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| - | Aujourd’hui, | ||
| - | CHRONIQUE | ||
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| - | Sylvie Kauffmann | ||
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| - | Editorialiste au « Monde » | ||
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| - | Les réticences de l’administration Biden à s’engager plus avant pour permettre aux Ukrainiens de riposter à l’offensive russe font planer le doute sur la fiabilité des Etats-Unis parmi certains de leurs alliés, estime dans sa chronique Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde ». | ||
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| - | Publié hier à 04h00, modifié hier à 14h58 Temps deLecture 3 min. | ||
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| - | Article réservé aux abonnés | ||
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| - | L’expression a fait son chemin dans le discours des responsables occidentaux depuis le 24 février 2022 : | ||
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| - | Lire aussi | En direct, guerre en Ukraine : pour la Pologne, les Occidentaux devraient lever les restrictions à l’usage de leurs armes en Ukraine | ||
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| - | La question n’est pas que philosophique. Elle a des implications pratiques et stratégiques dont l’Ukraine ressent actuellement tout le poids. Lorsqu’une menace est réellement existentielle, | ||
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| - | Confrontés à la situation militaire la plus difficile depuis les premières semaines de l’invasion russe massive il y a un peu plus de deux ans, les Ukrainiens et leurs alliés les plus proches mesurent à quel point l’aide leur est actuellement comptée et en viennent à douter de la nature « existentielle » de la guerre russe pour les autres. | ||
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| - | Lire aussi | Article réservé à nos abonnés « Il faut procurer d’urgence à l’Ukraine les moyens de fermer le ciel ukrainien aux missiles russes » | ||
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| - | « C’est dur », a répondu sombrement, à propos de la situation sur le champ de bataille, Dmytro Kuleba, le ministre des affaires étrangères ukrainien, aux experts et responsables européens réunis à la conférence Lennart Meri à Tallinn, en Estonie, le 18 mai. « Mais envoyez-nous ce dont on a besoin. Lorsqu’on a ce qu’il nous faut, on progresse. Envoyez-nous des [missiles] Patriot, de l’artillerie et des munitions. Autorisez-nous à frapper des cibles militaires en Russie, et vous verrez la différence. » | ||
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| - | Discrédit croissant sur l’équipe de Biden | ||
| - | C’est l’une des grandes critiques adressées aux Etats-Unis en ce moment : pourquoi retenir le bras des Ukrainiens et les empêcher d’attaquer des cibles militaires de l’ennemi en territoire russe avec les armes à longue portée fournies à Kiev, alors que l’armée russe, elle, n’a aucun scrupule à cibler des civils et à détruire les infrastructures vitales pour la population ukrainienne ? | ||
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| - | Lire la tribune | Article réservé à nos abonnés Guerre en Ukraine : l’aide militaire américaine ne suffira pas à rééquilibrer le rapport de force en 2024 | ||
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| - | Mardi 28 mai, la Maison Blanche a tranché le débat au sein de l’administration Biden, où le secrétaire d’Etat, Tony Blinken, souhaiterait laisser les coudées franches aux Ukrainiens : | ||
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