Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.
| Prochaine révision | Révision précédente | ||
|
elsenews:spot-2023-11b:darwin [17/11/2023/H10:56:56] 127.0.0.1 modification externe |
— (Version actuelle) | ||
|---|---|---|---|
| Ligne 1: | Ligne 1: | ||
| - | ~~NOTOC~~ | ||
| - | @DATE@ | ||
| - | |||
| - | |||
| - | ---- | ||
| - | |||
| - | ====== | ||
| - | |||
| - | |||
| - | La théorie de Darwin remise en cause par de récentes découvertes La théorie de Darwin remise en cause par de récentes découvertes | ||
| - | Les scientifiques poursuivent leurs recherches, mais à leur grande surprise la véritable histoire de la civilisation humaine est un processus cyclique continu, tout comme le métabolisme du corps humain : avec la désintégration des cellules anciennes, de nouvelles cellules naissent, se divisent, se désintègrent, | ||
| - | Depuis longtemps, la théorie de l’évolution de Darwin s’est imposée comme un principe général et comme la seule explication de l’origine et du processus d’évolution de l’homme. Cependant, Darwin lui-même espérait que les générations futures puissent trouver suffisamment de preuves pour appuyer sa théorie. | ||
| - | Ces dernières années, grâce au développement de la science et des technologies modernes, beaucoup de scientifiques et d’archéologues ont été surpris de constater que les récentes découvertes ne faisaient que remettre en cause cette théorie. Pour un scientifique avéré, lorsqu’une idée est fondamentalement opposée à des faits, on ne peut que croire aux faits. Alors pourquoi une théorie qui n’a pas été approuvée a pu aboutir à une doctrine enseignée dans quasiment toutes les écoles ? Pour en revenir à Darwin, ses hypothèses, | ||
| - | Sur l’origine des espèces, Jean-Baptiste de Lamark (1744 -1829) soutenait dans trois de ses oeuvres publiées successivement en 1801, 1809 et 1815 que « toutes les espèces, l’homme compris, descendent d’autres espèces ». | ||
| - | Sous son influence, et inspiré par les théories de Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon (1707 – 1788), le naturaliste anglais Charles Darwin (1809 – 1882), a avancé sa théorie de l’Evolution dans son ouvrage : « L’origine des espèces : Au moyen de la sélection naturelle ou la préservation des races favorisées dans la lutte pour la vie », publié en 1859, sur la base de ses observations portant sur l’élevage des animaux et plantes domestiques en Amérique du Nord. | ||
| - | Impressionné par diverses espèces d’êtres vivants, particulièrement certains pinsons qu’il avait observés chez les éleveurs dans les îles Galápagos, Darwin a supposé que la diversité de leurs becs était le résultat d’une adaptation à leur milieu naturel. Il supposait que dans la nature, c’est comme pour l’élevage, | ||
| - | Cet ouvrage est considéré comme le texte fondateur de la théorie de l’évolution et a beaucoup inspiré la communauté scientifique (biologie, philosophie, | ||
| - | Les lacunes de la théorie de Darwin | ||
| - | Pourtant, ses hypothèses ne reposaient sur aucune découverte archéologique ni expérience scientifiquement prouvée. Il a mentionné dans un chapitre, les difficultés de la théorie et ses lacunes telle que l’absence d’archives sur les fossiles : des organismes complexes d’êtres vivants qui ne peuvent pas être expliqués par la théorie du hasard. Il espérait que les futures générations trouveraient des preuves fossiles pour valider ses hypothèses. | ||
| - | À son époque, la génétique, | ||
| - | Si Charles Darwin avait connu les sciences d’aujourd’hui, | ||
| - | Avec les continuelles découvertes dans le domaine, l’archéologie et les derniers développements de la biologie moléculaire, | ||
| - | | ||
| - | Manque de preuves tangibles | ||
| - | La théorie de Darwin avance que l’évolution est la transformation du monde vivant au cours du temps, qui se manifeste par des changements graduels s’accumulant sur une longue période. Les résultats que les scientifiques observent à présent ne sont pas les mêmes. L’archéologie n’a jamais rien trouvé comme preuves tangibles pour expliquer comment on a évolué d’une espèce à l’autre et quel était l’état transitoire entre le singe et l’Homme. | ||
| - | Au contraire, les découvertes archéologiques du « Site fossilifère de Chengjiang » ont fortement attiré l’attention des médias internationaux et ont choqué les communautés archéologiques et biologiques. Le site fossilifère de Chengjiang contient des fossiles du début du Cambrien (il y a 550 millions d’années).[1] | ||
| - | L’explosion cambrienne (entre −541 et −530 millions d’années) désigne l’apparition soudaine de la plupart des grands embranchements actuels de métazoaires (animaux pluricellulaires) ainsi qu’une grande diversification des espèces animales, végétales et bactériennes. Certains auteurs n’hésitent pas à parler de « big bang zoologique au Cambrien », avec l’apparition en quelques dizaines de millions d’années de la quasi totalité des grands plans d’organisation connus actuellement (Annélides, | ||
| - | Selon des reportages de médias britanniques du 27 décembre 2010, des archéologues israéliens ont découvert dans une grotte des fossiles et d’autres restes de dents d’Homo Sapiens datant d’environ 400 000 ans, très similaires à ceux de l’homme moderne. Après les examens aux rayons X et à la tomographie, | ||
| - | Le biologiste américain Michael J. Behe a pris une série de mécanismes biochimiques de coagulation sanguine pour expliquer que des phénomènes de vie aussi compliqués et précis ne peuvent pas se produire par évolution. (Image : Pixabay.com) | ||
| - | La biochimique de la coagulation sanguine | ||
| - | Deuxièmement, | ||
| - | Une autre hypothèse de la théorie de Darwin repose sur l’évolution des espèces par les moyens de lutte, seul les mieux adaptés à leur environnement peuvent survivre. Pourtant, des recherches récentes démontrent que les individus non adaptés à l’environnement peuvent également survivre et cohabiter en harmonie avec des individus plus « forts ». Une étude publiée dans la revue Nature, menée par l’Université d’Exeter au Royaume-Uni, | ||
| - | Les tests de l’évolution bactérienne | ||
| - | Le professeur Robert Beardmore de l’Université d’Exeter au Royaume-Uni a déclaré: « Les microbiologistes ont testé ce principe en créant des environnements très simples en laboratoire pour voir ce qui se passe après des centaines de générations d’évolution bactérienne, | ||
| - | La biodiversité a également été testée lors d’expériences en éprouvettes, | ||
| - | Le professeur Laurence Hurst de l’Université de Bath a déclaré : « La clé de cette nouvelle compréhension est la prise de conscience que la quantité d’organismes énergétiques qui proviennent de leur nourriture dépend de la quantité de nourriture dont ils disposent. Si vous leur donnez suffisamment de nourriture, ils l’utilisent alors de manière inefficace. Lorsque nous combinons cela avec la notion que les organismes ayant différentes stratégies d’utilisation des aliments sont également affectés de différentes manières par des mutations génétiques, | ||
| - | Ils pensent que la raison en est que les bactéries qui n’ont relativement aucun avantage peuvent utiliser différentes stratégies d' | ||
| - | Le Dr David Lipson de l’Université d’État de San Diego a conclu que : « Des travaux antérieurs ont montré que des stratégies d’utilisation des aliments opposées pouvaient coexister dans des environnements complexes, mais c’est la première fois que cela a été démontré dans l’environnement le plus simple. Cela peut également conduire à la biodiversité ». | ||
| - | | ||
| - | Les civilisations préhistoriques | ||
| - | D’ailleurs, | ||
| - | Les scientifiques poursuivent leurs recherches, mais à leur grande surprise, certaines civilisations préhistoriques ont mis au point une technologie plus avancée que celle que nous avons aujourd’hui. Cela signifie que la véritable histoire de la civilisation humaine est un processus cyclique continu, tout comme le métabolisme du corps humain : avec la désintégration des cellules anciennes, de nouvelles cellules naissent, se divisent, se désintègrent, | ||
| - | Au cours des dernières décennies, les chercheurs ont découvert des vestiges de civilisations préhistoriques au fond des océans. Les techniques de construction qu’ils présentent ne peuvent être expliquées par notre histoire moderne, car elles sont trop anciennes. | ||
| - | Deux cents mètres sous la côte du Pérou, des colonnes en pierre sculptée et d’immenses bâtiments ont été découverts. Depuis 1968, d’immenses bâtiments en pierre ont été découverts dans les fonds sous-marins de l’archipel de Bimini, dans les Bahamas, notamment des rues, des quais, des murs effondrés et des portes. Étonnamment, | ||
| - | Dans cette capture d’écran d’une vidéo du Discovery Institute, les scientifiques expriment leur scepticisme quant à la théorie de l’évolution de Darwin. (Image : Capture d’écran / Discovery Institute) | ||
| - | Une dissidence scientifique contre le darwinisme | ||
| - | Au sein de la communauté scientifique, | ||
| - | Depuis 2001, la date de publication de la liste Une dissidence scientifique contre le darwinisme du Discovery Institute, organisme à but non lucratif basé à Seattle, des centaines de scientifiques ont courageusement ajouté leurs noms, mettant en doute le principe du Darwinisme : la sélection naturelle à travers la lutte et les preuves de cette théorie. | ||
| - | De nos jours, les émissions de télévision, | ||
| - | Soutenez notre média par un don ! Dès 1€ via Paypal ou carte bancaire. | ||
| - | |||
| - | https:// | ||
you see this when javscript or css is not working correct