Utilisateur non connecté
elsenews:spot-2023-12a:emploi-ia [ElseNews]

Outils pour utilisateurs

Outils du site


elsenews:spot-2023-12a:emploi-ia

Différences

Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.

Lien vers cette vue comparative

Prochaine révision
Révision précédente
elsenews:spot-2023-12a:emploi-ia [13/12/2023/H17:04:07]
127.0.0.1 modification externe
— (Version actuelle)
Ligne 1: Ligne 1:
-~~NOTOC~~ 
-@DATE@ 
  
- 
- 
----- 
- 
-====== [Le Monde – Avec l’intelligence artificielle, près d’un Français sur deux craint pour son emploi]( ====== 
- 
- 
-[Le Monde – Avec l’intelligence artificielle, près d’un Français sur deux craint pour son emploi](https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/12/13/prix-du-livre-d-economie-avec-l-intelligence-artificielle-pres-d-un-francais-sur-deux-craint-pour-son-emploi_6205546_3234.html?lmd_medium=al&lmd_campaign=envoye-par-appli&lmd_creation=android&lmd_source=default ) 
- 
-<hidden Article Complet (utilisateurs connectés)> 
-<ifauth @user> 
- 
-Vous pouvez partager un article en cliquant sur l’icône de partage en bas à droite de celui-ci. 
-La reproduction totale ou partielle d’un article, sans l’autorisation écrite et préalable du Monde, est strictement interdite. 
-Pour plus d’informations, consultez nos conditions générales de vente. 
-Pour toute demande d’autorisation, contactez syndication@lemonde.fr. 
-En tant qu’abonné, vous pouvez offrir jusqu’à cinq articles par mois à l’un de vos proches grâce à la fonctionnalité « Offrir un article ». 
- 
-https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/12/13/prix-du-livre-d-economie-avec-l-intelligence-artificielle-pres-d-un-francais-sur-deux-craint-pour-son-emploi_6205546_3234.html 
- 
-ÉCONOMIE 
-Avec l’intelligence artificielle, près d’un Français sur deux craint pour son emploi 
-Outre cette inquiétude, le niveau de l’inflation, le pouvoir d’achat et la santé restent en tête des préoccupations des Français, selon un sondage Ipsos effectué mercredi 13 décembre à l’occasion de l’attribution du Prix du livre d’économie, à Paris. 
-Par Philippe Escande 
-Par Philippe Escande 
-Par Philippe Escande 
-Aujourd’hui à 09h43, modifié à 15h12 
-Lecture 3 min 
-Article réservé aux abonnés 
-Offrir 
-Un portefeuille garni et une santé de fer, cela ne suffit pas au bonheur, mais c’est une obsession de tous les jours. Surtout au sortir de deux années de valse folle des étiquettes comme on n’en avait jamais connu depuis les années 1980. « Au sortir » ? Ce n’est pas certain. La hausse des prix est certes revenue globalement à des niveaux bien plus supportables – après avoir dépassé les 10 % en octobre 2022, l’inflation est revenue à 2,4 % dans la zone euro et à 3,4 % en France, en novembre. Mais le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, a beau assurer « l’inflation est vaincue, c’est un vrai succès économique », ce n’est pas tout à fait le sentiment des Français. 
- 
- 
-Selon le dernier sondage Ipsos, réalisé à l’occasion de la remise du Prix du livre d’économie mercredi 13 décembre à Bercy, une bonne majorité des personnes interrogées (60 %) estiment que la situation va encore se dégrader en 2024. Seul un tiers voit une amélioration sur front de l’inflation à l’horizon de 2024, ce qui est pourtant la prévision de la plupart des économistes et du gouvernement. Les consommateurs comprennent qu’au mieux la hausse pourrait s’arrêter, mais qu’ils ne reviendront pas à la situation antérieure. Ils actent une perte nette de leur pouvoir d’achat que les hausses de salaires ne compensent pas complètement. Pas étonnant, donc, qu’ils placent tout en haut de leurs préoccupations la question de l’inflation et de ses conséquences sur le porte-monnaie. 
- 
-« Cela témoigne d’un pessimisme massif qui traverse toute la population », explique Mathieu Gallard, directeur affaires publiques d’Ipsos et auteur de l’enquête. Ils rejoignent finalement la prudence affichée par les banques centrales, qui persistent à maintenir leurs taux d’intérêt à des niveaux au plus haut en dépit des premiers signes de retournement de la conjoncture. 
- 
-Clivage générationnel 
-Ce coup de sonde dans l’opinion, réalisé début décembre, a le mérite d’éclairer la hiérarchie des priorités des Français. Juste derrière le pouvoir d’achat, cité à près de 45 %, se trouve l’autre grande obsession depuis la crise liée au Covid-19 : la santé publique. Deux préoccupations qui transcendent les clivages partisans et qui ont toutes deux été engendrées par la crise sanitaire. L’avenir du système de santé est une préoccupation partagée de la même manière quelle que soit l’orientation politique. 
- 
-Lire la sélection : 
-Prix du livre d’économie : les trois ouvrages sélectionnés 
-Ces deux sujets, la hausse des prix et la santé, relèguent très loin derrière des thèmes autrefois plus populaires et qui, eux, restent éminemment clivés politiquement, qu’il s’agisse des inégalités, des salaires, des impôts, des retraites ou de la dette. Ce dernier point, par exemple, est un thème classique de la droite, qui le relie à celui de la dépense publique et de la fiscalité. Il n’arrive qu’en neuvième position au classement général et n’est pratiquement pas cité à gauche. La question de la dette et des déficits reste très secondaire aux yeux des Français. « Ce qui explique pourquoi le discours autour de la fin du “quoi qu’il en coûte” passe mal dans l’opinion », assure Mathieu Gallard. Reste une troisième catégorie de questions qui ne semblent presque plus être prioritaires, en dépit de leur importance politico-économique : le chômage, les services publics, les conditions de travail. Trois domaines qui sont cependant nettement plus cités par les plus jeunes. 
- 
- 
-Autre grand thème de clivage générationnel : l’immigration. Quand on demande aux Français s’ils sont favorables à la régularisation des travailleurs sans papiers qui occupent un emploi dans un secteur en pénurie de main-d’œuvre, comme la restauration, la santé ou le bâtiment, ils approuvent à près de 60 % une telle démarche. Et cette proportion passe à 76 % chez les 18-24 ans. 
- 
- 
-Climat anxiogène 
-En revanche, une majorité quasi identique, là encore à l’exception des jeunes, se prononce contre un recours à l’immigration pour occuper des emplois non pourvus en France. Cette question suit parfaitement le gradient politique de la gauche, qui estime à 60 % qu’il faut faire appel à l’immigration dans ce cas, proportion qui passe à 50 % pour les électeurs de la majorité présidentielle puis à 31 % chez les sympathisants Les Républicains (LR), et à 13 % seulement au Rassemblement national. Un grand écart politique encore constaté à l’occasion du rejet du projet de loi « immigration », lundi 11 décembre, à l’Assemblée nationale. Il est à noter cependant que 50 % des sympathisants LR sont favorables à la régularisation des travailleurs déjà en place, tandis que leurs députés y restent farouchement opposés. 
- 
- 
-Si l’emploi n’est plus la préoccupation majeure des Français, il pourrait bien le devenir à l’avenir, au vu de l’inquiétude toute nouvelle qui émerge autour de l’intelligence artificielle. Près d’un Français sur deux (45 %) estime qu’elle menace son propre emploi. Un chiffre qui dépasse largement les études les plus alarmistes des consultants dans ce domaine. Et, quand la question devient générale, les trois quarts des sondés confirment que l’intelligence artificielle va pénaliser l’emploi. Paradoxalement, ce sont les jeunes, pourtant plus à l’aise avec les technologies numériques, qui sont les plus inquiets dans ce domaine. 
- 
-Lire la tribune : 
-« Si l’intelligence artificielle générative présente des atouts pour les entreprises, il ne faut pas oublier qu’elle reste une boîte noire » 
-Un climat plutôt anxiogène qui pousse à demander des efforts plutôt aux habituelles poches profondes. Interrogés sur le financement de la transition énergétique, les sondés désignent tout de suite les grandes entreprises et les ménages aisés pour financer ce passage délicat. Les autres ont déjà assez payé avec l’inflation. 
- 
- 
-Philippe Escande 
-NOS LECTEURS ONT LU ENSUITE 
-Rennes : une collégienne menace une enseignante avec un couteau, le procureur ouvre une enquête 
- 
-Aujourd’hui à 14h19 
-Uniforme à l’école : comment l’expérimentation prend forme 
- 
-Aujourd’hui à 06h00 
-Paris 2024 : les télécoms sous haute tension 
- 
-Hier à 21h19 
-Amazon confronté à une déferlante de « faux livres » générés par intelligence artificielle 
- 
-Hier à 18h33 
-Quand l’Elysée dissuade une commission d’enquête parlementaire d’auditionner son conseiller sport 
- 
-Aujourd’hui à 13h27 
-Les Dumariolles : quand « Les Trois Mousquetaires » se fondent dans la culture Web 
- 
-Aujourd’hui à 06h00 
-CONTRIBUTIONS 
-Bienvenue dans l’espace des contributions 
-Pour améliorer la qualité des échanges sous nos articles, ainsi que votre expérience de contribution, nous vous invitons à consulter nos règles d’utilisation. 
-Voir les contributions 
-</ifauth> 
-</hidden> 
× iphelper toolbox

you see this when javscript or css is not working correct

Untested
IP Address:
First usable:
Subnet:
Last usable:
CIDR:
Amount of usable:
Network address:
Reverse address:
Broadcast address:

elsenews/spot-2023-12a/emploi-ia.1702483447.txt · Dernière modification: 13/12/2023/H17:04:07 de 127.0.0.1