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| - | ====== Sam Altman contraint de réagir après une fuite de documents sur le traitement des anciens salariés d’OpenAI ====== | ||
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| - | Sam Altman s’est fendu d’un message d’excuse sur X le 18 mai, notamment à destination des anciens employés d’OpenAI. La veille, le média américain Vox révélait, document à l’appui, l’extrême sévérité des conditions de départs de la société, rares même pour la Silicon Valley. Un nouvel article publié ce jour met en doute la sincérité du PDG. | ||
| - | OpenAI, pire (ex)employeur de l’année | ||
| - | Les derniers jours ont été compliqués pour OpenAI. Ilya Sutskever, co-fondateur de l’organisation, | ||
| - | Il est révélé que les employés souhaitant quitter l’entreprise doivent signer un accord de non-divulgation (NDA) et non-dénigrement très strict et à vie. Dans certains cas au moins, les concernés avaient 7 jours pour consulter et parapher la masse de documents juridiques. En cas de refus, ou même de demande de délai, les futurs ex-employés s’exposaient à être privés de leurs parts dans l’entreprise ou l’interdiction de les vendre. | ||
| - | Avec une valorisation estimée à quasi 100 milliards de dollars, ce sont des millions qui s’envolent. Il est classique dans la Silicon Valley que la rémunération classique dans une start-up soit doublée de paiement avec des actions de l’entreprise. Il n’est pas rare non plus que ces actions finissent par s’imposer comme le revenu principal des employés. Les clauses de non-divulgation sont aussi répandues. | ||
| - | Cependant, cette forme de chantage d’OpenAI sur les salariés serait beaucoup plus inhabituelle. Cela expliquerait le silence de beaucoup d’ex, interdit de révéler l’existence même des NDA. En tant qu’entreprise privée, non cotée en Bourse, OpenAI garde un certain contrôle sur les parts de ses employés. Ils n’ont pas la même liberté d’en disposer qu’avec des actions classiques. | ||
| - | Une repentance un peu tardive et une culture du secret aux ramifications préoccupantes | ||
| - | Sam Altman a fait amende honorable, reconnaissant l’existence de telles clauses que c’était une erreur et qu’elles n’auraient jamais servi, « c’est de ma faute et l’une des rares fois où j’ai été vraiment gêné de diriger OpenAI ; je ne savais pas que cela se produisait et j’aurais dû ». En interne, Jason Kwon, directeur de la stratégie, a admis qu’elles existaient depuis 2019 et a assumé « avoir commis une faute ». | ||
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| - | in regards to recent stuff about how openai handles equity: | ||
| - | we have never clawed back anyone’s vested equity, nor will we do that if people do not sign a separation agreement (or don’t agree to a non-disparagement agreement). vested equity is vested equity, full stop. | ||
| - | there was… | ||
| - | — Sam Altman (@sama) May 18, 2024 | ||
| - | Ces réactions ont entraîné la publication d’un second article de Vox, ce 23 mai. La journaliste derrière ces révélations, | ||
| - | Selon la journaliste, | ||
| - | Cette difficulté à la transparence et aux éventuelles récriminations interroge alors qu’OpenAI travaille sur une intelligence artificielle générale (AGI), supérieure à l’homme en tout point. Sam Altman est le premier à reconnaître que ces recherches et leurs contours posent de légitimes questions de sécurités majeures. Devant les inquiétudes de la communauté ou des élus, il plaide… la transparence. | ||
| - | Pour ses (ex)employés, | ||
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