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-[Le Monde – Derrière l’histoire des petits voleurs du Trocadéro, une affaire de traite d’êtres humains](https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2023/12/09/derriere-l-histoire-des-petits-voleurs-du-trocadero-une-affaire-de-traite-d-etres-humains_6204803_4500055.html?lmd_medium=al&lmd_campaign=envoye-par-appli&lmd_creation=android&lmd_source=default ) 
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-Derrière l’histoire des petits voleurs du Trocadéro, une affaire de traite d’êtres humains 
-Par Zineb Dryef 
-Par Zineb Dryef 
-Par Zineb Dryef 
-Aujourd’hui à 06h00 
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-REPORTAGE Le 14 décembre à Paris s’ouvrira le procès de six ressortissants algériens, accusés d’avoir gavé de psychotropes des dizaines de mineurs isolés marocains, pour mieux les contraindre ensuite à détrousser les passants au pied de la tour Eiffel. 
-Lecture 10 min 
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-MIKE MCQUADE POUR « M LE MAGAZINE DU MONDE », A PARTIR D’UNE PHOTO DE ROB WALLS / ALAMY STOCK PHOTO 
-C’était au printemps 2021. Comme surgies de nulle part, des bandes de jeunes garçons, décrits comme hyperviolents, semaient la pagaille au Trocadéro, détroussant touristes et passants, parfois sous la menace d’un couteau ou d’un tesson de bouteille. À l’époque, affolés par cette explosion de violence dans ce quartier touristique d’ordinaire agité mais sans être dangereux, pouvoirs publics et médias décrivaient les responsables, des adolescents marocains sans papiers, comme des délinquants polytoxicomanes livrés à eux-mêmes. Moins de trois ans plus tard, une autre version des faits se dessine : les enfants étaient incités à consommer des psychotropes par un groupe d’adultes qui les contraignaient ensuite à commettre des vols. 
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-Les 14, 15, 19 et 20 décembre, six ressortissants algériens accusés d’avoir initié des dizaines de mineurs à la drogue entre janvier 2021 et juin 2022 comparaîtront devant le tribunal correctionnel de Paris pour « traite d’êtres humains aggravée ». Ils sont également poursuivis, avec un septième accusé, pour « recel de vols » et pour « trafic de médicaments et de stupéfiants ». Parmi leurs victimes, aucune n’avait plus de 17 ans au moment des faits. Le plus jeune avait 8 ans. 
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-Il suffisait pour ces adultes de se pointer au pied de la tour Eiffel et de jeter un regard alentour pour trouver leurs proies : enfants bruns et maigres au visage amoché, joggings sales, sandales ou baskets trouées, et l’air hébété de ceux qui se retrouvent là où on leur avait promis que la vie serait belle et qui n’ont pas trouvé leur eldorado. « Quand je suis arrivé à la gare Montparnasse, tout ce que je connaissais c’était la tour Eiffel, alors j’ai demandé où était la tour Eiffel », a confié Mohammed aux enquêteurs. 
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-Lire aussi : 
-Au pied de la tour Eiffel, des jeunes migrants isolés à la dérive 
-Les migrants, un « vivier de main-d’œuvre » 
-Né à Tétouan, dans le nord du Maroc, en 2011, il a traversé la Méditerranée pour tenter sa chance à Paris. Il avait vu, comme ses copains, des vidéos sur YouTube dans lesquelles des Marocains de son âge s’inventent une vie de rêve à Paris ; ils y parlent de leurs consoles de jeux dernier cri et de leurs vêtements de marque, de leurs « voyages » en Europe et de leur grande liberté. Les enfants comme Mohammed ne sont pas orphelins : ils quittent leurs familles volontairement, et traversent illégalement les frontières et la Méditerranée. 
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-Arrivé en France à l’âge de 10 ans, Mohammed est tout de suite tombé entre les mains de petits délinquants qui se sont présentés comme des protecteurs. Ces hommes sont rassurants pour ces jeunes qui débarquent en Europe, sans repères : ils parlent arabe, ils proposent de les loger et de leur trouver un travail, ils les guident dans Paris. En réalité, ces adultes voient dans ces gamins un « large vivier de main-d’œuvre », selon les mots des enquêteurs. 
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-Lire aussi (2022) : 
-Mineurs isolés : une soixantaine d’associations tirent la sonnette d’alarme 
-Une main-d’œuvre qu’ils forment en leur apprenant à subtiliser téléphones et portefeuilles. Dans ce dossier, les accusés – âgés aujourd’hui de 23 à 39 ans – vivotaient grâce à des petits boulots dans la mécanique ou le bâtiment, et amélioraient leurs fins de mois en revendant les sacs à main, téléphones et bijoux volés par les enfants. Pour les ferrer, ils les gavaient de psychotropes. 
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-Né en 2009 à Fès, Bilal a raconté à la police qu’à son arrivée en France, un « grand » lui avait proposé un cachet en lui disant que ça allait lui faire du bien. Il en a pris un et, c’est vrai, cela l’a apaisé. Il en a repris un et encore un autre. Il avait 12 ans. Il est devenu accro en un rien de temps. En six mois, entre novembre 2021 et mai 2022, il a été interpellé douze fois pour des vols. Il ne garde pas beaucoup de souvenirs de ce qu’il a fait sous l’emprise de ces pilules. 
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-Cocktail Rivotril, Lyrica, alcool, shit 
-Voici ce qu’il a confié aux enquêteurs : « J’ai rencontré ces Algériens, ils m’ont dit : “Prends ça, tu verras, ça va te faire du bien, tu vas être heureux, tu te sentiras bien…”. Ils m’ont dit : “Ça va t’aider à voler et tu auras de l’argent”. J’ai pris un demi-comprimé de Rivotril et après j’ai continué, continué, continué et après, avec le temps, ils avaient même plus besoin de me dire de voler, je le faisais de moi-même pour mon propre compte (…) À la fin, je prenais quatre-cinq comprimés tous les jours, puis le Lyrica, et même de l’ecsta. Je buvais aussi beaucoup d’alcool et je fumais du shit. Lorsque vous prenez ces médicaments vous êtes obligés de voler, ça vous pousse à voler et même à être violent. » L’enfant n’a jamais été dupe : « Ils profitent de nous car nous sommes mineurs et nous ne pouvons pas aller en prison, alors ils nous demandent de voler. » 
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-Lire aussi : 
-Les gamines à la dérive de Barbès 
-Les effets conjugués des deux médicaments – des antiépileptiques aussi utilisés comme anxiolytiques –, le Lyrica, qu’ils appellent Saroukh (« la fusée »), et le Rivotril, dit El Hamra (« la Rouge », en référence à la couleur de la plaquette) ou « Madame courage », sont redoutablement efficaces : les gamins deviennent euphoriques et désinhibés. L’un d’eux raconte aux enquêteurs : « Quand je prends El Hamra, tout est bien, tout est calme, j’ai le sang-froid, si je vois un collier d’or, je le prends. » Un autre explique : « Ça me met au paradis. Que ce soit le Rivotril ou le Lyrica, ça m’apaise quand je suis énervé. Quand on en prend, on ne ressent rien. Même si quelqu’un me frappe, je ne sentirai rien, on se sent intouchable. » 
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-Les policiers ont établi que, dans un premier temps, les adultes initient « gratuitement » leurs « recrues » aux médicaments. Une fois la dépendance installée, ils exigent qu’elles commettent des larcins. « Pour voler, ils avaient besoin de se donner du courage en consommant, et pour pouvoir consommer, ils avaient besoin de voler », décrivent-ils. Une spirale folle, qui laisse les travailleurs sociaux démunis face à ces gamins dont la santé se dégrade à vue d’œil. « Cette forme d’exploitation est particulièrement lucrative pour ces adultes, observe la juge dans son ordonnance de renvoi, rendue le 10 novembre. Elle leur permet de faire courir le risque pénal sur les victimes exploitées, en leur faisant croire que leur minorité amoindrit le risque de poursuites. » 
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-En 2021, lorsque les policiers arrêtent un, puis deux, puis dix petits voleurs au Trocadéro, le profil de ces jeunes les intrigue. En majorité marocains, ils sont très abîmés et très sauvages. La présence autour d’eux d’adultes qui se présentent comme leurs protecteurs mais dont beaucoup sont « défavorablement connus » des services de police est étrange : ces mêmes individus sont aperçus près des foyers d’hébergement de ceux, peu nombreux, pris en charge par des associations, ou aux abords des hôpitaux où sont soignés ceux victimes d’overdose ou qui ont fait un malaise sur la voie publique. Les travailleurs sociaux le constatent : les « grands » donnent des consignes à ces jeunes, formulées sous forme de « conseils », pour les tenir éloignés des éducateurs qui tentent de les approcher. 
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-Enfants en errance 
-Les enquêteurs soupçonnent rapidement l’existence d’un réseau qui les exploite. Une enquête est ouverte le 17 mars 2022, pour des faits de traite d’êtres humains en bande organisée et recel de vols, par la sous-direction chargée de la lutte contre l’immigration irrégulière (SDLII). À la même période, saisie par un signalement de l’association Hors la rue, la brigade des mineurs se penche sur le sort de ces jeunes. L’un d’entre eux n’a que 9 ans, et il est régulièrement pris en train de voler. 
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-L’association, qui repère et accompagne les enfants et adolescents étrangers en danger, estime qu’entre 2021 et mai 2022, sur quatre-vingt-trois jeunes Marocains en errance à Paris, « 80 % étaient sous la coupe de majeurs ». Ce sont des enquêtes difficiles (d’autres sont en cours car les vols n’ont pas cessé) : les enfants ne parlent pas, ne dénoncent pas et se méfient des adultes, plus encore lorsqu’ils portent un uniforme. 
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-Lire aussi : 
-Des enquêtes ouvertes pour « traite d’êtres humains » après les vendanges en Champagne 
-Pour avancer, les enquêteurs surveillent le Trocadéro. Sur la large place et les jardins à proximité de la tour Eiffel, les Parisiens se mêlent aux touristes venus visiter le Palais de Chaillot ou l’Aquarium de Paris. Au milieu de cette foule, les adultes soupçonnés d’exploiter les mineurs non accompagnés vont et viennent dans un ballet parfaitement coordonné. Le parvis est « partagé » entre les joueurs de bonneteau roumains, les vendeurs à la sauvette, les dealeurs et les voleurs mineurs, le territoire de chaque groupe étant strictement délimité. Les escaliers centraux sont occupés par les petits détrousseurs que leurs exploiteurs surveillent, légèrement en retrait, depuis des bancs. 
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-Les grilles de la soufflerie de l’aquarium, où les mômes planquent leur butin, leur tiennent lieu de cache et de dortoir : certaines nuits, par petites grappes, ils dorment au-dessus de ce qu’ils appellent le « chauffage ». Après le retrait de ces grilles, ils prennent l’habitude de cacher les téléphones et bijoux volés dans des buissons. 
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-Le « clan des Algériens » 
-Les adultes, poursuivis par la justice, ont été vus désignant des proies aux mineurs. Ainsi, l’un d’entre eux, placé sous surveillance, a été observé chuchotant quelque chose à un enfant quelques secondes avant que ce dernier saute au cou d’une passante pour lui arracher son collier. 
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-Mohammed K., âgé de 10 ans au moment des faits, l’a confirmé lors de sa garde à vue du 5 mai 2022 : « Je ne vais pas vous mentir, quand j’étais au Trocadéro, on a rencontré deux hommes majeurs d’origine algérienne. Ils nous ont donné des médicaments et de l’alcool. Ensuite, ils nous ont dit d’aller voler sinon ils nous ont menacés de nous frapper. » Le 20 mai 2022, auditionné comme victime, il s’est montré plus réservé : « Ça s’est passé comme ça, mais j’ai fermé ce dossier, je ne veux plus en parler. » À la question de savoir si d’autres mineurs avaient agi sous la contrainte, il a répondu : « Oui, tout le monde. » 
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-Lire aussi : 
-Attentat à Paris : avant les Jeux olympiques, la sécurité en question 
-Cette surveillance a permis de repérer celui qui semblait être le chef de ce trafic : Sami, né en 1990 en Algérie, un petit délinquant vivant essentiellement de vols – téléphones, trottinettes, tablettes, vélos – et de deal, un peu de haschisch et des médicaments. Le surnom que lui donnaient les petits laisse peu de doutes quant à sa place dans la hiérarchie : « le Directeur ». 
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-Chacun, dans ce « clan des Algériens », semblait avoir un rôle bien défini. L’un des sept mis en cause a ainsi été identifié par les enquêteurs comme un guetteur. Payé par un Roumain joueur de bonneteau, il était chargé de prévenir celui-ci si la police débarquait. Un autre tenait le « rôle de conciliateur avec les vendeurs à la sauvette ». « Saddam », décrit comme une sorte de surveillant, avait pour mission d’assurer un climat de concorde entre les petits voleurs, les vendeurs à la sauvette et les joueurs de bonneteau. Un des adolescents, Ayem, le désigne aussi comme celui à qui ils doivent remettre les objets dérobés : « C’est lui qui ramenait la drogue. Par exemple, moi je donne le téléphone à ce monsieur et ce monsieur appelle un autre et lui demande combien il peut me donner de drogue. » 
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-Des victimes toujours menacées 
-Car les enfants ont parlé. « L’exploit du dossier, c’est d’avoir réussi à obtenir des déclarations des mineurs, souligne Céline Astolfe, l’avocate de l’association Hors la rue, qui s’est constituée partie civile lors de ce procès. Le travail exceptionnel accompli par l’association pour les approcher, conserver un lien, gagner leur confiance a permis d’obtenir ces déclarations qu’ils ont réitérées devant les enquêteurs. » 
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-Le recueil de cette parole est une première, rappelle Guillaume Lardanchet, président de Hors la rue qui, en coordination avec l’association Aurore, est missionnée par la Ville de Paris pour accompagner ces jeunes. Non seulement la juge d’instruction et les policiers de la SDLII sont parvenus à faire témoigner des mineurs isolés marocains, mais parmi les dix-sept victimes recensées, douze ont accepté de se porter partie civile et, ainsi, d’être reconnues comme victimes. C’est « sans précédent », insiste Guillaume Lardanchet. 
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-Interpellés le 13 juin 2022, les sept « exploiteurs » ont reconnu les vols et le deal, mais ils nient avoir fait travailler des enfants et nient encore plus vigoureusement leur avoir fourni des psychotropes. Un des adultes, confronté aux déclarations des mineurs, a menacé : « C’est entièrement faux. Je vais les monter en l’air quand je sors. » 
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-La menace est sérieuse. Les adolescents entendus par les enquêteurs ont tous dénoncé des violences physiques. Lorsqu’ils refusaient d’obéir, ils étaient battus. Hassan, 17 ans aujourd’hui, dit du « clan des Algériens » qu’ils sont « des personnes très méchantes ». Un enfant a raconté : « Il m’a jeté une bouteille dessus parce que les Algériens ne veulent pas que les jeunes Marocains gênent leurs ventes de produits stupéfiants. » 
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-Tentative de viol 
-Un autre a dénoncé une tentative de viol, alors qu’il était logé un soir dans un squat de Saint-Denis par l’un des membres du clan du Trocadéro. Ce dernier lui a demandé de se déshabiller avant de le menacer avec un couteau en disant : « Donne-moi ton pénis pour que je te viole. » L’enfant a sauté par la fenêtre. Pris en charge par les secours, il a été conduit à l’hôpital Delafontaine, à Saint-Denis. Un signalement a été fait au tribunal judiciaire de Bobigny. 
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-Céline Astolfe tient à faire entendre « dans l’enceinte judiciaire » les témoignages et les expertises des spécialistes qui suivent ces enfants, pour raconter les séquelles médicales et psychiatriques « très lourdes » de l’addiction et de cette vie dans la rue. Kamel, l’un des plus abîmés par son parcours, a été pris en charge dans des structures de pédopsychiatrie. À peine âgé de 13 ou 14 ans, il souffre de traumatismes majeurs. Les autres jeunes l’ont décrit comme « un pauvre petit » et ont raconté que des adultes ont fait fondre du plastique sur son corps. Comment s’en remettre, se ­stabiliser, s’insérer ? C’est la mission que se donnent les associations et les professionnels de la santé qui accompagnent ces jeunes lorsqu’ils parviennent à conserver un lien avec eux. 
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-Les mineurs identifiés comme victimes ou entendus par les enquêteurs ne seront pas présents au procès. L’un d’entre eux, né en 2005, est mort le 22 juillet 2022 à la suite d’une chute sur les voies du métro parisien. Certains sont en prison. D’autres sont partis à l’étranger, en Italie, en Allemagne ou en Belgique. Parfois, on a perdu leur trace. D’autres, « en voie d’insertion », ont trop peur de ces adultes pour témoigner contre eux en leur présence. « Leur voix sera entendue », assure Guillaume Lardanchet. Le président de Hors la rue salue le « travail de fond remarquable » des enquêteurs, qui permettra de changer de regard sur ces adolescents qui « commettent des délits, mais sont avant tout des victimes ». Qu’il faut protéger. 
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-Lire aussi : 
-La protection de l’enfance, sujet de conflit « récurrent » entre le gouvernement et les départements 
-Zineb Dryef 
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