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-====== [Le Monde – Le jeu d’équilibriste d’Emmanuel Macron, pris dans la tourmente de la guerre à Gaza]( ====== 
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-[Le Monde – Le jeu d’équilibriste d’Emmanuel Macron, pris dans la tourmente de la guerre à Gaza](https://www.lemonde.fr/politique/article/2023/11/04/le-jeu-d-equilibriste-d-emmanuel-macron-pris-dans-la-tourmente-de-la-guerre-a-gaza_6198163_823448.html?lmd_medium=al&lmd_campaign=envoye-par-appli&lmd_creation=android&lmd_source=default ) 
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-https://www.lemonde.fr/politique/article/2023/11/04/le-jeu-d-equilibriste-d-emmanuel-macron-pris-dans-la-tourmente-de-la-guerre-a-gaza_6198163_823448.html 
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-POLITIQUE 
-Le jeu d’équilibriste d’Emmanuel Macron, pris dans la tourmente de la guerre à Gaza 
-Le chef de l’Etat, présent sur le front des intempéries en Bretagne vendredi, doit surtout faire face au risque d’importation en France du conflit entre Israël et le Hamas. Il a annoncé la tenue d’une « conférence humanitaire » le 9 novembre. 
-Par Nathalie Segaunes 
-Par Nathalie Segaunes 
-Par Nathalie Segaunes 
-Aujourd’hui à 06h00, modifié à 13h05 
-Lecture 3 min Read in English 
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-Emmanuel Macron, en visite à Plougastel-Daoulas (Finistère), après le passage de la tempête Ciaran, le 3 novembre 2023. POOL / VIA REUTERS 
-Un président dans la tourmente. Tout juste de retour d’Ouzbékistan, vendredi 3 novembre, Emmanuel Macron s’est rendu dans le Finistère, durement touché par la tempête Ciaran, notamment sur les réseaux de transport et d’électricité. « On a un combat, qui est de rétablir au plus vite la vie normale », a-t-il déclaré à Plougastel-Daoulas, promettant l’état de catastrophe naturelle « partout où on pourra le faire ». Alors que deux personnes ont perdu la vie en France, il a aussi salué l’organisation des secours, qui « a permis de sauver beaucoup de vies ». 
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-Lire aussi : 
-Tempête Ciaran : Emmanuel Macron, en Bretagne, promet l’état de catastrophe naturelle et la calamité agricole 
-Emmanuel Macron a profité des micros tendus lors de ce déplacement pour annoncer la tenue d’une « conférence humanitaire » le 9 novembre, dans le cadre du Forum de Paris sur la paix. Les pays de l’Union européenne y seront invités, mais aussi ceux du Proche-Orient, le G20, plusieurs agences onusiennes et de grandes ONG. « L’idée est de faire le tour des grands donateurs et d’accélérer l’aide à Gaza », affirme le Quai d’Orsay. L’Elysée précise qu’il s’agira d’une réunion « opérationnelle » avec les principaux bailleurs. 
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-LA SUITE APRÈS CETTE PUBLICITÉ 
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-Dans un pays où cohabitent de nombreux musulmans et la première communauté juive d’Europe, les massacres du 7 octobre commis par le Hamas en Israël et la riposte de l’Etat hébreu ont réveillé la crainte de répercussions dramatiques. « Depuis quelques années déjà, les Français considèrent, beaucoup plus qu’auparavant, que l’international, ça les concerne, observe Frédéric Dabi, directeur général de l’institut de sondage IFOP. Mais, depuis l’attaque du Hamas, le niveau d’inquiétude est spectaculaire. » L’assassinat du professeur de lettres Dominique Bernard, le 13 octobre à Arras, par un jeune djihadiste aurait pu être « l’allumette sur un baril de poudre », note le sondeur. 
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-« Ce n’est pas du Churchill » 
-Prudent dans ce moment « apocalyptique », selon le mot de l’un de ses anciens conseillers, Emmanuel Macron s’en est tenu aux figures imposées. Dans un premier temps, le 12 octobre, une allocution télévisée pour demander aux Français de ne pas se diviser. Dans un second temps, une visite en Israël, puis en Jordanie et en Egypte, moins pour peser sur le plan diplomatique dans la région que pour envoyer un message intérieur : montrer qu’il s’occupe des otages français et qu’il s’efforce d’éviter le massacre des populations civiles dans la bande de Gaza. 
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-« Ce n’est pas du Churchill, observe l’ancien député socialiste Gilles Savary, mais une prise de position très tranchée en faveur d’Israël aurait risqué de mettre le feu aux poudres du côté musulman. Entre le risque du chaos intérieur et celui de la troisième guerre mondiale, Macron chemine sur les lisières. » N’avoir fâché, un mois après le début du conflit, ni la communauté musulmane ni la communauté juive est considéré comme une petite victoire dans l’entourage politique d’Emmanuel Macron, malgré la recrudescence inquiétante des actes antisémites. 
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-En se rendant en Israël, le 24 octobre, le président de la République a mis ses pas dans ceux de François Mitterrand, qui, en pleine guerre de Bosnie, en juin 1992, s’était rendu à Sarajevo. Et de Jacques Chirac, qui, une semaine après les attentats du 11-Septembre, avait survolé les tours fumantes du World Trade Center à New York. « La symbolique du geste est importante : avec ce déplacement, Emmanuel Macron incarne une sorte de continuité avec ses prédécesseurs et canalise l’émotion populaire », juge Frédéric Dabi. 
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-« Il n’y a pas eu, cette fois, d’hystérisation » 
-Le caractère tardif de ce voyage, intervenu plus de deux semaines après l’attaque du Hamas, et après le passage des principaux dirigeants occidentaux, a été beaucoup souligné. Il s’agissait, dans un tel moment, d’éviter l’emballement. Le souvenir du 6 août 2020, qui a vu Emmanuel Macron se précipiter à Beyrouth après une double explosion accidentelle sur le port deux jours plus tôt, pour apporter l’aide de la France mais aussi appeler les dirigeants libanais à un « changement profond », a incité à la retenue. Les efforts diplomatiques répétés et vains du président français après l’invasion de l’Ukraine par la Russie au printemps 2022 ont également servi de leçon. « Il n’y a pas eu, cette fois, d’hystérisation », souffle un fidèle. 
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-Lire aussi : 
-Gaza : la guerre jusqu’à quel prix ? 
-Subissant les événements depuis le 7 octobre, le chef de l’Etat a bousculé son programme afin de rester en première ligne, repoussant notamment la deuxième session des Rencontres de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) du 30 octobre au 17 novembre. La première ministre, Elisabeth Borne, a déroulé en revanche son agenda, enchaînant les recours à l’article 49.3 de la Constitution, à la tribune de l’Assemblée nationale, pour faire adopter des textes budgétaires sans vote, dans une atmosphère pesante et dans l’indifférence générale. Non sans manifester des signes de fatigue face aux débats tendus avec la partie gauche de l’Hémicycle. « A l’œil nu, on ne voit pas la différence entre un 49.3 et l’enfer », avait théorisé son ex-directeur de cabinet Aurélien Rousseau, aujourd’hui ministre de la santé. 
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-De leur côté, Gérald Darmanin et Gabriel Attal, chacun dans son registre, continuent de jouer leur propre partition depuis le début du conflit entre Israël et le Hamas, donnant le sentiment d’un exécutif désarticulé. Le ministre de l’intérieur a envoyé des signaux à l’électorat droitier, notamment en accusant le footballeur Karim Benzema de tweeter « de façon sélective » sur le conflit. Celui de l’éducation a marqué des points dans l’opinion en promettant de « sortir » les élèves radicalisés des établissements scolaires. 
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-Lire aussi : 
-Gabriel Attal veut « sortir des établissements » scolaires les élèves signalés pour radicalisation 
-Alors que tous deux ont en tête la prochaine élection présidentielle – Gabriel Attal sera dimanche soir l’invité de l’émission « Sept à huit » sur TF1 –, Emmanuel Macron a, pour la première fois, évoqué publiquement, jeudi, l’après-2027, confiant aux étudiants kazakhs de l’université d’Astana qu’il ferait probablement « quelque chose de complètement différent » de la politique après l’Elysée. Au risque de stimuler la concurrence entre les prétendants à sa succession, dans un moment difficile pour la communauté nationale. 
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-Nathalie Segaunes 
-NOS LECTEURS ONT LU ENSUITE 
-Dans la ville de Gaza encerclée par l’armée israélienne, un déluge de fer, de feu et de sang 
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-Aujourd’hui à 10h23 
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-Aujourd’hui à 10h00 
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