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-====== Le Monde – Quartiers « riches », quartiers « pauvres » : une carte pour savoir si votre ville est particulièrement inégalitaire ====== https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2024/11/26/quartiers-riches-quartiers-pauvres-votre-ville-est-elle-particulierement-inegalitaire_6415608_4355770.html?lmd_medium=al&lmd_campaign=envoye-par-appli&lmd_creation=android&lmd_source=default 
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-<hidden Article Complet (utilisateurs connectés)> 
-<ifauth @user> 
-Quartiers « riches », quartiers « pauvres » : une carte pour savoir si votre ville est particulièrement inégalitaire 
-Par Romain Imbach et Iris Derœux 
-Par Romain Imbach et Iris Derœux 
-Par Romain Imbach et Iris Derœux 
-Article réservé aux abonnés 
-Décryptage A partir de données nouvelles de l’Insee permettant de visualiser les poches de richesse et celles de pauvreté, nous avons dressé le profil de 59 grandes agglomérations. 
-Saint-Cyr-au-Mont-d’Or, près de Lyon (Rhône), La Mosson, à Montpellier (Hérault) Même si les grandes agglomérations sont des lieux de mixité, « au sein des villes, les populations les plus modestes et les plus aisées ont tendance à se séparer les unes des autres et à se regrouper entre elles », constate l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) dans son rapport annuel sur les revenus et le patrimoine des ménages français. 
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-Pour la première fois, l’institut a cartographié les poches de richesse et de pauvreté dans toutes les unités urbaines de plus de 10 000 habitants, et a identifié 2 300 quartiers, particulièrement « modestes » ou « aisés », regroupant 11 millions de personnes. Cette approche géographique est novatrice, même si elle ne permet pas l’analyse des nombreux quartiers intermédiaires, appréhendés par d’autres études, comme celle de l’Apur pour le Grand Paris. 
- 
-Les Décodeurs se sont concentrés sur les « grandes villes », les 59 aires urbaines de plus de 100 000 habitants, en représentant les données de l’Insee sous la forme d’un graphique polaire, c’est-à-dire un polygone dessinant le profil des agglomérations à partir de plusieurs données : part des ménages dits riches ou pauvres, surface occupée par chaque type de quartier ou selon le revenu médian des habitants… Il en ressort une typologie en quatre groupes : 
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-les villes qui concentrent beaucoup de quartiers « riches » ; 
-celles où les quartiers « pauvres » sont surreprésentés ; 
-les agglomérations fortement polarisées avec des quartiers très inégalitaires ; 
-les aires urbaines mixtes, proches du profil moyen des villes françaises. 
-Retrouvez ce classement et les analyses de géographes et de sociologues. Une carte exploratoire de l’ensemble des villes, mettant en avant les poches de richesse et de pauvreté identifiées par l’Insee est disponible à la fin de l’article. 
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-Les villes qui concentrent les quartiers riches : Paris, Lyon, Bordeaux, Annecy… 
-Comment lire ces graphiques ? 
-Chaque graphique représente le profil d'une des villes retenues, dessiné à partir des variables proposées par l'Insee : part des ménages "riches" et "pauvres", surface occupée par chacun de ces types de quartier ou encore revenu médian de l'unité urbaine. Pour chacun des paramètres, les valeurs ont été étalonnées de 0 à 10 pour permettre la comparaison. Touchez les profils pour afficher le détail. 
-10 
-8 
-6 
-4 
-2 
-Niveau de vie médian 
-Niveau de vie basmédian en dessous duquel se situent les quartiers les plus pauvres 
-Surface des quartiersles plus pauvres 
-Population de la villerésidant dans les quartiersles plus pauvres (en %) 
-Population de la villerésidant dans les quartiersles plus riches (en %) 
-Surface des quartiersles plus riches 
-Niveau de vie hautmédian au-dessus duquelse situent les quartiers les plus riches   
-Profil médian de l’ensembledes villes retenues 
-Profil de la ville 
-Par exemple, la ville ci-dessus présente un niveau de vie médian nettement inférieur au niveau de vie médian des autres villes, mais aussi une plus grande part de sa population vivant dans les quartiers les plus pauvres et, à l'inverse, une part de population vivant dans les quartiers les plus riches plus restreinte, près de deux fois moins que dans l'ensemble des autres villes. 
-Les aires urbaines qui concentrent le plus de quartiers riches 
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-Paris 
-Lyon 
-Toulouse 
-Nice 
-Bordeaux 
-Annemasse 
-Annecy 
-Thionville 
-Toulon 
-Fort-de-France (Martinique) 
-Sources : Insee et Le Monde 
-Dans cette première catégorie de villes, le niveau de vie médian est bien plus élevé que la moyenne, la population des quartiers riches, tout comme leur surface associée, est nettement plus importante que celle des quartiers pauvres. 
- 
-La métropole de Paris est très représentative de ce schéma, avec une forte population aux revenus élevés se regroupant dans des poches de richesse qui s’étendent dans Paris intra-muros, et aux alentours, à l’ouest et au sud. Près de 35 % des habitants – soit 3,8 millions d’habitants – vivent dans ces « quartiers riches » occupant près de 20 % de la surface totale. A l’inverse, les poches de pauvreté rassemblant 9,5 % de la population – soit 1 million d’habitants – sont resserrées sur 3 % de la surface et se répartissent entre la ville-centre, le nord et l’est, majoritairement en Seine-Saint-Denis et dans le Val-d’Oise. 
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-Cette configuration se retrouve, bien qu’à des niveaux moins prononcés, dans des métropoles telles que Lyon, Toulouse, Nice, Bordeaux ou encore Fort-de-France (Martinique). 
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-Elle résulte de l’histoire économique entamée dès la transition urbaine et industrielle au XIXe siècle, favorisant l’émergence de « beaux quartiers », de politiques d’urbanisme (par exemple, en faveur ou non de l’habitat social dans les villes-centre ou en périphérie), mais également du marché immobilier, avec des habitats pavillonnaires plus étendus pour les ménages aisés. En moyenne, dans les villes françaises, selon l’Insee, « l’emprise au sol des quartiers aisés est 5,2 fois supérieure à celle des quartiers pauvres ». Mais dans ces villes « riches », les quartiers aisés (en violet sur la carte ci-dessous) sont dix à quinze fois plus étendus que les quartiers pauvres (en orange). Exception parisienne : le ratio reste à 6,5 en raison de la forte proportion d’immeubles. 
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-Paris et Lyon 
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-Paris 
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-Lyon 
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-Sources : Insee et Le Monde 
-Comme le relève François Madoré, géographe à l’université de Nantes, qui a étudié la ségrégation socio-spatiale dans les grandes villes en se fondant sur la répartition des catégories socioprofessionnelles (CSP), cette configuration est révélatrice de « la tendance des classes aisées à être plus concentrées géographiquement que les classes populaires, que l’on retrouve même de manière beaucoup plus marquée aux Etats-Unis, au Brésil ou en Afrique du Sud, comme l’atteste un rapport de l’OCDE paru en 2018 ». Selon son étude, Paris se démarque de toutes les autres aires urbaines françaises par une distance exacerbée entre les cadres et les autres CSP, y compris avec les professions intermédiaires. 
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-Annemasse, qui constitue la partie française de l’unité urbaine de Genève, et Annecy, qui entretient également des liens économiques avec la Suisse, sont des villes en partie comparables à la région parisienne, en raison de la concentration de quartiers riches. Elles se distinguent par un niveau de vie médian très élevé (le plus haut pour Annemasse), et par la quasi-absence de poches de pauvreté ; Annecy n’en compte aucune. 
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-Les villes où les quartiers pauvres sont les plus nombreux : Perpignan, Creil, Limoges… 
-Les aires urbaines qui concentrent le plus de quartiers pauvres 
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-Perpignan 
-Creil 
-Troyes 
-Avignon 
-Limoges 
-Poitiers 
-Angoulême 
-Le Mans 
-Valence 
-Montbéliard 
-Maubeuge 
-Saint-Pierre (La Réunion) 
-Sources : Insee et Le Monde 
-Cette catégorie rassemble des unités urbaines dans lesquelles le revenu médian est plus bas que la moyenne, et la population des quartiers pauvres est nettement plus importante que celle des quartiers riches. Il convient cependant de les distinguer en fonction de leur densité de pauvreté. 
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-Perpignan fait figure d’archétype des agglomérations marquées par un niveau de pauvreté important et dont la ville-centre est paupérisée, une configuration qui caractérise aussi Troyes, Creil ou encore Limoges. Spécialiste de Perpignan, le géographe David Giband rappelle que 32 % de la population (et un enfant sur deux) y vit désormais sous le seuil de pauvreté. « C’est une ville qui gagne des habitants mais essentiellement des habitants pauvres, et dont l’entièreté du centre-ville est en quartier prioritaire de la ville : une exception française. » Ville fortement ethnicisée, à la diversité sociale réduite, elle n’a pas fait l’objet de politique urbaine d’envergure depuis les années 1950. « En dehors de quelques aménagements en centre-ville, elle est dans son jus », résume le chercheur. 
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-Des aires urbaines comme Mulhouse, Reims, Amiens ou encore Besançon sont également marquées par une concentration de poches de pauvreté, notamment dans la ville-centre. A Saint-Etienne, Orléans, ou encore Caen, la part de population modeste vivant dans des quartiers pauvres reste légèrement supérieure à la part de population vivant en quartier aisé, mais le revenu médian des unités urbaines y est relativement élevé. Douai, Béthune, Valenciennes, Dunkerque sont quant à elles des villes globalement modestes, selon leur revenu médian, où les poches de pauvreté autant que de richesse sont limitées. 
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-Les autres aires urbaines qui concentrent plus de quartiers modestes qu'aisés 
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-Saint-Étienne 
-Orléans 
-Caen 
-Mulhouse 
-Reims 
-Amiens 
-Besançon 
-Douai-Lens 
-Valenciennes 
-Béthune 
-Le Robert (Martinique) 
-Dunkerque 
-Sources : Insee et Le Monde 
-La concentration de pauvreté, notamment à l’intérieur des villes-centres, s’explique par plusieurs facteurs, comme l’éloignement d’un espace métropolisé : « Saint-Etienne, même désindustrialisée, résiste en partie parce qu’elle est située dans l’espace métropolisé de Lyon, à la différence d’une ville comme Limoges qui se retrouve dans un espace très périphérique vis-à-vis des métropoles nationales. Saint-Etienne a également une tradition politique d’aménagement urbain qui lui permet de se réinventer et d’innover, dernièrement avec la cité du design par exemple », explique le géographe David Giband. Il insiste en outre sur le phénomène de périurbanisation extrêmement fort en France depuis quarante ans, qui accélère la paupérisation de villes-centres déjà fragilisées. 
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-Perpignan et Saint-Etienne 
-Perpignan 
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-Saint-Etienne 
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-Sources : Insee et Le Monde 
-Les villes très polarisées : Marseille, Lille… 
-Les aires urbaines qui concentrent à la fois de nombreux quartiers riches et pauvres 
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-Marseille-Aix-en-Provence 
-Lille 
-Nîmes 
-Montpellier 
-Saint-Denis (La Réunion) 
-Saint-Paul (La Réunion) 
-Sources : Insee et Le Monde 
-Cette catégorie se distingue par des proportions nettement plus fortes que la moyenne de populations vivant dans les quartiers soit aisés, soit modestes. 
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-A Marseille, les importantes poches de pauvreté (21 % de la population), très concentrées dans la ville-centre autour du Vieux-Port et dans les quartiers nord, et juxtaposées aux poches de richesse (concentrant aussi 20 % de la population), témoignent d’une très forte polarisation. « Les grandes disparités de niveaux de vie dans la ville y entraînent une large couverture (en termes de surface) des quartiers pauvres ou aisés », analyse l’Insee, dans le cas de la métropole Aix-Marseille. 
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-Cela s’y traduit aussi par une faible proportion de quartiers intermédiaires dans la ville-centre, ceux-ci se situant plutôt en zones périurbaines. « Les poches de richesse et de pauvreté en viennent à être collées les unes aux autres », relève Max Rousseau, professeur à l’école de l’aménagement durable des territoires, qui souligne le développement d’un « urbanisme de murs et de rues quasi privées pour les populations les plus aisées ». Comme l’expliquent Gwenaelle Audren, Virginie Baby-Collin et Elisabeth Dorier dans leur étude de 2016 sur la mixité scolaire à Marseille, près de 58 000 logements neufs y ont été construits entre 1993 et 2012, dont 62 % sont des résidences fermées, aboutissant à « une mixité résidentielle de façade entre les classes moyennes et les classes populaires ». 
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-A Lille, également très polarisée, les poches de pauvreté sont diluées dans le sud de la ville-centre et très largement à Roubaix et à Tourcoing : elles concentrent près de 21 % de la population, et les poches de richesse, 19,59 %. 
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-Marseille et Lille 
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-Marseille 
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-Lille 
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-Sources : Insee et Le Monde 
-Lille a également une histoire ancienne de ségrégation résidentielle héritée de son passé industriel, avec la construction des cités ouvrières et des grands ensembles pour les ménages les plus modestes. Comme le soulignait l’Insee dans une étude de 2023, seuls 19 % des habitants du pôle lillois vivaient dans des quartiers mixtes : « Comme dans une majorité de grands pôles urbains français, la population des quartiers mixtes a diminué en quinze ans, de même que leur étendue, du fait d’une gentrification de certains territoires (Noir Bonnet à Wasquehal) ou, au contraire, d’un appauvrissement pour d’autres (Wattrelos-centre, par exemple). » 
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-Les villes qui présentent davantage de mixité : Strasbourg, Nantes, Tours, Angers… 
-Les aires urbaines les plus mixtes 
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-Strasbourg 
-Metz 
-Nancy 
-Clermont-Ferrand 
-Le Havre 
-Rouen 
-Sources : Insee et Le Monde 
-Ces unités urbaines s’approchent de la moyenne des 59 grandes villes françaises. Les poches de pauvreté et les poches de richesse concentrent respectivement autour de 13 % de la population. 
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-« En creux, cela signifie qu’elles se composent de nombreux quartiers où se mêlent les niveaux de revenus et les CSP. Le fait que ce schéma de ville corresponde à la moyenne des villes étudiées confirme que les villes françaises ne sont pas des villes d’apartheid », note le géographe Jean Rivière, auteur de l’Atlas social de la métropole nantaise. 
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-C’est le cas de Strasbourg, Metz, Nancy, Le Havre, Clermont-Ferrand, où la surface occupée par les quartiers riches est un peu plus prononcée que dans les autres unités urbaines de cette catégorie. Il s’agit encore de Tours, Dijon, Angers, La Rochelle, Rennes ou Nantes. 
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-Toutes les villes de cette catégorie 
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-Nantes 
-Rennes 
-Tours 
-Dijon 
-Angers 
-La Rochelle 
-Pau 
-Bayonne 
-Grenoble 
-Chambéry 
-Saint-Nazaire 
-Brest 
-Lorient 
-Sources : Insee et Le Monde 
-Spécialiste de la métropole nantaise, Jean Rivière l’analyse comme « un modèle de ville avec un niveau de vie plutôt élevé et un niveau d’inégalités plutôt faible ». « Cela peut correspondre à une propriété générale des villes de l’ouest de la France ayant un marché de l’emploi dynamique et, in fine, une société moins inégalitaire qu’ailleurs », poursuit le chercheur. Des caractéristiques que l’on retrouve également dans des villes universitaires tertiarisées, bien connectées. L’équilibre entre les ménages aux revenus différents y résulte enfin de choix politiques locaux, comme le respect des règles de construction de logements sociaux prévues par la loi solidarité et renouvellement urbain (SRU) de 2000. 
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-Nantes et Strasbourg 
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-Nantes 
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-Strasbourg 
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-Sources : Insee et Le Monde 
-Les cartes de répartition des quartiers riches et pauvres dans toutes les grandes villes 
-Retrouvez dans la carte ci-dessous la répartition des quartiers riches (en violet) et pauvres (en orange) dans les 59 aires urbaines de plus de 100 000 habitants. Les zones non colorées correspondent à des quartiers mixtes ou de trop faible densité. 
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-Les quartiers concentrant les ménages les plus riches et les plus modestes 
-Pour les 59 unités urbaines de plus de 100 000 habitants 
-Rechercher une commune 
- 
-Protomaps © 
-OpenStreetMap 
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-10 km 
-Quartiers pauvres 
-Quartiers riches 
-Source : Insee 
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-Quelle est la méthodologie de l'Insee ?  
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-Pour établir sa cartographie des quartiers ayant les plus fortes concentrations de ménages "aisés” et “pauvres”, l’Insee a choisi comme référence l’unité urbaine, constituée d’une commune ou d’un ensemble de communes entre lesquelles les habitations se trouvent à moins de 200 mètres les unes des autres. L’institut a ainsi retenu 528 unités de plus de 10 000 habitants en France métropolitaine, à La Réunion et en Martinique qui représentent 44,2 millions d’habitants. 
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-Les contours des quartiers “pauvres” et “aisés” sont établis à partir d’un algorithme regroupant des carreaux contigus de 200 mètres de côté et d’un minimum de 500 habitants, dont le niveau de vie médian des habitants se trouve soit inférieur à un seuil de bas revenus pour les quartiers “pauvres”, soit supérieur à un seuil de hauts revenus pour les quartiers “aisés”. Ces seuils diffèrent d’une unité urbaine à l’autre. “Cette définition permet de prendre en compte les deux aspects de la pauvreté : une pauvreté dite absolue, par écart au niveau de vie médian national, et une pauvreté dite relative, par écart au niveau de vie médian de l’unité urbaine,” précise l’Insee. 
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-Les données de revenus proviennent d’un recoupement avec l’administration fiscale (revenus localisés sociaux et fiscaux, Filosofi) tandis que celles sociodémographiques sont issues du recensement de la population. L’Insee précise que les coefficients utilisés pour calculer les seuils de revenus bas et hauts ont été calibrés de sorte que l’ensemble des quartiers pauvres et aisés représentent respectivement 10 % de la population de l’ensemble des unités urbaines, hors celle de Paris.  
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-Ainsi, les quartiers – pauvres ou aisés – mis en exergue par cette méthode constituent ceux dans lesquels les habitants les plus riches et les plus pauvres des villes considérées se concentrent. Dans les quartiers pauvres, plus de la moitié des ménages ont un niveau de vie inférieur au seuil bas de la ville, et inversement, plus de la moitié des ménages ont un niveau de vie supérieur au seuil haut de cette ville. 
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-Voir plus 
-Romain Imbach et Iris Derœux 
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