Utilisateur non connecté
elsenews:spot-2024-02a:ia-paris [ElseNews]

Outils pour utilisateurs

Outils du site


elsenews:spot-2024-02a:ia-paris

Différences

Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.

Lien vers cette vue comparative

Les deux révisions précédentes Révision précédente
elsenews:spot-2024-02a:ia-paris [25/12/2025/H21:03:58]
216.73.216.167 supprimée
— (Version actuelle)
Ligne 1: Ligne 1:
-~~NOTOC~~ 
-@DATE@ 
  
- 
- 
----- 
-======  [Le Monde – Intelligence artificielle : à Paris, « il se passe quelque chose en ce moment »]( ====== 
- 
- 
-[Le Monde – Intelligence artificielle : à Paris, « il se passe quelque chose en ce moment »](https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/02/12/a-paris-la-scene-de-l-ia-est-en-effervescence_6216072_3234.html?lmd_medium=al&lmd_campaign=envoye-par-appli&lmd_creation=android&lmd_source=default ) 
- 
- 
-<hidden Article Complet (utilisateurs connectés)> 
-<ifauth @user> 
- 
-Vous pouvez partager un article en cliquant sur l’icône de partage en bas à droite de celui-ci. 
-La reproduction totale ou partielle d’un article, sans l’autorisation écrite et préalable du Monde, est strictement interdite. 
-Pour plus d’informations, consultez nos conditions générales de vente. 
-Pour toute demande d’autorisation, contactez syndication@lemonde.fr. 
-En tant qu’abonné, vous pouvez offrir jusqu’à cinq articles par mois à l’un de vos proches grâce à la fonctionnalité « Offrir un article ». 
- 
-https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/02/12/a-paris-la-scene-de-l-ia-est-en-effervescence_6216072_3234.html 
- 
- 
-NICOLAS KRIEF POUR « LE MONDE » 
-Intelligence artificielle : à Paris, « il se passe quelque chose en ce moment » 
-Par Alexandre Piquard 
-Par Alexandre Piquard 
-Par Alexandre Piquard 
-Aujourd’hui à 05h30, modifié à 09h55 
-Article réservé aux abonnés 
-Offrir 
-REPORTAGE Dans une atmosphère effervescente, une série de jeunes pousses françaises rêve de se tailler une place auprès des géants américains, dont sont souvent issus leurs fondateurs. 
-Lecture 8 min 
-Une start-up se démarre dans un garage en Californie… ou dans le jardin d’un hôtel particulier parisien du Marais qui appartint à Jacques Necker, ministre de Louis XVI, et vit naître sa fille, Mme de Staël. C’est au bord d’une pelouse bordée d’une fontaine et de hautes colonnes doriques que se trouvent les trois pièces de l’hôtel d’Hallwyll occupées par Kyutai, un nouveau centre de recherche en intelligence artificielle (IA). 
- 
-Lire aussi : 
-Xavier Niel, Rodolphe Saadé et l’ex-PDG de Google lancent un laboratoire d’intelligence artificielle 
-Arrivés mi-janvier, les six membres de l’équipe n’ont pas encore de chauffage mais déjà une kitchenette neuve. Sous l’imposante charpente de la pièce principale fraîchement repeinte en blanc, un silence studieux. Debout à son bureau, le directeur technique, Laurent Mazaré, fait face à deux écrans remplis de lignes de code multicolores. Il arbore un large sourire, une paire de Crocs verts aux pieds et un sweatshirt à capuche DeepMind, la renommée filiale d’IA de Google où il a travaillé. 
- 
-« C’est grisant de créer quelque chose de zéro. Kyutai est un objet nouveau. Et a tous les atouts pour devenir un acteur majeur de l’IA moderne », explique posément Patrick Pérez, le directeur général de ce laboratoire à but non lucratif, dont l’objet est de publier en accès libre open source des logiciels d’IA permettant de générer des textes, des images ou des sons, comme ceux de Google ou d’OpenAI, le créateur de ChatGPT. 
- 
- 
-La station F, l’incubateur de start-up de Xavier Niel, a accueilli la première conférence européenne sur l’IA. Ici, les scientifiques membres de Kyutai : de gauche à droite, Neil Zeghidour, Edouard Grave, Laurent Mazaré, Hervé Jégou, Patrick Pérez, directeur de Kyutai, et Alexandre Défossez, à Paris, le 17 novembre 2023. SERGE TENANI / HANS LUCAS 
-Les six trentenaires et quadras avouent tout de même avoir ressenti un peu de stress lors du lancement en grande pompe, le 17 novembre 2023 à l’incubateur Station F. Etaient présents les trois mécènes ayant alloué 300 millions d’euros au projet : Xavier Niel, patron de l’opérateur Iliad (également actionnaire à titre individuel du Monde, fondateur de Station F et propriétaire de l’hôtel d’Hallwyll, où Kyutai est hébergé gratuitement), Eric Schmidt, ex-PDG de Google, et Rodolphe Saadé, PDG de l’armateur CMA CGM. 
- 
-« Un enjeu de souveraineté » 
-En visioconférence est intervenu Jensen Huang, le puissant patron de Nvidia, dont les cartes graphiques équipent le « supercalculateur » de Scaleway (filiale d’Iliad) à Saint-Ouen-l’Aumône (Val-d’Oise), que Kuytai utilisera pour entraîner ses logiciels. Enfin, le président Emmanuel Macron a rappelé par vidéo que disposer de modèles d’IA français est « un enjeu de souveraineté technologique ». Depuis, Patrick Pérez s’efforce de trier les mille CV de candidatures reçus « du monde entier » par Kyutai, afin de recruter la trentaine de futurs salariés. 
- 
-Lire aussi : 
-Mistral AI, incarnation des espoirs français dans l’intelligence artificielle 
-« Il se passe quelque chose à Paris dans l’IA en ce moment », constate Julien Chaumond, cofondateur de la start-up Hugging Face. Un constat partagé par les médias américains TechCrunch ou Bloomberg. Que Mistral AI, fondée en avril 2023 par trois Français, soit déjà valorisée 1,86 milliard d’euros après avoir levé près de 500 millions d’euros, a frappé les esprits. De même que l’installation à Paris, après un tour de table de plus de 100 millions d’euros, de Poolside, créée par deux Américains sur le créneau de l’assistance à l’écriture de code informatique. Quant à Hugging Face, fondée en 2016, elle a de nouveau récolté 218 millions d’euros en août auprès d’investisseurs. Plate-forme de référence pour la publication de logiciels d’IA en open source, elle est valorisée 4,2 milliards d’euros. 
- 
- 
-A gauche, un développeur face à ses écrans d'ordinateur. A droite, une discussion dans un espace dédié. Dans les locaux d’Hugging Face, à Paris, le 6 février 2024. NICOLAS KRIEF POUR « LE MONDE » 
-Le moment rappelle un peu à M. Chaumond « l’effervescence » ressentie dans la Silicon Valley en 2007 pendant ses études à Stanford, où son voisin de parking arborait une plaque au nom de la start-up qu’il avait cofondée : YouTube. « A l’époque, en France, rêver d’entrepreneuriat dans la tech en sortie d’école, c’était non conventionnel. Aujourd’hui, on voit 12 000 projets à la minute », raconte ce polytechnicien. M. Chaumond est aujourd’hui installé dans un petit bureau qu’il loue près de chez lui, à Saint-Germain-en-Laye, « pratique pour télétravailler comme pour se rendre au bureau de Hugging Face à Paris ». 
- 
-Si le siège est aux Etats-Unis, 85 des 170 employés de la start-up créée par trois Français sont à Paris, installés sur un étage d’un bel immeuble de bureaux partagés à la façade d’acier Art déco, dans le Sentier. « Beaucoup télétravaillent ou adaptent leurs horaires à ceux de leurs collègues aux Etats-Unis, au Canada ou en Inde », explique Lysandre Debut. L’ingénieur de 27 ans va lui-même rejoindre en Corée du Sud trois membres de son équipe parisienne partis deux mois au Japon, « pour visiter ». Le boom de l’IA à Paris ? Lors de la soirée de Hugging Face en octobre à Station F, « on pensait être 200, on a fini à 2000 »… 
- 
-Dans ce petit monde, tous se connaissent. Pour évaluer les modèles qu’elle crée, Mistral utilise les outils de la start-up Giskard. M. Chaumond est, lui, investisseur – et « ami » – de Giskard, de PhotoRoom (édition de photos via l’IA) ou de Dust (assistants IA à usage interne pour les entreprises). Cette dernière a été cofondée par un ancien d’OpenAI et un ancien d’Alan, une start-up d’assurances qui héberge les 22 employés de Mistral, près du canal Saint-Martin, à Paris. Dust partage, quant à elle, le même immeuble que Nabla (assistants IA à usage médical). 
- 
- 
-A gauche, dans l’une des pièces vitrées destinées aux réunions physiques et à distance, ainsi qu’aux appels téléphoniques. A droite, sur l’un des écrans présents dans les locaux d’Hugging Face, à Paris, le 6 février 2024. NICOLAS KRIEF POUR « LE MONDE » 
-Des fleurons académiques 
-Beaucoup sont passés par les fleurons académiques français comme Polytechnique, l’Inria, l’Ecole normale supérieure (ENS) de Paris-Saclay… Et ont travaillé chez les géants du numérique. Neil Zeghidour, de Kuytai, est passé par l’ENS et Google DeepMind – comme l’un des trois cofondateurs de Mistral, Arthur Mensch – ainsi que par Meta – comme les deux autres, Guillaume Lample et Timothée Lacroix. A Kyutai, quatre chercheurs sont issus de Meta et deux de Google DeepMind. 
- 
-L’essor actuel de l’IA à Paris est en fait une deuxième vague : la capitale avait déjà attiré deux équipes d’une centaine de chercheurs chacune avec l’ouverture, en 2015, d’un laboratoire de Meta, puis, en 2018, de Google. A l’époque, certains regrettaient l’aspiration par les géants américains des cerveaux français, dont Yann Le Cun, un des parrains de l’IA moderne, chez Meta. 
- 
-Lire aussi la chronique : 
-Intelligence artificielle : le match perdu de l’université face au privé 
-Aujourd’hui, l’ambiance a changé car « l’écosystème français de l’IA croît », pense Paul Midy, député (Renaissance) de la circonscription du campus Paris-Saclay, croisé au lancement du centre de recherche en IA d’Artefact, une société française de services aux entreprises. « Nos étudiants sont moins attirés par les géants américains du numérique qu’il y a quatre ou cinq ans. Ils recherchent du sens dans ce qu’ils font », raconte Céline Hudelot, directrice à CentraleSupelec du Laboratoire mathématiques et informatique pour la complexité et les systèmes. 
- 
-Pourquoi certains quittent-ils un leader du numérique pour une petite structure française ? Après presque dix ans au labo d’IA de Meta, Antoine Bordes « avait fait un peu le tour ». Puis « la guerre en Ukraine » et « l’envie » de participer à renforcer l’Europe de la tech l’ont convaincu de rejoindre en 2023 la start-up d’IA de défense Helsing. « Pour un chercheur, une des plus grandes valeurs est de publier ses travaux, par exemple s’il invente un algorithme remarquable. Or, le rapport des géants du numérique à l’open source est fluctuant », explique de son côté M. Zeghidour, de Kuytai. OpenAI ou Google DeepMind publient en effet moins leurs travaux qu’avant (Meta continue de partager ses modèles). A Kyutai, Edouard Grave, passé par Meta et Apple, apprécie aussi la légèreté de ne plus faire partie d’équipes de centaines de chercheurs dans le monde, parfois en concurrence pour l’allocation des ressources. Mais tous saluent l’apport des grands groupes américains, quittés « en très bons termes ». 
- 
- 
-Le système d’occupation de l’espace dans l’entreprise est basé sur l’absence de bureau attitré, chacun s’installe où il le souhaite. Le logo de la société est omniprésent. NICOLAS KRIEF POUR « LE MONDE » 
-Un soutien politique ostensible 
-« Les départs de nos chercheurs ne sont pas un problème mais une fierté. Cela prouve que notre labo parisien a été un élément structurant d’un écosytème ouvert de l’IA en France », argumente Laurent Solly, le patron de Meta en France. Joëlle Barral, directrice de la recherche en IA chez Google DeepMind, se félicite aussi que son centre français ait « formé les entrepreneurs de demain, soutenu les start-up et contribué à l’émergence d’un écosystème florissant ». 
- 
-Lire aussi : 
-IA : Emmanuel Macron veut créer des concurrents français des modèles d’OpenAI ou Google 
-Les start-up françaises d’IA bénéficient de plus d’un soutien politique ostensible. Mistral, Dust ou Giskard ont accompagné Emmanuel Macron aux rencontres de Davos. Le président a matérialisé son appui par deux « plans IA » mais aussi par sa vive opposition à la réglementation, jugée trop lourde, des modèles de création de textes ou d’images dans le règlement européen AI Act. Au point de faire accuser de trop se faire le porte-voix du lobbying de Mistral et de son conseiller Cédric O, ex-secrétaire d’Etat au numérique. La position française a fait grincer des dents à Bruxelles et dans les milieux culturels, favorables à l’obligation de publier un résumé des images et textes utilisés pour l’entraînement des modèles (finalement conservée dans le texte). 
- 
-Lire aussi 
-Intelligence artificielle : la France accepte de valider l’AI Act après sept mois d’opposition 
-Les champions français de l’IA – souvent très masculins, au demeurant – risquent-ils d’abîmer leur image ? Leur conte de fées comporte en tout cas quelques défis. L’écosystème reste moins puissant que dans la « Cerebral Valley » californienne, forte des sièges d’OpenAI, Google ou Meta, ou à Londres, berceau de DeepMind. 
- 
-Lire aussi le reportage : 
-A San Francisco, les start-up de l’intelligence artificielle en plein essor dans la « Cerebral Valley » 
-Les start-up françaises devront de plus trouver leur modèle économique, souvent lié à l’accompagnement des entreprises. « Nos clients veulent déployer des IA de façon robuste, en sécurisant leurs données et avec un retour sur investissement », liste Laurent Daudet, fondateur de LightOn, spécialisée depuis 2020 dans les modèles de traitement du langage à usage professionnel. De plus, le domaine est convoité par les acteurs du conseil comme Capgemini. 
- 
-Lire la chronique 
-Intelligence artificielle : « La France est loin d’être la seule à penser qu’il s’agit d’un enjeu de souveraineté » 
-Le financement est aussi un enjeu. Comment rivaliser avec Google, Meta ou même OpenAI, doté de 800 chercheurs et plus de 10 milliards d’euros de capitaux ? Si on n’opère pas de service grand public comme ChatGPT, on n’a pas besoin de milliards, expliquait au sommet de l’IA à Londres M. Mensch. Le DG de Mistral prône la « frugalité » en capital et, comme Hugging Face, des modèles d’IA plus petits et moins coûteux en calcul. 
- 
-Avec Preligens, Renaud Allioux se targue, lui, d’avoir depuis 2016 bâti un leader de l’IA de défense avec « moins de 25 millions d’euros levés » et « un capital resté 100 % français ». Un gage de souveraineté adressé aux clients militaires de ses outils, capables de repérer, sur des images satellites, tout véhicule, dans un village malien ou un aéroport ukrainien. 
- 
- 
-Dans les locaux d’Hugging Face, à Paris, le 6 février 2024. NICOLAS KRIEF POUR « LE MONDE » 
-Des accords avec les géants du cloud 
-Les plus grosses levées de fonds des start-up d’IA parisiennes sont-elles menées par des fonds américains de la tech comme Sequoia Capital (parfois accompagnés d’investisseurs français, dont M. Saadé ou M. Niel, présent au capital de Mistral, Poolside, Nabla ou PhotoRoom). Hugging Face dit avoir approché des fonds français mais ils n’ont pas misé au début, puis ils ne pouvaient investir des montants aussi importants. Une faiblesse sur laquelle l’Elysée et Bercy se disent mobilisés. En attendant, les fondateurs de Mistral disent rester majoritaires au capital (« aux trois quarts européen ») et ceux de Hugging Face rester « décisionnaires ». En août, cette entreprise a aussi ouvert son capital à Google, Amazon, AMD, Intel, IBM ou Nvidia, mais ces derniers représentent la plupart des acteurs du cloud et des cartes graphiques, ce qui permet à sa plate-forme de rester « neutre », assure M. Chaumond. 
- 
-Lire aussi 
-Intelligence artificielle : mobilisation contre la domination annoncée des géants du numérique 
-Les start-up d’IA sont aussi souvent contraintes de nouer des accords avec les géants du cloud, à la fois leurs concurrents et partenaires : Mistral avec Google, Hugging Face avec Google et Amazon… Ces spécialistes des services en ligne aux entreprises fournissent aux jeunes pousses du calcul et distribuent leurs modèles. L’idéal, selon M. Chaumond, est de ne pas nouer d’accord « exclusif ». Comme celui d’OpenAI avec Microsoft, qui a investi plus de 10 milliards d’euros dans la start-up. Les autorités de concurrence européenne et américaine se penchent d’ailleurs sur ces relations entre géants et start-up dans l’IA. En novembre, c’est avec le soutien de Microsoft que le fondateur d’OpenAI, Sam Altman, a été réintégré, après avoir été débarqué par des employés l’accusant de trahir l’esprit de la structure créée en 2015 avec un but non lucratif. 
- 
-Lire aussi le récit : 
-OpenAI : aux sources de l’affaire Sam Altman 
-Hasard du calendrier, M. Pérez se rappelle que cette crise suivie dans le monde entier avait éclaté le soir même de la présentation de Kyutai… Les start-up et les labos parisiens pourraient-ils un jour avoir ce genre de problème de gouvernance ? Kyutai n’entend pas dévier de son approche non lucrative et open source, assure M. Pérez. Tout en relevant que le parallèle avec la maison mère de ChatGPT est « aussi de bon augure, car OpenAI a quand même réalisé des choses extraordinaires ». 
- 
-Alexandre Piquard 
-NOS LECTEURS ONT LU ENSUITE 
-Affaire Altern : en 1999, Estelle Hallyday contre « l’Internet libre » 
- 
-Hier à 11h59 
-Lubna Mahmoud Elian, 14 ans, Bilal Jadallah, 45 ans, Reem Nabhan, 3 ans : les visages du massacre dans la bande de Gaza 
- 
-Aujourd’hui à 05h18 
-En mettant en cause le principe de solidarité dans l’OTAN, Donald Trump choque les alliés des Etats-Unis 
- 
-Aujourd’hui à 05h30 
-Avant d’interviewer Poutine à Moscou, la saisissante halte canadienne de Tucker Carlson 
- 
-Aujourd’hui à 04h00 
-En Italie, en Grèce, en Espagne ou au Portugal, « le chômage baisse, car nous acceptons des salaires de misère et des CDD » 
- 
-Aujourd’hui à 04h00 
-L’école des enfants du ministre de l’éducation, nouvelle jauge de sa légitimité 
- 
-Aujourd’hui à 05h45 
-CONTRIBUTIONS 
-Bienvenue dans l’espace des contributions 
-Pour améliorer la qualité des échanges sous nos articles, ainsi que votre expérience de contribution, nous vous invitons à consulter nos règles d’utilisation. 
-Voir les contributions 
-</ifauth> 
-</hidden> 
× iphelper toolbox

you see this when javscript or css is not working correct

Untested
IP Address:
First usable:
Subnet:
Last usable:
CIDR:
Amount of usable:
Network address:
Reverse address:
Broadcast address:

elsenews/spot-2024-02a/ia-paris.1766693038.txt · Dernière modification: 25/12/2025/H21:03:58 de 216.73.216.167