Utilisateur non connecté
elsenews:spot-2023-11c:sam-altman-pompier-pyroman [ElseNews]

Outils pour utilisateurs

Outils du site


elsenews:spot-2023-11c:sam-altman-pompier-pyroman

Différences

Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.

Lien vers cette vue comparative

Les deux révisions précédentes Révision précédente
elsenews:spot-2023-11c:sam-altman-pompier-pyroman [26/12/2025/H08:19:37]
216.73.216.167 supprimée
— (Version actuelle)
Ligne 1: Ligne 1:
-~~NOTOC~~ 
-@DATE@ 
  
- 
- 
----- 
- 
- 
-====== [Le Monde – Sam Altman, pompier pyromane de l’intelligence artificielle]( ====== 
- 
-[Le Monde – Sam Altman, pompier pyromane de l’intelligence artificielle](https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/08/16/sam-altman-pompier-pyromane-de-l-intelligence-artificielle_6185599_3234.html?lmd_medium=al&lmd_campaign=envoye-par-appli&lmd_creation=android&lmd_source=default ) 
- 
-<hidden Article Complet (utilisateurs connectés)> 
-<ifauth @user> 
- 
-Vous pouvez partager un article en cliquant sur l’icône de partage en bas à droite de celui-ci. 
-La reproduction totale ou partielle d’un article, sans l’autorisation écrite et préalable du Monde, est strictement interdite. 
-Pour plus d’informations, consultez nos conditions générales de vente. 
-Pour toute demande d’autorisation, contactez syndication@lemonde.fr. 
-En tant qu’abonné, vous pouvez offrir jusqu’à cinq articles par mois à l’un de vos proches grâce à la fonctionnalité « Offrir un article ». 
- 
-https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/08/16/sam-altman-pompier-pyromane-de-l-intelligence-artificielle_6185599_3234.html 
- 
-ÉCONOMIE 
-Sam Altman, pompier pyromane de l’intelligence artificielle 
-Le cofondateur d’OpenAI, qui a créé le robot conversationnel ChatGPT, se présente comme le rempart face aux dangers de l’IA, à travers un autre projet appelé Worldcoin. 
-Par Vincent Fagot 
-Par Vincent Fagot 
-Par Vincent Fagot 
-Le 16 août 2023 à 21h00, modifié le 29 septembre 2023 à 10h23 
-Lecture 2 min Read in English 
-Article réservé aux abonnés 
-Offrir 
- 
-Sam Altman, à Sun Valley (en Idaho), le 10 juillet 2023. DREW ANGERER / GETTY IMAGES VIA AFP 
-Ce doit être le propre des géants de la Silicon Valley que de vouloir laisser leur trace dans l’histoire de l’humanité, de se croire une vocation messianique. Sam Altman ne déroge pas à cette règle. Cofondateur et dirigeant d’OpenAI, il est à la tête de la société qui a créé ChatGPT, ce logiciel d’intelligence artificielle capable d’accoucher de textes en langages naturels, selon les requêtes qui lui sont adressées. 
- 
-Lire aussi : 
-Intelligence artificielle : « Sam Altman, l’entrepreneur qui ravive le messianisme technologique » 
-Prisé par les étudiants, qui s’en servent pour écrire leurs rédactions, utilisé par des développeurs afin de réduire leur temps de travail, ChatGPT soulève néanmoins des inquiétudes. Vu son efficacité et sa capacité à gagner en précision, il menace de remplacer nombre d’humains dans leur profession. 
- 
-Et voilà qu’aujourd’hui, le même Sam Altman, 38 ans, natif de Chicago, passé brièvement par l’université Stanford (Californie), se présente comme le rempart face aux dangers de l’intelligence artificielle, à travers un autre projet − appelé Worldcoin −, dont il est bien difficile de comprendre l’objet principal. Il s’agit à la fois pour l’entreprise de lancer une nouvelle cryptomonnaie et, à terme, de pouvoir créer un revenu universel de base en vue de compenser l’impact des nouvelles technologies. 
- 
-Enquêtes 
-La nature même de la société est elle-même alambiquée : ici une entité vouée à ne pas dégager de profits, là une autre qui devra dégager du chiffre d’affaires. Mais ce n’est pas le plus problématique. Pour mener à bien son projet, Worldcoin a également conçu un produit, l’Orb, un objet cylindrique de la taille d’une boule de bowling, grâce auquel il est possible d’effectuer une capture de l’iris de toute personne souhaitant souscrire aux services de Worldcoin et qui doit garantir ainsi l’identité des détenteurs de cette nouvelle cryptomonnaie. Une forme de passeport numérique. 
- 
-Lire aussi : 
-Qu’est-ce que Worldcoin, ce cryptoactif suspendu au Kenya ? 
-Fruit d’un travail de trois ans, la société a officiellement lancé son activité le lundi 24 juillet, mais elle défraie déjà la chronique. Au Kenya, où elle a proposé d’adhérer à son programme moyennant une récompense d’environ 45 euros, des milliers de personnes se sont présentées pour faire scanner leur iris… avant que le gouvernement ne mette fin à l’opération, mercredi 2 août, en attendant de pouvoir établir « la légalité des activités [de Worldcoin], la sécurité et la protection des données collectées, ainsi que la manière dont les collecteurs ont l’intention d’utiliser les données ». 
- 
-D’autres autorités de contrôle se sont penchées sur les activités de Worldcoin. La Commission nationale de l’informatique et des libertés, en France, par exemple, s’est associée à ses homologues bavaroises, qui s’étaient déjà saisies de ce dossier. Des enquêtes sont aussi lancées au Royaume-Uni par l’Information Commissioner’s Office. Aux Etats-Unis, Worldcoin n’a tout simplement pas l’autorisation de proposer sa cryptomonnaie. 
- 
-La compagnie a néanmoins procédé à des captures d’iris dans trente-quatre pays et compte déjà plus de 2,2 millions d’utilisateurs, dont plus de 10 % acquis au cours de la semaine écoulée. Elle a particulièrement ciblé des pays en voie de développement, où ses compensations financières ont pu se révéler particulièrement attractives. 
- 
-Inébranlable 
-La société, qui a accumulé environ 250 millions de dollars (environ 230 millions d’euros) de fonds privés, a rodé ses arguments face à ces autorités qui lui reprochent de recueillir des données sensibles, bien plus précieuses qu’un mot de passe, même sophistiqué, étant donné qu’elles sont uniques. « Permettre de garantir qu’une personne est humaine, unique et vivante est un problème non résolu », estiment ses fondateurs. 
- 
-Pour Worldcoin, sa solution doit même permettre à ses usagers de ne pas se faire berner par des intelligences artificielles en ligne qui pourraient se faire passer pour des humains. L’entreprise peut en outre arguer que les solutions de capture d’iris ont déjà été utilisées par l’Inde et l’ONU en vue d’attester de l’identité des titulaires de leurs aides. Apple recourt également à des méthodes de reconnaissance faciale pour que les propriétaires de ses appareils puissent être authentifiés. 
- 
-Lire aussi : 
-Sam Altman, PDG d’OpenAI : « Il faut trouver le bon équilibre entre régulation et innovation » 
-Face aux critiques, Sam Altman se veut inébranlable : « Comme tout projet ambitieux, parfois ça marche, parfois ça ne marche pas, mais, sans de tels essais, il n’y a pas de progrès. Quelle que soit l’issue, nous apprécions particulièrement ceux qui nous détestent. Cela nous donne de l’énergie. » 
- 
-Vincent Fagot 
-NOS LECTEURS ONT LU ENSUITE 
-Ce que l’on sait de la mort d’Evgueni Prigojine, le patron du Groupe Wagner 
- 
-Le 24 août 2023 à 04h32 
-Pourquoi les reprises de chanson générées par intelligence artificielle posent-elles problème ? Comprendre en trois minutes 
- 
-Le 17 août 2023 à 06h00 
-La canicule en France : 17 départements resteront en vigilance rouge vendredi ; de violents orages sont attendus 
- 
-Le 24 août 2023 à 16h18 
-Un professeur de médecine mis en cause après des propos homophobes sur les réseaux sociaux 
- 
-Le 16 août 2023 à 17h55 
-Apple et le bouton de fin d’appel : pourquoi ces petits changements d’interface rendent fou 
- 
-Le 17 août 2023 à 12h03 
-« En 2080, quand les réfugiés climatiques européens sont refoulés systématiquement par leurs voisins... » 
- 
-Le 30 août 2023 à 09h00 
-CONTRIBUTIONS 
-Bienvenue dans l’espace des contributions 
-Pour améliorer la qualité des échanges sous nos articles, ainsi que votre expérience de contribution, nous vous invitons à consulter nos règles d’utilisation. 
-Voir les contributions 
-</ifauth> 
-</hidden> 
× iphelper toolbox

you see this when javscript or css is not working correct

Untested
IP Address:
First usable:
Subnet:
Last usable:
CIDR:
Amount of usable:
Network address:
Reverse address:
Broadcast address: