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-===== « On est payé comme dans le conseil, sauf qu’on ne bosse pas jusqu’à 21 heures » : la vie rêvée des jeunes commerciaux dans le secteur de la tech ===== https://www.lemonde.fr/campus/article/2024/10/15/on-est-paye-comme-dans-le-conseil-sauf-qu-on-ne-bosse-pas-jusqu-a-21-heures-la-vie-revee-des-jeunes-commerciaux-dans-le-secteur-de-la-tech_6352108_4401467.html 
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-« On est payé comme dans le conseil, sauf qu’on ne bosse pas jusqu’à 21 heures » : la vie rêvée des jeunes commerciaux dans le secteur de la tech 
-Les jeunes diplômés des écoles de commerce sont séduits par les nombreux avantages déployés dans les entreprises du numérique : conditions de travail, bénéfices financiers, flexibilité. Au risque d’accepter une pression continue. 
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-Par Audrey Parmentier 
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-Publié le 15 octobre 2024 à 06h00, modifié le 15 octobre 2024 à 10h48  
-Temps deLecture 6 min. 
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-Le bâtiment de Google Europe, à Dublin, en mai 2022. JC MILHET 
-Hugo (son prénom a été changé), 28 ans, ne tient pas en place. Il pratique le judo tous les trois jours, nage une fois par semaine et rentabilise son abonnement à la salle de sport. En parallèle, le Bordelais entretient une vie sociale « débordante ». Il a même le temps d’avoir une copine. Hugo n’est pas un étudiant privilégié, mais bien un salarié… Avec des horaires souples et un télétravail illimité. Il débauche à 18 h 30 tous les soirs tout en étant payé rubis sur ongle : « Je gagne entre 90 000 et 115 000 euros par an. J’aurais dû attendre quinze ans avant d’espérer une telle rémunération dans le secteur des achats ! » 
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-Le vingtenaire est account executive chez HubSpot, une firme américaine de logiciels clients. Traduction : il gère le cycle de vente « de la prospection au closing ». Et pour le jeune diplômé de la Kedge Business School, ça valait le coup de passer les cinq entretiens d’embauche : « J’ai une mutuelle en béton, du matériel dernier cri et des formations équivalentes à 5 000 euros par an. » 
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-Pourtant, la tech n’a pas toujours fait partie de ses plans. « Comme tous mes camarades, j’aspirais à un poste de directeur d’achat pour un gros groupe. C’est ça le Graal pour les plus carriéristes ! », confie ce fils de chef d’entreprise. Une façon de rendre fiers ses parents, pour lesquels réussite et grands groupes du CAC 40 sont indissociables. Sauf que, en stage dans une prestigieuse maison de luxe, Hugo se heurte à « une culture rigide » et à des missions « peu stimulantes ». Rien à voir avec son job actuel où il s’attaque à des ventes « complexes » et gagne en autonomie. 
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-Moins de concurrence 
-Pendant longtemps, les diplômés d’école de commerce faisaient profil bas dans la tech. Dans ces entreprises fondées par des ingénieurs, les marketeurs et les sales (commerciaux) y occupaient souvent des rôles peu valorisés. « Dans les boîtes de tech, les rock stars, ce sont les ingénieurs, pas les commerciaux », tance le sociologue Olivier Alexandre, auteur de La Tech. Quand la Silicon Valley refait le monde (Seuil, 2023). Contrairement à Coca-Cola ou L’Oréal, le secteur de la tech était loin de faire rêver les élèves de la filière commerce. 
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-Mais cette tendance évolue. A HEC, première école de commerce de France, la tech est devenue le troisième secteur de prédilection des diplômés, derrière la finance et le conseil, alors qu’elle ne représentait que 2,5 % des emplois des diplômés il y a dix ans. « Les sales sont très recherchés dans la tech. C’est une aubaine, car il y a moins de concurrence ! », assure Jean-Michel Moutot, professeur de management à Audencia Business School, à Nantes. 
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-Lire aussi | Article réservé à nos abonnés A peine diplômés, déjà chassés, les jeunes ingénieurs en IA connaissent un démarrage de carrière florissant 
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-Un message qui porte ses fruits, puisque le nombre d’alumni de cette école recrutés au sein des « activités informatiques » a presque doublé en dix ans. « Si certains se tournent vers la tech, c’est surtout pour avoir une prise de risque minimale et tenter, ensuite, sa chance ailleurs. Tout le monde ne peut pas être pris chez L’Oréal aussitôt après ses études », tempère Jean Pralong, professeur en gestion des ressources humaines à l’EM Normandie. 
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-« Promotions rapides » et « bonus » 
-Afin d’attirer ces jeunes pousses, les mastodontes de la tech s’alignent sur la rémunération, promettant une flexibilité et des conditions de travail plus adaptées que dans le conseil ou la finance. Car, selon certains, ces jeunes ne fonctionnent plus comme leurs aînés. « Les diplômés d’école de commerce veulent des promotions rapides, des bonus… C’est un contexte favorable aux recrutements des cadres. Comme ils se retrouvent en position de force, ils veulent tout. Mais le leadership ou la responsabilité managériale ne les font plus rêver », résume Aurélie Robertet, directrice du cabinet Universum, une société de conseil en marque employeur qui, chaque année, interroge les étudiants des grandes écoles d’ingénieurs et de commerce sur leur entreprise idéale. 
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-Jean, data analyst chez Criteo à Barcelone, se dit satisfait de son choix : « On est payé comme dans le conseil, sauf qu’on ne bosse pas jusqu’à 21 heures. » Alors qu’il est rémunéré plus de 50 000 euros par an (avec une variable de l’ordre de 10 %), son emploi du temps ne ressemble pas à celui d’un consultant. Aux alentours de 18 heures, Jean est disponible pour jouer au football ou s’atteler à la préparation d’un énième trail, sa passion. « En termes d’horaires, il n’y a pas de contrôle, mais plutôt une éthique de l’efficacité », se réjouit ce diplômé en marketing de 25 ans. 
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-Lire aussi | Article réservé à nos abonnés « Le travail ne serait pour les jeunes plus qu’une pièce du puzzle de leur vie » : le grand malentendu des générations au travail 
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-Grâce à un télétravail quasi illimité, Jean peut régulièrement « partir au frais » en région parisienne où il a grandi dans un milieu privilégié. A l’image de ses parents issus de professions libérales, l’aîné de la fratrie refuse que l’argent soit un problème. « Dans dix ans, je me vois encaisser un salaire à six chiffres », fantasme celui qui investit en Bourse sur son temps libre. Son avenir économique semble déjà tracé, reste à savoir où il continuera sa carrière. « En 2023, je pensais partir, car la boîte avait connu une grande vague de licenciements. Mais c’est compliqué de renoncer à cette flexibilité totale ! », répond-il presque embêté. 
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-Lire aussi (2023) | Article réservé à nos abonnés Au travail, les jeunes diplômés demandent plus de flexibilité et un vrai engagement écologique 
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-Pour Elie, 33 ans, pas question non plus de quitter son entreprise de tech américaine dont il souhaite taire le nom. « Je m’y vois encore dans dix ans ! », assume ce diplômé de l’Insead, promotion 2020, exilé à Dubaï. Après avoir fait ses armes dans une société de conseil, le trentenaire ne se voyait plus trimer soixante-dix heures par semaine. « Dans la tech, je suis passé à quarante heures par semaine. Ça me laisse le temps de voir ma famille », affirme ce père d’une petite fille. Non seulement son salaire ne bouge pas, mais son employeur s’implique dans sa vie privée : abonnement à la salle de gym, billets d’avion offerts deux fois par an… Et même une aide à des traitements de fertilité. 
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-Les avantages sur son compte en banque sont tout aussi intéressants. A commencer par les stock-options. « C’est l’une des inventions financières du secteur de la tech : il y a le salaire, les bonus et aussi des options sur des actions de l’entreprise proposées au prix où elles se trouvaient au moment de l’arrivée de l’employé », décrypte Olivier Alexandre. A cela s’ajoute un système de points qui récompense les bons résultats. « La dernière fois, ça m’a remboursé deux nuits d’hôtel à Londres lors d’un week-end en famille », s’extasie-t-il. 
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-Une culture de la performance 
-Sauf que cette philosophie du pay for performance rend l’enrichissement du salarié dépendant de celui de l’entreprise et réciproquement. De quoi accroître la pression. « Ça peut être stressant et les objectifs fixés me poussent à faire plus que ce qui est écrit sur le papier », observe Elie, sans pour autant se sentir piégé. Dans les boîtes de tech, les syndicats ou les organisations professionnelles n’existent pas. Personne donc pour dénoncer la culture de la performance dissimulée sous un vernis acidulé. Tout en se sentant « reconnaissant » envers HubSpot, Hugo avoue avoir également du mal à déconnecter : « Si j’arrête d’y penser, je ne gagne pas ma croûte (…). Cinq semaines de congés et ce sont des commissions que j’aurais en moins sur mon salaire. C’est surtout du business… » Autrement dit, Hugo regrette de ne pas cumuler ses bonus en vacances. 
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-D’autres se plaignent d’une marge décisionnelle trop restreinte. Chez Facebook, Coline, 29 ans, avait l’impression que tous les arbitrages se faisaient aux Etats-Unis. Sans elle. « Je n’arrivais pas à m’épanouir dans un rôle d’exécution », se remémore-t-elle. En septembre 2019, elle vient de quitter les bancs de l’EM Lyon et se voit proposer un poste de client solution manager payé 60 000 euros par an dans la boîte de ses rêves. « Je me sentais privilégiée de bosser pour eux », sourit-elle. 
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-A cette période, Coline est l’une des mieux payées de son groupe d’amis et préfère vivre chez ses parents pour épargner 1 500 euros par mois. « J’aurais dû investir dans l’immobilier, c’était une bêtise », soupire-t-elle en riant. Avec nostalgie, la Parisienne se remémore ses collègues, la cantine gratuite « absolument délicieuse » et les pots de Häagen-Dazs en libre-service auxquels elle est accro : « C’était très agréable ! Si je restais longtemps, je savais que ça allait être dur de partir. » 
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-Trop aventurière pour s’enliser dans une routine confortable, elle claque la porte au bout de huit mois et se lance dans l’entrepreneuriat. Début 2024, la jeune femme ambitieuse cofonde la plateforme JOOC, premier outil d’intelligence artificielle répondant aux appels d’offres destinés aux architectes. Et Coline reconnaît que son passage chez Facebook a facilité la mise sur pied de son projet : « Cette ligne sur mon CV rendait mon profil intéressant et ça m’a donné pas mal d’aisance pour la suite. » 
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-Audrey Parmentier 
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