25/12/2025/H21:02:00
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Après un premier vote annulé pour irrégularités, les députés ont élu Clémence Guetté et Nadège Abomangoli (LFI), Xavier Breton et Annie Genevard (Droite républicaine), Naïma Moutchou (Horizons) et Roland Lescure (Ensemble pour la république).
LIVE
CONTEXTE
(1)
Le point sur la situation vendredi après-midi
La députée macroniste Yaël Braun-Pivet a été réélue jeudi soir à la présidence de l’Assemblée nationale, à l’issue d’un scrutin incertain à trois tours, avec 220 voix. Elle a devancé de peu le candidat du Nouveau Front populaire, le communiste André Chassaigne (207), et plus largement le candidat du Rassemblement national, Sébastien Chenu (141 voix).
Les députés sont désormais appelés au vote dès 15 heures pour élire les 21 autres membres du bureau, faute d’accord entre les groupes vendredi matin. Ils voteront donc successivement à bulletin secret pour élire les six vice-présidents, trois questeurs et douze secrétaires. Un candidat requiert une majorité absolue au premier ou second tour pour être élu. Sinon un troisième et dernier tour est organisé, à la majorité relative. L’élection de l’ensemble du bureau pourrait durer jusque tard dans la nuit.
La bataille pour les postes-clés pose la question de la place du RN, le camp présidentiel étant divisé sur le sujet. Le groupe Ensemble pour la République, présidé par Gabriel Attal, a fait savoir qu’il ne comptait voter ni pour les candidats RN, ni pour ceux de LFI. Une position que ne partagent pas ses alliés du MoDem et d’Horizons, favorables à une répartition des postes proportionnelle au poids de chaque groupe. La gauche appelle, elle, à exclure les élus du parti d’extrême droite des postes-clés de la chambre.
La Droite républicaine a exigé jusqu’à sept postes auprès du camp présidentiel, en échange de son soutien à la réélection de Mme Braun-Pivet. Le groupe mené par Laurent Wauquiez souhaite obtenir une voire deux vice-présidences – la première étant fléchée pour Annie Genevard –, un poste prestigieux de questeur, deux de secrétaires et la présidence de la commission des finances, qui se jouera samedi, et pour laquelle pourrait concourir Véronique Louwagie.
Le Nouveau Front populaire a dénoncé la participation des dix-sept ministres démissionnaires lors du vote pour la présidence de l’Assemblée, alors qu’un flou juridique subsiste. La députée écologiste Sandrine Rousseau et l’« insoumis » Eric Coquerel ont souligné que la gauche « regarde les recours juridiques possibles ». « On ne peut pas être en même temps ministre et député », a appuyé Marine Tondelier. Le député d’extrême droite Jean-Philippe Tanguy a, lui, dit « comprendre que les forces de gauche » envisagent un recours, après ce vote « des ministres députés » qui « interroge ».
Tout le live
Privé de poste de vice-président de l’Assemblée nationale, le RN dénonce « un scandale démocratique »
Dans un message publié sur X, le RN dénonce « un scandale démocratique fruit d’accords passés entre la Macronie et Les Républicains et la volonté de l’extrême gauche d’empêcher une juste représentation de 11 millions de Français ».
Au premier tour, sur 568 votants, Sébastien Chenu avait obtenu 171 voix, Hélène Laporte 157 voix, la majorité absolue étant fixée à 279 voix. Lors du deuxième tour, sur 467 votants, Sébastien Chenu et Hélène Laporte ont obtenu respectivement 162 voix et 148 voix, la majorité absolue étant fixée à 216 voix.
La macronie, qui avait en 2022 concédé deux vice-présidences au RN, dans le souci d’une représentation équitable des groupes, a cette fois-ci fait le choix de s’entendre avec la droite pour permettre l’élection de Yaël Braun-Pivet. Les deux camps briguant au passage un nombre de postes disproportionnés par rapport à leurs poids à l’Assemblée.
Le risque, pour le camp présidentiel, est de se mettre à dos l’ensemble des oppositions, en échange d’une alliance avec LR loin de lui assurer une majorité absolue, l’ensemble pesant 213 députés (contre 289 nécessaires). Selon des sources concordantes, la droite demande également la commission des finances, qui se jouera samedi. Pour que ce poste revienne à la Droite républicaine, il faudra que la majorité sortante prenne part au vote, ce qui est contraire aux usages.
« L’urgence sociale nous oblige », écrit le Parti socialiste dans un communiqué appelant à un vote des députés avant le 23 juillet pour une candidature commune pour Matignon
Dans un communiqué, le parti à la rose a réitéré sa proposition d’un vote « solennel des députés des quatre groupes » pour désigner la candidature commune au poste de premier ministre et défend encore le choix de Laurence Tubiana, après avoir suggéré son nom avec les communistes et les écologistes.
« Laurence Tubiana, comme elle a pu l’exprimer hier, est une femme de gauche, dont le parcours, les refus de compromission, les compétences, les convictions et les valeurs sont connus », détaille le communiqué
« Pour sortir de toute forme de blocage, le Parti socialiste a proposé (…) que le choix de la candidate ou du candidat du Nouveau Front populaire au poste de premier ministre se fasse démocratiquement par un vote solennel des députés des quatre groupes », peut-on lire. Face à « l’urgence sociale », le parti appelle à ce que le vote des députés intervienne au plus tard mardi 23 juillet.
Bonjour Louis,
Après deux tours d’un scrutin émaillé d’irrégularités, les six vice-présidents de la chambre basse sont :
Naïma Moutchou (Horizons)
Clémence Guetté (La France insoumise-Nouveau Front populaire)
Nadège Abomangoli (La France insoumise-Nouveau Front populaire)
Xavier Breton (Droite républicaine)
Annie Genevard (Droite républicaine)
Roland Lescure (Ensemble pour la République)
Les quatre premiers ont été élus dès le premier tour, les deux derniers au deuxième tour.
Après le premier tour, entâché d’irrégularités, des députés ont pris la parole dans l’hémicycle lors d’un rappel au règlement
De nombreux députés se lèvent pour applaudir la prise de parole du député socialiste Jérôme Guedj, qui s’est exprimé sur les irrégularités au premier tour. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »
Le président du groupe Les Démocrates, Marc Fesneau. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »
La présidente du groupe La France insoumise-Nouveau Front populaire, Mathilde Panot. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »
Gérald Darmanin, député (Ensemble pour la République) et ministre de l’intérieur démissionnaire. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »
Le député (Droite républicaine) Ian Boucard. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »
La présidente du groupe Écologiste et social, Cyrielle Chatelain. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »
Bonjour Louise, et merci pour votre message !
En effet, on retrouve pour ces élections les mêmes règles que pour le scrutin de l’élection à la présidence de l’Assemblée, les députés votent donc à bulletin secret.
Naïma Moutchou : « Avec LFI, on ne serre pas la main au RN, mais on accepte volontiers ses voix »
Alors que les débats s’étaient tendus au sein de l’hémicycle à l’annonce des résultats, le ton est aussi donné sur les réseaux sociaux. Naïma Moutchou (Horizons), qui a été élue vice-présidente de l’Assemblée nationale dès le premier tour avec 338 voix – la majorité absolue nécessaire étant de 274 −, n’a pas mâché ses mots, sur X, au sujet de la présidente des « insoumis », Mathilde Panot.
« Avec LFI, on ne serre pas la main au RN, mais on accepte volontiers ses voix. Sinon joignez la parole aux actes : faites démissionner vos 2 VP fraîchement élues grâce à leurs voix ;) », écrit-elle, ajoutant : « Le Front républicain, c’est quand ça vous arrange. »
L’élection des questeurs va débuter à 21 h 30
Les députés vont commencer l’élection des trois questeurs à 21 h 30. Ils sont notamment chargés de la bonne tenue administrative et financière de l’Assemblée nationale.
Le résultat du deuxième tour pour les vice-présidences de l’Assemblée nationale
Pour le deuxième tour, il y avait 467 votants ; il y a eu 37 bulletins blancs ou nuls. Suffrages exprimés : 430, la majorité absolue étant de 216.
Roland Lescure (Ensemble pour la République) a obtenu 273 voix et est élu, tout comme Annie Genevard (Droite républicaine), élue avec 257 voix. Sébastien Chenu (Rassemblement national) a obtenu 162 voix et Hélène Laporte (RN) 148 voix : aucun candidat RN n’est élu. Autres suffrages : 2.
Bonjour Rémi,
Lors du premier tour de l’élection pour la vice-présidence, il y avait 568 votants, dont 11 bulletins blancs ou nul. Pour être élue dès le premier tour, il fallait donc la majorité absolue, fixée en l’occurrence à 279 voix. Quatre candidats se sont qualifiés dès le premier tour : Clémence Guetté (La France insoumise-Nouveau Front populaire), avec 337 voix ; Nadège Abomangoli (LFI-NFP), avec 327 voix ; Xavier Breton (Droite républicaine), avec 325 voix ; et Naïma Moutchou (Horizons), avec 338 voix
Les quatre autres candidats, dont la candidature a de nouveau été soumise au vote, étaient : Sébastien Chenu (RN), qui a obtenu 171 voix ; Annie Genevard (DR), 204 voix ; Hélène Laporte (RN), 157 voix ; et Roland Lescure (Ensemble pour la République), 204 voix.
Quatre candidats encore en lice pour deux postes de vice-présidents
Il reste donc deux postes de vice-présidents à pourvoir, avec quatre candidats en lice : Sébastien Chenu pour le Rassemblement national (RN), Hélène Laporte (RN), Roland Lescure (Ensemble pour la république) et Annie Genevard (Droite républicaine).
Ce second tour se déroule à la majorité absolue des suffrages exprimés. Si aucun des quatre députés n’obtient cette majorité absolue, un troisième tour sera organisé, à la majorité relative.
Clémence Guetté, élue vice-présidente de l’Assemblée nationale : « Nous n’avons jamais demandé une voix au RN »
Clémence Guetté, députée « insoumise » qui vient d’être élue vice-présidente de l’Assemblée nationale, a déclaré qu’à « la différence de la Macronie nous n’avons jamais demandé une voix au RN, et même nous avons été très clairs sur le fait que nous combattrons toujours sur le RN ». « Ceux qui ont pratiqué le “ni-ni” pendant l’élection, c’est la macronie », ajoute-t-elle.
« Nous aurions gagné au troisième tour sans aucune voix supplémentaire que celle du NFP », dit-elle assurant : « Jamais nous n’irons magouiller dans les couloirs nous adresser à l’extrême droite pour obtenir quoi que ce soit. »
« Le bureau ne peut pas prendre de décision légitime si l’ensemble des forces politiques ne sont pas représentées », assure Marine Le Pen
Il reste deux postes de vice-présidents à pourvoir, à l’issue du deuxième tour qui se déroule actuellement. Le Rassemblement national n’est pas assuré d’en décrocher un. Toutefois, pour Marine Le Pen, au vu des résultats des élections législatives et du nombre de députés RN élus, il faut que tous les « poids politiques » de cette Assemblée « se retrouvent au sein du bureau ».
Après l’élection des vice-présidents, il y aura aussi celle des questeurs. « Il y aura sur notre liste un questeur (Rassemblement national), un questeur (Socialiste [et apparentés]) et un questeur (Ensemble [pour la République]). Car je pense que le bureau ne peut pas prendre de décision légitime si l’ensemble des forces politiques ne sont pas représentées », assure-t-elle.
Pour Jean-Luc Mélenchon : « Le responsable de cette pagaille, c’est le président de la République »
Interrogé sur BFM-TV, en début de soirée, Jean-Luc Mélenchon commente le résultat de l’élection qui a vu Yaël Braun-Pivet réélue au perchoir : « Le président de la République avait dit qu’il fallait un changement des pratiques et des dirigeants ; ni les pratiques ni les dirigeants n’ont changé », estime-t-il.
Concernant les négociations actuelles pour trouver une candidature commune pour Matignon, il a déclaré que le parti socialiste « avait refusé » Huguette Bello et que les socialistes font, depuis le départ, « de l’obstruction ». Selon lui, Laurence Tubiana, qui est la candidate soutenue notamment par les socialistes mais aussi par les écologistes et les communistes, « est la mieux placée pour comprendre notre opposition à sa candidature ». Il met en avant la tribune, publiée dans Le Monde le 11 juillet – signée par Mme Tubiana –, appelant à « constituer une coalition avec le macronisme ». Or, lui, rappelle, que le souhait des « insoumis » est bel et bien d’appliquer le « programme du Nouveau Front populaire ».
Annulation d’un scrutin à l’Assemblée : Jérôme Guedj dénonce la « fraude »
Le député (Socialiste et apparenté) Jérôme Guedj a vivement dénoncé une « fraude », un « événement d’une brutalité démocratique absolument impensable » après l’annulation du premier tour du scrutin visant à élire les vice-présidents de l’Assemblée en raison de la présence d’un trop grand nombre d’enveloppes par rapport au nombre de votants.
« Honte à ceux qui ont pratiqué cette fraude dans notre hémicycle, honte à eux », a tonné le député, demandant qu’une « enquête approfondie soit mise en œuvre » et que les « modalités d’élection » soient améliorées.
Les échanges se tendent à l’Assemblée nationale après l’annonce des résultats
Quelques minutes après l’annonce des résultats, les échanges se sont tendus, alors que deux candidates « insoumises » ont été élues dès le premier tour au poste de vice-présidentes. Une élection qu’elles doivent notamment aux députés du RN, puisque le groupe RN à l’Assemblée avait appelé à soutenir les deux femmes. Un soutien qui ne passe pas pour certains élus.
Ian Boucard (Droite républicaine) a ainsi déclaré, à l’adresse des élus du RN : « En choisissant de faire élire deux vice-présidentes de LFI, vous avez fait le choix du chaos. » Avant d’ajouter, sous les applaudissements : « Au moins, les choses sont claires : voter Rassemblement national, c’est voter [La] France insoumise ! »
Gérald Darmanin (Ensemble pour la République), lui, a fait le choix de l’ironie : « Les LFI étant élus avec les voix du Rassemblement national, ils pourraient au moins leur serrer la main désormais », a-t-il commenté, en faisant ici référence aux refus de plusieurs députés « insoumis », la veille, de serrer la main de Flavien Termet (RN) lors du vote pour la présidence du perchoir.
La présidente du groupe La France insoumise-Nouveau Front populaire, Mathide Panot, a elle aussi pris la parole, en fustigeant les critiques, notamment de la part de la coalition présidentielle : « Vous n’avez, vous les macronistes, aucune leçon à donner à La France insoumise et au Nouveau Front populaire. C’est vous qui aviez voté en 2022 pour élire des vice-présidents [du Rassemblement national], et c’est vous qui avez voté la loi immigration avec les voix du RN. » « Si vous aviez accepté le cordon républicain, rien de tout cela ne se serait passé (…) Nous n’avons jamais mis de bulletin de vote pour l’extrême droite, nous n’en mettrons jamais. Regardez-vous dans une glace ! », a-t-elle scandé, alors que des députés se levaient pour l’applaudir.
Quatre vice-présidents dont deux LFI élus au premier tour
Le premier tour de l’élection pour la vice-présidence qui avait débuté plus tôt dans l’après-midi avait été annulé à cause d’irrégularités : dix enveloppes en trop avaient été décomptées. Les députés ont donc été contraints de revoter.
Les députées La France insoumise Clémence Guetté et Nadège Abomangoli ont été élues dès le premier tour. Les deux autres candidats élus sont Xavier Breton (Droite républicaine) et Naïma Moutchou (Horizons).
Il reste encore deux postes à se répartir entre les candidats restants.
Bonjour,
Comme dit précédemment, les scrutateurs sont tirés au sort par la présidente de l’Assemblée nationale. En revanche, la présidente du groupe La France insoumise-Nouveau Front populaire, Mathilde Panot, s’est en effet alarmée sur X qu’il n’y ait que des scrutateurs titulaires qui soient « macronistes ou RN ». « Nous demandons, comme dans toutes les élections, des délégués de tous les candidats pour le dépouillement ! », a-t-elle écrit.
Bonjour !
Les six scrutateurs titulaires, qui avaient été tirés au sort par la présidente de l’Assemblée nationale, étaient Didier Le Gac (Ensemble pour la République, EPR), Philippe Schreck (Rassemblement national, RN), Mikaele Seo (EPR), Alexandra Masson (RN), Michel Lauzzana (EPR) et Alexandra Martin (Droite républicaine, DR). Et les deux suppléants, Jiovanny William (Socialistes et apparentés) et Antoine Vermorel-Marques (DR).
Le RN reconnaît s’être trompé de prénom sur ses bulletins
Preuve de sa « transparence » et de son souci de la « démocratie », le Rassemblement national (RN) a rapidement annoncé les six noms que ses députés avaient glissés dans l’urne au premier tour de l’élection des vice-présidents. Problème : le bulletin imprimé par le groupe à ses parlementaires (et ceux d’Eric Ciotti) soutenait « Thierry » Breton et non « Xavier » Breton, confondant le commissaire européen avec l’élu LR, effectivement candidat.
« On a eu les noms [des candidats ] très tard. Une erreur de ce type, quand on fait ça dans l’urgence, ça arrive », justifie Renaud Labaye, secrétaire général du groupe RN. Le temps que son équipe réimprime les bulletins, sans faute, une quinzaine de ses députés avaient déjà voté avec l’erroné, invalidé, dans l’urne.
Dans les couloirs de l’Assemblée
Le député (Ensemble pour la République) Mathieu Lefèvre discute avec le député (Droite républicaine) Vincent Jeanbrun dans un couloir de la salle Casimir-Perier. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »
Les députés (Ecologiste et social) Hendrik Davi et François Ruffin discutent avec la députée (Gauche démocrate et républicaine) Elsa Faucillon, dans un couloir de la salle Casimir-Perier. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »
Les députés (Ensemble pour la République) Constance Le Grip et Mathieu Lefèvre discutent dans un couloir de la salle Casimir-Perier. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »
Les députés (Ecologiste et social) Sandra Regol, Clémentine Autain et Alexis Corbière discutent dans un couloir de la salle Casimir-Perier. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »
Le contexte
Live animé par Marie Pouzadoux et Minh Dréan
Image de couverture : La Présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, annonce l’annulation du premier tour de l’élection de la vice-présidence pour irrégularités. Paris, le 19 juillet 2024 JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »
Ont également animé ce live : Jacky Goldberg, Pierre Bouvier, Julien Lemaignen, Charlotte Herzog, Mossane Faye, Solène L’Hénoret et Marie Slavicek.
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