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-====== Anatomie Front Républicain :Le Monde: En direct, nouveau premier ministre : Emmanuel Macron a quitté Varsovie, à bord d’un avion qui se dirige vers Paris ====== https://www.lemonde.fr/politique/live/2024/12/12/en-direct-nouveau-premier-ministre-emmanuel-macron-a-quitte-varsovie-en-vol-vers-paris_6437830_823448.html 
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-Rappel : (193 NFP, 213 centre + LR et 142 RN avec Ciotti) 
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-https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/07/08/anatomie-d-un-front-republicain-aux-legislatives-2024-un-barrage-qui-a-d-abord-profite-a-ensemble_6247899_823448.html 
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-Anatomie d’un front républicain aux législatives 2024 : un barrage qui a d’abord profité à Ensemble 
-Grâce aux désistements qui ont réduit le nombre de triangulaires de 306 à 89, l’extrême droite termine très loin de la majorité absolue. Le Nouveau Front populaire devient le premier bloc de l’Assemblée, suivi de près par le camp présidentiel. 
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-Par Matthieu Goar 
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-Publié le 08 juillet 2024 à 14h00, modifié le 08 juillet 2024 à 16h51  
-Temps deLecture 8 min. 
-Lire dans l’application 
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-Dans un mélange de suspense, de fébrilité et d’angoisse pour une grande partie des Français après la dissolution décidée par Emmanuel Macron au soir des élections européennes, le second tour des élections législatives a abouti, dimanche 7 juillet, à une nouvelle étape de la recomposition politique. Malgré une poussée inédite de l’extrême droite, avec la constitution du plus gros groupe de l’histoire pour le Rassemblement national (RN), le front républicain a tenu dans de nombreuses circonscriptions, ce qui a permis à l’alliance de gauche, le Nouveau Front populaire (NFP), et à la majorité présidentielle sortante, Ensemble, de faire mentir les sondages en devenant les deux premiers blocs de cette nouvelle Assemblée nationale. Un Hémicycle qui écarte l’hypothèse d’un gouvernement brun, mais qui n’éclaircit en rien les mois à venir, puisque aucune majorité absolue ne se dégage, malgré l’élan démocratique. 
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-Lire aussi | Article réservé à nos abonnés L’Assemblée nationale se prépare à une « nouvelle ère », avec le risque d’une paralysie 
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-Dimanche 7 juillet, la participation a en effet été massive, un peu supérieure à celle du premier tour dans les 501 circonscriptions où des candidats étaient encore en lice. Au total, 66,6 % des électeurs inscrits se sont déplacés. Il s’agit d’un record, depuis les législatives anticipées de 1997 (71,1 % des votants au second tour), organisées elles aussi après une dissolution qui avait mené la gauche plurielle de Lionel Jospin à Matignon. Un taux très supérieur à tous les scrutins de ce type organisés au XXIe siècle. En 2017, 57,4 % des électeurs s’étaient déplacés au second tour. En 2022, à peine 53,8 % avaient glissé un bulletin dans l’urne, quelques semaines après la seconde élection présidentielle d’Emmanuel Macron. 
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-Comme en 2022, mais de façon encore plus accentuée, aucun camp politique n’arrive à franchir le seuil des 289 députés. Dimanche soir, le Nouveau Front populaire a fait élire 182 députés (142 pour la Nouvelle Union populaire écologique et sociale, Nupes, en 2022) ; Ensemble atteint 168 élus (246 en 2022) ; le RN et ses alliés Les Républicains (LR) qui ont suivi Eric Ciotti ont finalement réussi à faire élire 143 députés (89 en 2022). Une confirmation de la tripartition de la vie politique française, à l’œuvre depuis l’irruption d’Emmanuel Macron en 2017, qui a, cette fois-ci, tourné à l’avantage de la gauche. Dans ce magma en recomposition permanente, seul le parti LR historique opposé à la stratégie ciottiste arrive à surnager, avec 45 élus et 15 divers droite qui pourraient les rejoindre ou aller renforcer un autre groupe dans les jours à venir en fonction des tractations à venir au Palais-Bourbon. 
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-Défaites du RN en duel 
-Ce résultat est l’aboutissement d’un entre-deux tours où planaient de nombreux doutes sur la solidité du barrage républicain face à l’extrême droite. Au soir du dimanche 30 juin, le RN et ses alliés avaient déjà fait élire 39 députés et étaient en tête dans 258 circonscriptions encore à départager. Grâce aux désistements qui ont réduit le nombre de triangulaires de 306 à 89, l’extrême droite termine très loin de la majorité absolue. Lors de la prochaine mandature, 126 députés RN siégeront, ainsi que 17 alliés ciottistes, ce qui permet à cette extrême droite de constituer un bloc de 143 élus, avant d’éventuels ralliements. 
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-Le front républicain face au Rassemblement national et ses alliés 
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-Le front républicain face au Rassemblement national et ses alliés 
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-Le front républicain face au Rassemblement national et ses alliés 
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-Source : ministère de l'intérieur 
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-Infographie : Le Monde 
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-L’entre-deux-tours, avec son lot de retraits républicains, a été crucial. Les candidats RN et LR-RN n’ont en effet été élus que dans 10 triangulaires sur les 69 dans lesquelles ils étaient présents, et ils ont gagné « seulement » 94 duels sur les 353 où ils étaient représentés, dimanche 7 juillet. Dans le détail, les face-à-face se sont principalement soldés par des défaites pour les représentants de Marine Le Pen : que ce soit face au Nouveau Front populaire (90 perdus sur 150), face au camp présidentiel (111 perdus sur 132) ou face à LR (38 perdus sur 45). En revanche, les 10 triangulaires sur les 11 où le RN était en tête ont été remportées par l’extrême droite. Mais, finalement, 154 candidats du RN en tête au soir du premier tour ont finalement perdu. 
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-Un bilan qui montre que les retraits de candidats, quasi automatiques de la part de la gauche et suivis du côté de la majorité présidentielle, malgré le « ni-ni » de l’aile droite du macronisme, ont joué un rôle majeur. Dans de nombreuses circonscriptions, le front républicain a également été réel, dans un contexte de tensions alors que cette élection a longtemps été décrite comme la première où l’extrême droite pouvait s’imposer dans les urnes au niveau national. Parmi les adversaires de l’extrême droite devancés au soir du premier tour par les lepénistes, 89 candidats macronistes, 71 NFP et 24 LR ont finalement été élus. Et 56 candidats du RN qui avaient obtenu plus de 40 % des voix au premier tour n’ont finalement pas réussi à gagner. 
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-Pas de conquête de l’Ouest 
-Si le RN a été contenu dans de nombreuses circonscriptions, la poussée de l’extrême droite est loin d’être anodine. Dans 76 circonscriptions, les candidats du RN et ses alliés ciottistes ont échoué en obtenant entre 45 % et 50 % des suffrages et 157 d’entre eux ont terminé à plus de 40 %. Des scores inimaginables il y a quelques années. Avec 143 représentants, le groupe RN et alliés va atteindre un niveau totalement inédit. Il a réussi à faire élire 80 de ses députés sortants, signe que l’irruption massive de députés RN à l’Assemblée nationale en 2022 n’a pas refroidi de nombreux électeurs. 
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-Et le cordon sanitaire n’existe plus dans de nombreux endroits de France. Ainsi, dix départements deviennent bruns dans la totalité de leurs circonscriptions. Ils sont situés dans les zones de force historiques de l’extrême droite, notamment dans l’arc méditerranéen (le Gard, les Alpes-de-Haute-Provence, l’Aude, les Pyrénées-Orientales…). Dans le Vaucluse, seule une des circonscriptions, celle d’Avignon, a vu la victoire d’un candidat du NFP. Certains départements de l’Est ont aussi 100 % d’élus RN, comme la Meuse, la Haute-Saône et la Haute-Marne. Dans le Nord, les zones en dehors des grandes agglomérations sont quasiment toutes accaparées par l’extrême droite. Ainsi, seulement deux des douze circonscriptions du Pas-de-Calais échappent au RN. En revanche, la conquête de l’Ouest tant espérée par Marine Le Pen n’est pas encore à l’ordre du jour. Les lepénistes n’arrivent à obtenir aucun élu dans les départements des Pays de la Loire, ni dans ceux de la Bretagne. Mais quelques percées sont à signaler avec des députés en Dordogne, en Charente-Maritime, en Charente… Une façade atlantique à surveiller pour la future élection présidentielle. 
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-Ce front républicain a bénéficié à l’union de la gauche décidée très vite après la dissolution de l’Assemblée nationale. Le NFP arrive à faire élire 40 députés de plus que la Nupes. Dans le détail, La France insoumise est toujours le premier groupe avec 74 élus, devant les 59 députés du Parti socialiste, les 28 écologistes ou encore les 9 élus du Parti communiste, qui ne peut pas pour le moment constituer un groupe à l’Assemblée nationale (il faut pour cela 15 députés au minimum). En 2022, les « insoumis » dominaient avec environ la moitié des députés de la Nupes. Ils n’ont pas étendu leur pouvoir au sein de ce bloc, alors que les socialistes doublent leurs effectifs et que les écologistes progressent aussi. 
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-Lire aussi | En direct, législatives 2024 : le Nouveau Front populaire se réunit en fin d’après-midi pour « tracer le chemin » de son programme, selon Manuel Bompard 
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-L’évolution de ce nouveau rapport de force dépendra aussi des discussions et des mouvements dans les jours à venir. François Ruffin, réélu avec 53 % des suffrages dans la 1re circonscription de la Somme, alors qu’il avait sept points de retard sur le RN au premier tour, a ainsi déjà annoncé qu’il ne souhaitait pas siéger dans le groupe des partisans de Jean-Luc Mélenchon. Idem pour Alexis Corbière, Danielle Simonnet, Hendrik Davi et Clémentine Autain, tous élus dimanche soir. Parmi les autres figures de ce bloc de gauche, François Hollande a été réélu dans son fief de Tulle, en Corrèze (43,1 % des voix, contre 31,7 % pour le candidat du RN et 25,2 % pour le candidat LR). Dans les Yvelines, Aurélien Rousseau, l’ancien ministre de la santé et directeur de cabinet d’Elisabeth Borne qui a rejoint le NFP, a été élu lors d’une triangulaire très surveillée (39,1 %). 
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-Un rôle charnière pour Ensemble 
-Sans surprise, la gauche performe dans les grandes agglomérations. Ainsi, les cinq circonscriptions lyonnaises ont toutes porté un candidat ou une candidate du NFP à l’Assemblée nationale. Douze circonscriptions sur les dix-huit de Paris seront représentées par des candidats de gauche. Et toutes celles de Seine-Saint-Denis ainsi que de l’agglomération nantaise sont aussi NFP. Dans le Sud-Ouest, une zone où la gauche a historiquement des fiefs, le NFP et les dissidents gagnent toutes les circonscriptions des Hautes-Pyrénées, de l’Ariège, et seulement deux députés de la majorité sortante arrivent à gagner dans les dix circonscriptions de Haute-Garonne, les huit autres l’étant par le NFP. 
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-Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Le Nouveau Front populaire en première ligne d’une situation politique inédite après sa victoire surprise aux législatives 2024 
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-Alors que les projections en sièges avaient donné des sueurs froides à l’exécutif pendant ce mois de campagne, la majorité présidentielle limite la casse tout en étant en très net recul à l’Assemblée nationale. Alors qu’en 2022, le bloc macroniste avait réussi à faire élire 246 députés, Ensemble n’est plus constitué que de 168 élus. Dans le détail, le parti d’Emmanuel Macron obtient 102 députés ; le MoDem de François Bayrou atteint 33 élus, et Horizons, la formation de l’ancien premier ministre Edouard Philippe, qui a des velléités d’autonomie, aura 25 représentants au sein de l’Assemblée nationale. Si les troupes macronistes arrivent à rester unies, leur position de deuxième bloc de l’Assemblée nationale devant l’extrême droite leur assurera au minimum un rôle charnière ou même une fonction cruciale si l’Elysée arrive à nouer des alliances dans les semaines à venir. 
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-En bénéficiant très largement des retraits des représentants de la gauche, des ministres, des anciens membres du gouvernement et d’autres figures de la Macronie ont réussi à sauver leur siège. Sans surprise, le premier ministre, Gabriel Attal, a gagné avec 58,2 % des voix dans la 10e circonscription des Hauts-de-Seine. Dans le même département, le ministre des affaires étrangères, Stéphane Séjourné, l’emporte avec 72,6 % des voix dans un duel face à une candidate écologiste. Dans le Calvados, l’ancienne première ministre Elisabeth Borne a été réélue (56,4 %) grâce au retrait d’une candidature NFP. Idem pour le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, dans la 10e circonscription du Nord (61,4 %). L’ancienne présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, a, elle aussi, gagné (49,1 %) lors d’une triangulaire dans son département des Yvelines. 
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-LR miraculé 
-En revanche, d’autres figures sont battues. En Isère, Olivier Véran, l’ancien ministre de la santé pendant une grande partie de la crise due au Covid-19 et ex-porte-parole du gouvernement, obtient 40,2 % des voix, devancé par le candidat « insoumis » du Nouveau Front populaire, Hugo Prevost (42,4 %), dans le cadre d’une triangulaire. Dans la 3e circonscription de Paris, le ministre de la transformation et de la fonction publiques, Stanislas Guerini, échoue avec 46,4 % des voix contre l’écologiste Léa Balage El Mariky (53,6 %). Dans la 5e circonscription de Loire-Atlantique, la ministre déléguée chargée de l’enfance, de la jeunesse et des familles, Sarah El Haïry, n’est pas parvenue à s’imposer avec 37,4 % des voix à l’issue d’une triangulaire l’opposant au socialiste Fabrice Roussel (40 %). 
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-En pleine crise existentielle depuis le crash de François Fillon à l’élection présidentielle de 2017, le parti LR ressort miraculé de ces élections législatives. Comparativement aux 17 élus de son président Eric Ciotti, qui a fait alliance avec le RN, LR « canal historique » arrive à faire élire 45 députés. Moins que les 61 sortants, mais des ralliements pourraient arriver dans les jours à venir, notamment venus des rangs des divers droite (15). Alors qu’il se rêve un destin présidentiel depuis de nombreuses années, Laurent Wauquiez a été élu dans son fief de Haute-Loire avec 61,6 % des suffrages face à un candidat RN et après le désistement d’une candidate écologiste. Il espère avoir un rôle central au sein de la nouvelle Assemblée. Quant au député LR pro-Nétanyahou Meyer Habib, il a été battu (47,3 %) dans la 8e circonscription des Français de l’étranger. Idem pour Nicolas Dupont-Aignan, ancien membre de la droite qui avait rallié Marine Le Pen en 2022 avec son parti Debout la France. Après vingt-sept ans à la tête de la 8e circonscription de l’Essonne, il a été battu (37,5 %) par une candidate NFP lors d’une triangulaire. 
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-Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Les Républicains confirment leur bonne tenue aux législatives 2024 et veulent affirmer leur autonomie dans la nouvelle Assemblée 
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-Dans cette Assemblée fracturée, la place des femmes n’a pas augmenté. Loin de la parité, le taux de députées n’est que de 36 %. Un ratio en très léger repli par rapport à celui de la précédente mandature (37 %), au cours de laquelle 215 femmes siégeaient au Palais-Bourbon, pour 362 hommes. Reste à savoir maintenant comment les trois blocs vont réussir à cohabiter et surtout comment le paysage politique va évoluer pour tenter de trouver une majorité de gouvernement. Un scénario totalement flou au lendemain de ces élections législatives qui ont un peu plus fracturé la vie politique française. 
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-Matthieu Goar 
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