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-====== +++++ Le Monde : Article fallacieux : – Le personnel politique face à une défiance généralisée de l’électorat ====== https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/08/30/le-personnel-politique-face-a-une-defiance-generalisee-de-l-electorat_6299014_823448.html?lmd_medium=al&lmd_campaign=envoye-par-appli&lmd_creation=android&lmd_source=default 
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-https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/08/30/le-personnel-politique-face-a-une-defiance-generalisee-de-l-electorat_6299014_823448.html 
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-POLITIQUE 
-Le personnel politique face à une défiance généralisée de l’électorat 
-La crise de confiance touche les institutions comme les élus, et n’épargne surtout pas Emmanuel Macron, selon la dernière vague de l’enquête électorale Ipsos pour « Le Monde », la Fondation Jean Jaurès, le Cevipof et l’Institut Montaigne. 
-Par Rachel Garrat-Valcarcel 
-Par Rachel Garrat-Valcarcel 
-Par Rachel Garrat-Valcarcel 
-Aujourd’hui à 06h56, modifié à 07h20 
-Lecture 4 min Read in English 
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-La décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale, le 9 juin, au soir des élections européennes, compte peut-être parmi les plus incomprises et les plus impopulaires de la Ve République : 67 % des sondés, dans l’enquête électorale d’Ipsos pour Le Monde, la Fondation Jean Jaurès, le centre de recherches politiques de Sciences Po et l’Institut Montaigne, réalisée du 26 juillet au 1er août auprès d’un échantillon représentatif de 11 204 personnes, selon la méthode des quotas, considèrent qu’elle a des conséquences négatives pour la France. 
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-Dans une rare unanimité du panel, les sympathisants de tous les partis et ceux n’ayant aucune préférence partisane sont majoritairement, voire très majoritairement, sur cette ligne. A noter que 58 % des personnes sondées qui se réclament proches de la coalition présidentielle sont de cet avis. 
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-Dans un contexte de défiance généralisé envers le personnel politique (aucune personnalité n’obtient plus d’opinion favorable que d’opinion défavorable), la situation d’Emmanuel Macron est particulièrement mauvaise. Il est la deuxième personnalité politique (derrière Jean-Luc Mélenchon, très loin devant) au sujet de laquelle les sondés jugent le plus défavorablement l’action dans la période récente : 69 % la désapprouvent. Plus significatif encore : 51 % des sondés sont favorables à la démission du président de la République, dont 29 % très favorables. 
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-Lire aussi l’analyse 
-Enquête électorale : un front républicain efficace, mais illusoire 
-Avant d’en arriver là, une très large majorité du panel s’entend pour donner une place beaucoup moins importante à Emmanuel Macron dans la situation politique nouvelle qu’il a lui-même créée avec la dissolution de l’Assemblée nationale : 73 % estiment que le chef de l’Etat devrait s’en tenir à un rôle d’arbitre neutre qui facilitera les négociations entre les partis. Plus surprenant : même les sympathisants de la coalition présidentielle sont 63 % à réclamer qu’Emmanuel Macron se contente de ce rôle d’arbitre neutre. Alors que l’enquête a été réalisée pendant la première semaine des Jeux olympiques et de la « trêve » appelée de ses vœux par l’hôte de l’Elysée, la situation n’a pu que se détériorer depuis. 
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-« Vertigineux ! » 
-Face à un chef de l’Etat qui semble en partie démonétisé, le reste du personnel politique ne tire aucun profit. « La perception des responsables politiques est épouvantable, 85 % des jugements sont négatifs », note Brice Teinturier, le directeur général délégué d’Ipsos. L’Assemblée nationale ne s’en sort pas mieux. L’institution aurait pu passer pour une valeur refuge, il n’en est rien : 73 % des sondés ne font pas confiance à l’Hémicycle issu des élections anticipées des 30 juin et 7 juillet. 
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-Même à gauche, la confiance est à peine majoritaire : 59 % chez les sympathisants de La France insoumise (LFI), 50 % pour les sympathisants écologistes et déjà seulement 43 % pour les socialistes. « Il n’y a pas de gouvernement, pas de premier ministre, un président critiqué pour ce qu’il a fait – la dissolution – et ce qu’il n’a pas fait – nommer un premier ministre –, une Assemblée qui génère une défiance massive… C’est vertigineux ! », cingle Brice Teinturier. 
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-Lire aussi l’analyse 
-Enquête électorale : un front républicain efficace, mais illusoire 
-L’électorat de gauche se distingue sur plusieurs points dans cette dernière vague d’enquête électorale. On savait déjà depuis le soir du second tour que c’était le camp qui avait le plus participé au barrage républicain contre le Rassemblement national (RN). On sait désormais que c’est pour lui que le choix a été le moins difficile : pour 68 % des sondés électeurs du Nouveau Front populaire (NFP) qui ont dû voter Ensemble (la coalition présidentielle) contre le RN au second tour, le choix a été facile. C’est le cas de seulement 55 % des sondés qui ont voté Ensemble au premier tour et ont dû se reporter sur le NFP au second. Après le vote, les électeurs du NFP sont aussi ceux qui regrettent le moins leur décision : 63 % ne regrettent pas leur vote, contre 54 % des électeurs d’Ensemble. 
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-Dans l’ensemble, dans le panel, l’électorat de gauche est le seul à exprimer des sentiments positifs sur l’issue des élections législatives, à 66 %. Dont 37 % expriment du « soulagement » et 23 % de « l’espoir ». A l’inverse, 53 % des électeurs du panel qui ont voté pour la coalition Ensemble ont plutôt des sentiments négatifs, dont 30 % de la « déception » et 14 % de la « peur ». Les sentiments négatifs flambent à 86 % chez les électeurs du RN et de ses alliés, dont 48 % expriment de la « déception » et 30 % même de la « colère ». 
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-Chaque bloc rejeté par les autres 
-Le fait que la gauche soit éconduite la première dans la course de lenteur organisée par le président de la République pour la formation d’un nouveau gouvernement serait-il de nature à faire basculer l’électorat de gauche du côté des sentiments négatifs ? Cela peut-il soulager le reste de l’électorat, qui rejette le NFP ? Peut-être, mais comme chaque bloc est violemment rejeté par les deux autres, les sondés n’offrent guère plus de voie de passage. 
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-Un gouvernement de coalition du NFP n’est jugé souhaitable que par 47 % des sondés, une coalition d’Ensemble et du parti Les Républicains par 48 % et du RN et de ses alliés par 45 %. Mais surtout, dans chaque cas de figure, seuls les sympathisants de la coalition concernée y sont très largement favorables. Une alliance d’Ensemble avec le NFP, avec ou sans LFI, n’est pas plus populaire. 
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-Sur le principe, tout le monde semble prêt à une coalition, mais à condition que ce soit son propre camp qui l’emporte. A ce titre, le panel sondé par Ipsos, si défiant à l’égard des institutions et du personnel politique, ne semble finalement pas si éloigné d’eux. Les sondés en ont presque conscience : 65 % considèrent que le fait qu’il n’y ait pas de majorité absolue à l’Assemblée nationale est plutôt une mauvaise chose. C’est un complet retournement de situation par rapport à 2022 : dans l’enquête « Fractures françaises » d’Ipsos-Sopra Steria pour Le Monde, cette année-là, ils étaient 70 % à trouver qu’une majorité relative à l’Assemblée nationale était un bon système. 
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-Rachel Garrat-Valcarcel 
-NOS LECTEURS ONT LU ENSUITE 
-Enquête électorale : un front républicain efficace, mais illusoire 
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-« Quand Emmanuel Macron retourne l’obligation » 
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-Les six petits boulots étudiants les plus compatibles avec les études 
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-Emmanuel Macron vend des avions Rafale à la Serbie, en espérant faire rompre Belgrade avec Moscou 
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