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-====== Le Monde: « Nous sommes dans un bateau qui va affronter une énorme tempête » : après la victoire de Donald Trump, l’union de l’Europe mise à l’épreuve ====== https://www.lemonde.fr/international/article/2024/11/08/face-a-trump-l-europe-cherche-des-reponses_6383074_3210.html 
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-INTERNATIONAL 
-UNION EUROPÉENNE 
-« Nous sommes dans un bateau qui va affronter une énorme tempête » : après la victoire de Donald Trump, l’union de l’Europe mise à l’épreuve 
-Le premier ministre hongrois Viktor Orban a accueilli, jeudi, à Budapest, un sommet de la Communauté politique européenne puis un Conseil européen des Vingt-Sept. 
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-Par Jean-Baptiste Chastand (Budapest, envoyé spécial) et Virginie Malingre (Budapest, envoyée spéciale) 
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-Publié aujourd’hui à 10h32, modifié à 11h29  
-Temps deLecture 6 min. 
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-Le Premier ministre hongrois Viktor Orban, au sommet de l’UE au Puskas Arena de Budapest, en Hongrie, le vendredi 8 novembre 2024. PETR DAVID JOSEK / AP 
-Pour l’événement, Viktor Orban avait choisi le Puskas Arena, le grand stade au nom du légendaire joueur de football Ferenc Puskas (1927-2006), que ce passionné de ballon rond a fait récemment ériger à Budapest. Jeudi 7 novembre, le premier ministre hongrois y a accueilli quarante-deux chefs d’Etat et de gouvernement européens, dont ses homologues de l’Union européenne (UE), à l’occasion du sommet de la Communauté politique européenne (CPE). 
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-Au lendemain de la large victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine et de la chute de la coalition d’Olaf Scholz en Allemagne, la plupart des dirigeants présents à Budapest avaient de quoi être préoccupés. D’autant que, comme le résume un haut fonctionnaire européen, « il n’y a pas un pays tiers qui divise plus les Européens que les Etats-Unis ». Pris par la crise politique allemande, M. Scholz n’était d’ailleurs pas présent, jeudi, au sommet de la CPE et n’a rejoint Budapest que pour le Conseil européen, dans la soirée. 
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-Dans l’entourage du président du Conseil européen, Charles Michel, on redoutait par ailleurs les provocations de Viktor Orban, qui a soutenu avec ferveur le candidat républicain et dont de nombreux partisans ont célébré la chute de la coalition allemande, qu’ils trouvaient trop à gauche. Mais le dirigeant hongrois a finalement joué la sobriété, sous les yeux rieurs d’Edi Rama, le premier ministre albanais, qui s’est amusé de voir « toute l’Europe rassemblée dans la bergerie de son mouton noir ». 
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-Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Viktor Orban se réjouit de l’élection annoncée de Donald Trump : « En route pour une belle victoire » 
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-Dans son discours d’ouverture, Viktor Orban n’a même pas cité le nom de son « ami » Donald Trump. « L’avenir de nos liens avec les Etats-Unis est un aspect incontournable de l’architecture de sécurité européenne », a poliment formulé le premier ministre hongrois. « Nous allons parler de la façon de renforcer notre autonomie stratégique », a-t-il même ajouté, reprenant une notion chère à Emmanuel Macron. 
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-« Nous devons examiner si nous voyons les défis qui nous attendent de la même manière, et si nous cherchons des réponses dans des directions similaires », a toutefois glissé M. Orban, qui, depuis le début de la guerre en Ukraine, affiche sa proximité avec le président Vladimir Poutine. Derrière sa vision de l’« autonomie stratégique » il n’entend pas seulement que l’Europe s’affranchisse des intérêts américains, mais aussi qu’elle se rapproche de ceux de la Chine et de la Russie. 
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-Se montrer constructifs 
-Le premier ministre hongrois, qui avait promis d’ouvrir « plusieurs bouteilles de champagne » en cas de victoire de Donald Trump, n’avait pas prévu non plus de forcer ses homologues de l’UE à trinquer à la santé du président élu, lors du dîner que les Vingt-Sept ont consacré, jeudi soir, à la victoire du républicain. « J’étais au Kirghizistan » quand les résultats de l’élection américaine sont tombés, a-t-il raconté, et, compte tenu des « traditions différentes » de ce pays, « nous avons joyeusement puisé dans les réserves de vodka et partagé notre joie devant ce résultat fantastique ». 
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-« Orban sait jouer différents rôles. Aujourd’hui, il a joué au chef d’Etat qui reçoit dans son château », ironisait, soulagé, un diplomate européen, jeudi soir. Egalement soucieux de se montrer constructifs, les autres Etats membres de l’UE ont évité d’étaler leurs divisions sur la question transatlantique. « Nous sommes dans un bateau qui va affronter une énorme tempête. Cela va gîter fort, mais, pour l’instant, nous avons de la nourriture et des boissons, et il n’y a pas de raison de paniquer », estime ce même diplomate. 
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-Cherchant à compenser sa faiblesse sur la scène politique intérieure, Emmanuel Macron s’est montré particulièrement actif à Budapest. Mercredi matin, il avait été parmi les premiers à féliciter M. Trump pour sa victoire. Selon l’Elysée, le président français a « pris une forme de “lead” sur la scène européenne », en décidant de téléphoner au chancelier allemand pour communiquer ensuite avec lui sur la nécessité d’une « Europe plus unie, plus forte, plus souveraine ». 
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-« Reprendre le contrôle » 
-Jeudi, il a, comme souvent depuis son arrivée au pouvoir en 2017, appelé les Européens « à reprendre le contrôle » de leur « sécurité » ainsi que de leur « modèle économique [et] démocratique ». « Le monde est fait de carnivores et d’herbivores », a-t-il résumé, avant de lancer : « Si on décide de rester des herbivores, les carnivores gagneront, ce serait pas mal au moins de décider d’être des omnivores. » 
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-« Trump est très clair sur ce qu’il veut », a également commenté Mark Rutte, le secrétaire général de l’OTAN. « Il a tous les leviers au Congrès comme à la Cour suprême. Il a une équipe, des gens à placer dans la haute administration. Il sera en mesure de mettre en œuvre ce qu’il a annoncé », abonde un diplomate européen. Durant sa campagne, le candidat républicain l’a dit et répété : il veut « la paix » en Ukraine, quitte à ce qu’une partie de son territoire reste aux mains de la Russie. Il souhaite aussi que les Européens payent pour leur sécurité et ne se reposent plus sur les Etats-Unis pour la garantir. 
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-Sur le plan économique, le prochain président des Etats-Unis a une obsession : réduire le déficit commercial américain. Pour cela, il compte imposer de nouveaux droits de douane de 10 % sur les importations en provenance de l’UE, qu’il compare à une « mini-Chine ». Il veut également surtaxer de 60 % les importations chinoises aux Etats Unis, faisant craindre aux Vingt-Sept que Pékin déverse ses surcapacités industrielles sur le Vieux Continent, déjà en plein décrochage économique. 
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-« Donald Trump va défendre les intérêts des Américains. C’est légitime et c’est une bonne chose. La question qui se pose à nous, Européens, est : “Sommes-nous prêts à défendre l’intérêt des Européens ?” », a déclaré Emmanuel Macron. Pour l’instant, les Vingt-Sept n’ont pas répondu à cette interrogation, et il faudra attendre les prochaines semaines pour y voir plus clair. « L’avenir de l’Europe est entre nos mains, nous devons agir maintenant », a insisté pour sa part la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, affirmant qu’« aucun Etat membre n’est capable de répondre seul » aux « défis » que doivent affronter les Vingt-Sept. 
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-Volodymyr Zelensky inquiet 
-De son côté, Volodymyr Zelensky, qui, pour la première fois depuis le début de la guerre, avait fait le déplacement en Hongrie, n’a pas caché ses inquiétudes, même s’il s’est gardé de critiquer ouvertement M. Trump. « Certains d’entre vous, ici présents, ont vivement recommandé à l’Ukraine de faire des concessions à Poutine », a lancé le président ukrainien, s’adressant à mots couverts à M. Orban. « C’est inacceptable pour l’Ukraine et suicidaire pour toute l’Europe », a-t-il insisté. 
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-M. Zelensky a fustigé les appels au cessez-le-feu de nouveau formulés par le dirigeant magyar, qui a affirmé que, « avec les élections américaines », le « camp de ceux qui veulent la paix » s’est « élargi ». Même si M. Orban reste isolé au sein de l’UE, il a mis le doigt sur les faiblesses de celle-ci en s’interrogeant sur la capacité des Européens à remplacer les Américains, au cas où M. Trump se désengagerait du soutien à Kiev. Il a également demandé à ses homologues de « faire un exercice intellectuel » pour « définir ce que serait une victoire ». 
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-Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Volodymyr Zelensky cherche, en vain, davantage de soutien des Européens 
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-M. Zelensky a sèchement répondu, en disant que « le cessez-le-feu mentionné par certains » serait synonyme de « perte » pour l’Ukraine. Le président ukrainien a par ailleurs plaidé pour que les Européens piochent dans les « 300 milliards d’euros d’actifs russes saisis » pour compenser un éventuel arrêt du financement américain. 
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-« Naïveté géopolitique » 
-« Si la Russie gagnait en Ukraine, ce serait une menace pour l’Europe mais aussi pour les Etats-Unis », a pour sa part jugé Mark Rutte. « La Chine, la Russie, la Corée du Nord et l’Iran travaillent ensemble, ce sont des évolutions dangereuses » qui affecteraient également Washington, a-t-il poursuivi. 
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-« Il est temps de nous réveiller de notre naïveté géopolitique et de nous donner des moyens additionnels pour résoudre [nos] problèmes de compétitivité et de défense », a plaidé quant à lui le premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis. La question des moyens financiers est justement de celles qui divisent, en particulier parce que l’Allemagne, jusque-là, ne veut pas entendre parler d’un nouvel emprunt commun aux Vingt-Sept, sur le modèle de ce qui s’est fait pour le plan de relance européen post-Covid-19, en 2020. 
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-Certains espèrent que la situation politique allemande permettra de changer la donne. D’autant que la France, depuis la dissolution de l’Assemblée nationale, en juin, est également affaiblie sur la scène européenne. « La crise actuelle amènera peut-être une clarification de la politique allemande. De toute façon, le logiciel s’était arrêté. Sur la défense, sur les investissements, sur le frein à la dette, les Allemands ne se projettent plus depuis longtemps », commente un diplomate européen, alors que, depuis des mois, le gouvernement de M. Scholz est incapable de la moindre initiative à l’échelon communautaire. 
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-« On a besoin d’une Allemagne forte en Europe », a jugé le premier ministre finlandais, Petteri Orpo, présent à Budapest. « Une chose est claire : l’Europe ne peut être forte sans une Allemagne forte », a abondé Roberta Metsola, la présidente du Parlement européen. 
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-Jean-Baptiste Chastand (Budapest, envoyé spécial) et Virginie Malingre (Budapest, envoyée spéciale) 
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