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-====== [Le Monde – En Europe, le désarroi teinté de colère des territoires délaissés](  ====== 
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-[Le Monde – En Europe, le désarroi teinté de colère des territoires délaissés](https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/04/30/en-europe-le-desarroi-des-territoires-delaisses_6230675_3234.html?lmd_medium=al&lmd_campaign=envoye-par-appli&lmd_creation=android&lmd_source=default ) 
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-https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/04/30/en-europe-le-desarroi-des-territoires-delaisses_6230675_3234.html 
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-ÉCONOMIE 
-En Europe, le désarroi teinté de colère des territoires délaissés 
-« Les défis économiques d’une Europe fragilisée » (2/5). Si les économies des pays membres ont en moyenne convergé ces dernières années, les inégalités entre les régions peinent à se résorber. Certaines d’entre elles sombrent dans un marasme alimentant le vote de mécontentement. 
-Par Marie Charrel, Jean-Baptiste Chastand (Vienne, correspondant régional), Allan Kaval (Cosenza (Italie), envoyé spécial) et Sandrine Morel (Madrid, correspondante) 
-Par Marie Charrel, Jean-Baptiste Chastand (Vienne, correspondant régional), Allan Kaval (Cosenza (Italie), envoyé spécial) et Sandrine Morel (Madrid, correspondante) 
-Par Marie Charrel, Jean-Baptiste Chastand (Vienne, correspondant régional), Allan Kaval (Cosenza (Italie), envoyé spécial) et Sandrine Morel (Madrid, correspondante) 
-Hier à 04h45, modifié hier à 21h04 
-Lecture 8 min 
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-Angelos Vavlekis, un ingénieur civil qui a lancé un projet agricole près de Katapola (Grèce), sur l’île d’Amorgos, se promène dans les terres qu’il cultive, le 4 avril 2024. LOULOU D'AKI POUR « LE MONDE » 
-« En Calabre, on manque de tout, on est loin de tout », dit Teresa Rossi, 58 ans, dans un souffle d’amertume qui résume les fatigues du quotidien. En ce matin pluvieux d’avril, elle a gravi les rues du centre-ville déserté de Cosenza pour obtenir au diocèse l’aide de la Caritas, le Secours catholique italien. Mme Rossi fait partie des 240 000 Calabrais qui ne touchent plus le revenu de citoyenneté, une aide que le gouvernement de Giorgia Meloni a supprimée en 2023. Ayant perdu son emploi à mi-temps d’assistante pour personnes âgées, elle n’a plus de quoi payer ses factures, alors qu’elle héberge encore trois de ses enfants majeurs. Ceux-ci subsistent difficilement entre chômage et travail journalier au noir, deux des nombreux maux qui frappent la jeunesse calabraise. 
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-Dans la cuisine du diocèse, des volontaires préparent des repas pour une vingtaine de personnes. « Chez nous, les jeunes qui le peuvent s’en vont, regrette, amère, l’une d’entre elles, Mirella Spadafora, 69 ans. Il n’y a pas de travail, pas d’avenir. Un jour il n’y aura plus personne. » A la Caritas calabraise, on déplore, depuis la pandémie de Covid-19, l’apparition de « nouveaux pauvres » dans cette périphérie de l’Italie méridionale, déshéritée au regard des prospères et industrieuses régions de la plaine padane et de la Vénétie. Ici, 31 % de la population vit sous le seuil de pauvreté. Et en arrière-plan de ce sombre bilan se déploie le clientélisme et la présence tentaculaire de la ’Ndrangheta, cette mafia mondialisée qui conserve son ancrage dans une terre d’origine dont elle gangrène en profondeur la vie économique et politique. 
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-La tragédie calabraise raconte l’histoire, complexe et protéiforme, des terres délaissées européennes. Celle qui s’inscrit en creux de la grande convergence observée et célébrée entre les économies des Etats membres – notamment entre ceux de l’Ouest et les dix pays, essentiellement d’Europe centrale et orientale, qui ont rejoint l’Union européenne (UE) en mai 2004. « Le rattrapage de ces derniers a été très net », résume Pawel Tokarski, spécialiste de l’économie européenne à l’Institut allemand pour les affaires internationales et de sécurité, à Berlin. Leur produit intérieur brut (PIB) par habitant est en effet passé de 52 % à 80 % de la moyenne de l’UE, selon le neuvième rapport sur la cohésion de la Commission européenne, publié le 27 mars. Et même à 91 % en République tchèque et en Slovénie. 
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-« Phénomène d’hypermétropolisation » 
-Mais derrière ces grandes moyennes nationales, le détail des chiffres à l’échelle régionale offre un tableau bien différent. Celui d’une Europe où les capitales et métropoles captent une grande partie des richesses, au détriment des territoires périphériques et ruraux. 
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-En 2022, le PIB par habitant (en standard de pouvoir d’achat, après ajustement des écarts de niveaux de prix) caracolait ainsi à 73 400 euros à Prague, 67 800 euros à Copenhague, 69 500 euros à Bruxelles, 62 900 euros à Bucarest, 57 900 euros en Ile-de-France, loin devant la Lorraine (25 900 euros), la Calabre (20 300 euros), la Thessalie grecque (18 500 euros) ou le nord-est de la Roumanie (16 300 euros). « Cela illustre le phénomène d’hypermétropolisation à l’œuvre depuis vingt ans », observe Laurent Chalard, docteur en géographie et membre du centre de réflexion European Centre for International Affairs. 
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-Lire aussi 
-Vague de faillites d’entreprises à travers l’Europe 
-Pis : selon le rapport de la Commission, un tiers des régions européennes n’ont pas encore retrouvé leur niveau de richesse d’avant 2008 – en particulier en Grèce, où les politiques de rigueur ont été brutales. Et les inégalités régionales se sont creusées en France, en Belgique, au Danemark et en Suède, ces deux dernières décennies. 
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-Le Monde Jeux 
-Chaque jour de nouvelles grilles de mots croisés, Sudoku et mots trouvés. 
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-« On observe une grande convergence économique entre les pays, mais les mécanismes de rattrapage ne fonctionnent pas au niveau régional », résume Joaquim Oliveira Martins, conseiller au Centre d’études prospectives et d’informations internationales. Cela, en dépit des fonds européens, distribués notamment pour favoriser le rattrapage. « Ils ont contribué à limiter la très grande pauvreté, mais sans réduire vraiment les écarts régionaux au sein des pays », ajoute M. Chalard. 
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-Une aire de jeux à Eigalo, sur l’île d’Amorgos (Grèce), le 4 avril 2024. LOULOU D'AKI POUR « LE MONDE » 
-Il est vrai que certaines de ces inégalités ont des racines anciennes, très antérieures à la construction européenne. « Dans l’espace méditerranéen, la crise financière de 1870 a balayé les activités proto-industrielles et, par la suite, à part quelques poches industrielles comme la Catalogne, ces régions ont eu du mal à s’adapter », explique Guillaume Guidoni, cofondateur du cabinet d’analyse économique Gecodia. Dans le sud du Portugal et de l’Italie, en Grèce, les coûts structurels plus élevés (comme ceux du transport), liés à la périphérie géographique de ces pays, ont freiné le développement manufacturier. « De même, des traces de l’ancienne partition de la Pologne, au XVIIIe siècle, sont encore visibles », observe Pawel Tokarski. L’Ouest et le Sud-Ouest, qui étaient sous domination prusse et autrichienne, sont aujourd’hui plus développés industriellement que l’Est, qui était sous influence russe, ajoute-t-il. 
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-Déclin démographique 
-Si le projet européen avait pour ambition de limiter ces divergences, le mouvement néolibéral, qui a imprégné les politiques nationales comme bruxelloises dès les années 1980, a poussé les régions à se spécialiser selon leurs avantages comparatifs. « Ce qui a renforcé la concentration des industries sur la dorsale européenne courant des Pays-Bas au nord de l’Italie, en passant par l’Allemagne », résume David Cayla, économiste à l’université d’Angers. 
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-Les grandes villes se sont consacrées aux services à haute valeur ajoutée, attirant les diplômés et les capitaux. Le Sud s’est tourné vers le tourisme, pourvoyeur d’emplois peu qualifiés et précaires. Les régions les plus à l’est de l’Europe, frontalières de la Biélorussie ou de l’Ukraine, ont pour leur part décroché. « La guerre avec la Russie va accélérer encore leur déclin », observe M. Chalard. 
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-Lire aussi la chronique de Jézabel Couppey-Soubeyran 
-Jézabel Couppey-Soubeyran : « L’Europe pâtit de son union incomplète entre des Etats qui partagent l’euro, mais pas leur budget ni leur fiscalité » 
-D’autant que la fuite des cerveaux y est particulièrement vertigineuse, depuis la chute du bloc soviétique, en 1991, puis l’entrée dans l’UE. La liberté de déplacement propre à la citoyenneté européenne a poussé une partie considérable de la population active à émigrer vers l’Ouest. Roumanie, Bulgarie et Croatie ont ainsi connu un déclin démographique d’une ampleur inédite en temps de paix pendant la décennie 2010, supérieur à 10 % de la population. Toujours dépourvue d’autoroute ou de chemin de fer décent, la région de Vidin, en Bulgarie, détient le record parmi les Vingt-Sept, avec une chute de 26 % de la population entre les recensements de 2011 et 2021. La trop grande lenteur d’absorption des fonds européens n’a pas permis à ces zones de bénéficier d’infrastructures de transport correctes et d’attirer les usines. Certaines sont même plus isolées encore depuis leur adhésion. 
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-Lire aussi l’entretien 
-Enrico Letta sur l’économie de l’Europe : « C’est le décrochage du décrochage, on ne peut plus attendre » 
-Le déclin démographique est également préoccupant au Sud. Ainsi, en Italie, la Calabre se vide : sa population devrait passer de 1,84 million d’habitants, en 2023, à 1,04 million, en 2080, soit une perte de 40 %. Dans l’intérieur des terres, où se concentrent 80 % des communes, de nombreux villages et petits bourgs sont en voie avancée de désertification. 
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-Pour ceux qui restent – souvent les plus vieux –, l’accès aux soins est devenu une préoccupation majeure. « Nous devons parfois aider financièrement des personnes pour qu’elles aillent se faire soigner au nord », raconte le père Bruno, responsable de Caritas pour la Calabre. Dépourvue de personnel soignant, la région a fait venir, fin 2022, des médecins cubains habitués aux missions humanitaires à l’étranger. « Inviter des confrères étrangers est inutile, si on ne fait rien pour que les médecins calabrais n’aillent pas travailler ailleurs », critique Eugenio Corcioni, le président de l’ordre des médecins de Cosenza. 
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-« Trappe à développement » 
-L’Espagne intérieure, elle, est déjà un vaste désert : 90 % de la population vit sur 30 % du territoire, et à peine 5 % sur 54 % des terres. Certaines zones de Castille-La Manche, Aragon et Castille-et-Léon ont une densité si faible – moins de 8 habitants au kilomètre carré – qu’elles sont surnommées la « Laponie espagnole ». Selon un rapport de la Fondation des caisses d’épargne espagnole Funcas, publié en 2021, vingt-trois provinces ont perdu la moitié de leur poids démographique et économique en soixante-dix ans, passant de 34 % de la population du pays et 27 % du PIB à, respectivement, 18 % et 16 %. 
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-Lire aussi 
-« Les pays du sud de l’Europe prennent leur revanche économique » 
-Ce dépeuplement ne frappe pas seulement les régions les plus pauvres. Il concerne aussi des territoires moyens, peu denses, où la population est peu formée, plutôt âgée. Qui ont peu bénéficié des fonds européens, car non prioritaires. Et dont le dynamisme économique s’est effondré. « Certaines de ces zones sont tombées dans une trappe à développement, leur situation est préoccupante », détaille Andrés Rodriguez-Pose, professeur d’économie géographique à l’Ecole d’économie de Londres. 
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-« A cet égard, les nouvelles ne sont pas bonnes pour la France : seules deux régions ont un PIB par habitant supérieur à la moyenne européenne, l’Ile-de-France et Provence-Alpes-Côte d’Azur, et Mayotte est la région la plus pauvre de l’UE », s’inquiète Sébastien Bourdin, spécialiste de géographie économique à l’école de commerce EM Normandie. 
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-Lire aussi 
-Economie mondiale : « L’Europe s’appauvrit par rapport aux Etats-Unis » 
-Si, après-guerre, la délégation interministérielle à l’aménagement du territoire et à l’attractivité régionale s’efforçait de répartir les activités économiques dans les régions tricolores, nombre de petites villes et de ruralités enclavées ont souffert de la désindustrialisation dès les années 1980. « Les mesures d’austérité qui ont suivi la crise de 2008 ont été moins visibles en France qu’au Royaume-Uni, par exemple, mais elles se sont traduites par un retrait progressif de l’Etat de certaines localités », ajoute Max Rousseau, politiste et géographe, chargé de recherches au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement et au laboratoire Art-Dev du CNRS. 
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-« Vote de mécontentement » 
-A Saint-Etienne, Châlons-en-Champagne, Alençon ou Perpignan, les pertes d’emplois et d’habitants se sont accompagnées d’une paupérisation des centres-villes. « Ces espaces délaissés transcendent l’opposition urbain-rural », complète le géographe. Ils correspondent à certains quartiers populaires de banlieue autant qu’à des zones rurales reculées et à des villes petites ou moyennes. 
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-Des travailleurs journaliers dégustent une bière sur un banc surplombant la mer, à Eigalo (Grèce), sur l’île d’Amorgos, le 4 avril 2023. LOULOU D'AKI POUR « LE MONDE » 
-Les conditions de vie s’y dégradent. Les emplois s’évaporent, et les conséquences ne sont pas seulement sociales. Elles sont aussi politiques. « Partout, en Europe, on observe une corrélation entre le sentiment de déclin économique relatif de certaines régions et le vote de mécontentement », explique Andrés Rodriguez-Pose, auteur de plusieurs études sur le sujet. 
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-Un mécontentement sur lequel prospèrent le Rassemblement national en France et l’extrême droite de l’AfD en Allemagne. En Espagne, le malaise du monde rural a également été canalisé par Vox ; très implanté dans les fédérations de chasseurs, mais aussi parmi les agriculteurs, le parti d’extrême droite a profité de la colère face aux lois « animalistes » du gouvernement de gauche, aux politiques environnementales de Bruxelles et exalté l’Espagne rurale comme la gardienne des valeurs traditionnelles du royaume. 
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-Lire aussi 
-L’agriculture tient une place à part au sein de l’Union européenne 
-La crise agricole qui, en début d’année, a secoué les mondes paysans ibérique, français, belge ou polonais a semé un vent de panique à Bruxelles, où l’on redoute de voir les mouvements populistes capitaliser sur ces colères lors des élections européennes (du 6 au 9 juin). 
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-En réponse, les Vingt-Sept ont détricoté une large partie du volet vert de la politique agricole commune. L’UE s’efforce également d’orienter plus finement ses fonds de cohésion vers les régions en décrochage. « Les études montrent que, lorsqu’il est fléché vers les infrastructures sociales, comme les hôpitaux ou les écoles, l’argent européen contribue à réduire le vote antisystème », souligne Andrés Rodriguez-Pose. 
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-« Coûts du changement climatique » 
-Pas sûr que cela suffise. Car, dans les années à venir, le dérèglement du climat va creuser un peu plus encore les inégalités entre les territoires. « Il affecte plus lourdement les régions côtières, méditerranéennes et du sud-est de l’UE, où les coûts du changement climatique peuvent représenter plus de 1 % du PIB par an », s’alarme la Commission européenne dans son rapport sur la cohésion. 
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-Lire aussi 
-En Pologne, vingt ans après l’entrée réussie au sein de l’UE, le rapport à l’Europe a changé 
-Reste que la réponse ne peut venir uniquement de l’UE, dont les capacités budgétaires propres sont limitées. Les petites villes isolées dans les montagnes, les terres désindustrialisées, les campagnes désertées à cause du manque d’eau nécessitent des stratégies sur mesure que les Etats, qui ont abandonné les politiques d’aménagement des territoires, peinent à formuler. « En France, l’argent est saupoudré pour l’affichage politique, mais il manque une véritable pensée régionale susceptible de produire des résultats », regrette Max Rousseau. 
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-En Espagne, des habitants des terres délaissées, déterminés à ne pas baisser les bras, espèrent malgré tout se faire entendre à Madrid – et même à Bruxelles. Le 15 avril, la plate-forme España Vaciada (« Espagne vidée »), née quatre ans plus tôt pour dénoncer le manque de services publics dans les provinces du royaume, a annoncé se présenter aux éléctions du 9 juin. Avec une ambition : « Que les institutions européennes connaissent les besoins des gens qui vivent dans l’Espagne rurale et encourager des politiques communes visant à renverser le dépeuplement et corriger les inégalités. » 
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-Retrouvez tous nos articles de la série « Les défis économiques d’une Europe fragilisée » 
-Mis à jour hier à 16h36 
-Le défi de la réindustrialisation 
-En Europe, une si difficile réindustrialisation 
-La défense, nouvelle priorité industrielle de la prochaine Commission européenne 
-La réindustrialisation de la France, une route encore longue et semée d’embûches 
-Le défi des territoires délaissés 
-En Europe, le désarroi des territoires délaissés 
-L’agriculture tient toujours une place à part au sein de l’Union européenne 
-Marie Charrel, Jean-Baptiste Chastand (Vienne, correspondant régional), Allan Kaval (Cosenza (Italie), envoyé spécial) et Sandrine Morel (Madrid, correspondante) 
-NOS LECTEURS ONT LU ENSUITE 
-Au-dessus de la mer Baltique, le brouillage du GPS par la Russie s’épaissit 
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-Paris 2024 : Anne Hidalgo prépare son « grand plongeon » en juin dans la Seine 
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-Ophenya et ses « bgnyas » : pourquoi l’influenceuse est accusée de « dérives sectaires » 
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-« Monsieur Macron, nous vous demandons d’agir par tous les moyens pour faire lever la peine de mort du rappeur Toomaj Salehi prononcée par la République islamique d’Iran » 
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-Les mobilisations des étudiants pour un cessez-le-feu à Gaza se multiplient en France 
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-Bayern Munich-Real Madrid : les deux équipes au coude-à-coude à l’issue d’un match riche en buts 
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