 
-Cependant, le travail des députés et des sénateurs se poursuit en circonscriptions et dans les commissions. Par exemple, ce mercredi après-midi, les membres des commissions des finances de l’Assemblée et du Sénat ont auditionné – successivement – le ministre de l’économie, Antoine Arnaud, et le ministre du budget, Laurent Saint-Martin, au sujet du projet de loi spéciale sur les finances publiques pour « garantir la continuité de la vie nationale », déposé ce matin en conseil des ministres. 
- 
-Les débats en séance publique reprendront justement à titre exceptionnel lundi après-midi pour l’examen de ce projet de loi, afin de le faire adopter et promulguer au plus vite d’ici à la fin de l’année. 
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-LIRE AUSSI | 
- Budget : ce que contient la loi spéciale pour « garantir la continuité de la vie nationale » 
-Temps deLecture 2 min. 
- 
-16:36 
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-Lors de son dernier conseil des ministres, Michel Barnier a alerté le chef de l’Etat au sujet des « fractures sociales, territoriales, rurales » dans le pays 
-Lors de ce qui devrait être son dernier conseil des ministres, mercredi matin, Michel Barnier s’est exprimé devant le gouvernement pour rappeler des moments historiques, a rapporté Matignon au Monde. 
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-Ce que nous vivons, « n’est pas un moment inédit puisqu’il y a quarante-trois ans, après l’élection de François Mitterrand, Raymond Barre, alors premier ministre, expédiait les affaires courantes », a-t-il rappelé. « Le 20 mai 1981 lors d’un conseil des ministres, M. Barre avait alors présenté un rapport économique et social sur la France. Le lendemain, Pierre Mauroy était nommé premier ministre », a poursuivi le premier ministre démissionnaire, censuré par l’Assemblée nationale une semaine plus tôt. 
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-L’ancien commissaire européen, amer d’avoir été démis de ses fonctions trois mois après sa nomination, a remercié Emmanuel Macron pour le « dialogue franc et de qualité », que les deux hommes ont entretenu, durant son passage à Matignon. Mais le septuagénaire a aussi alerté le chef de l’Etat au sujet des « fractures sociales, territoriales, rurales » et « le sentiment d’abandon qui touche beaucoup de Français : justice, éducation, sécurité, santé, agriculture ». Et lui a fait part de sa « préoccupation » envers « la dette financière ». Une « réalité », a soulevé M. Barnier « qui s’imposera à tout gouvernement, quel qu’il soit. » 
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-Alors que le nom de son successeur est attendu dans les prochaines vingt-quatre heures, Michel Barnier a aussi invité le président à « persévérer » d’ici à 2027 dans son travail accompli « pour l’attractivité, la compétitivité et l’investissement dans notre pays (y compris France services) ». 
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-Claire Gatinois 
-16:24 POUR APPROFONDIR 
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