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-[Le Monde – Entre la France et le Maroc, des réseaux sur le déclin](https://www.lemonde.fr/afrique/article/2023/10/04/entre-la-france-et-le-maroc-des-reseaux-sur-le-declin_6192342_3212.html#xtor=AL-32280270-%5Bdefault%5D-%5Bandroid%5D ) 
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-====== Le Monde : MAROC FRANCE 2 : Entre la France et le Maroc, des réseaux sur le déclin (14/20) ====== 
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-https://www.lemonde.fr/afrique/article/2023/10/04/entre-la-france-et-le-maroc-des-reseaux-sur-le-declin_6192342_3212.html 
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-TITWANE 
-Entre la France et le Maroc, des réseaux sur le déclin 
-Par Frédéric Bobin 
-Par Frédéric Bobin 
-Par Frédéric Bobin 
-Aujourd’hui à 06h30 
-Article réservé aux abonnés 
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-RÉCIT « France-Maroc, les lésions dangereuses » (2/3). Même si le royaume chérifien continue de disposer de soutiens politiques et médiatiques dans l’Hexagone, les crispations des dernières années révèlent l’épuisement du lien particulier, tissé pendant des décennies, entre Paris et Rabat. 
-Lecture 9 min 
-« Le Maroc au cœur. » Dans la nuit tiède de l’automne parisien, les lettres de lumière ont scintillé, le 9 septembre, sur la façade de l’Institut du monde arabe. Une compassion incandescente sur les bords de la Seine. « Un élan d’affection » pour le « peuple ami » du Maroc, expliquait Jack Lang, le président de l’Institut, le lendemain du séisme qui a dévasté le Haut Atlas, à proximité de Marrakech. Jack Lang, comme bien d’autres, tels Bernard-Henri Lévy, Gad Elmaleh, Jamel Debbouze, Rachida Dati, Nicolas Sarkozy, Dominique de Villepin, Dominique Strauss-Kahn (DSK), Tahar Ben Jelloun, d’origine marocaine ou « amis du Maroc » – certains sont familiers des charmes de Marrakech –, ont témoigné avec émotion dans les médias leur solidarité aux Marocains en deuil. 
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-Ils ont surtout récusé toute polémique sur l’acheminement des secours ou sur la fin de non-recevoir opposée par Rabat à l’offre d’assistance de Paris. Surtout désamorcer les interrogations. Le paradoxe est saisissant. 
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-Au-delà d’une sympathie plus que naturelle dans le drame, le séisme du Haut Atlas a confirmé la permanence en France d’un véritable réseau politique, économique et culturel, bienveillant à l’égard du Maroc officiel : « Mohammed VI est un très grand dirigeant » (Nicolas Sarkozy, le 13 septembre, sur BFM-TV), « Mohammed VI a agi avec la célérité qui convenait » (Bernard Henri-Lévy, dans Le Point du 14 septembre). Pourtant, ce courant ne porte pas, ou ne porte plus, au sommet de l’Etat. 
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-Il a échoué à prévenir l’éclatement d’une gravissime crise entre les deux pays. Emmanuel Macron et le roi Mohammed VI ne se parlent plus que très rarement. La visite annoncée du locataire de l’Elysée au Maroc est reportée aux calendes grecques. Et, à Rabat, la presse proche du régime attaque quotidiennement le président français avec une rare virulence. 
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-Lire le reportage : 
-A Marrakech, les polémiques sur les aides agacent : « Franchement, les Français, vous nous prenez pour qui ? » 
-Le schisme politique entre les deux capitales, que le tremblement de terre a paradoxalement aggravé, révèle l’épuisement des stratégies d’influence jusque-là déployées par le royaume chérifien auprès de la classe politique et médiatique française. Un ressort s’est comme brisé. Il est bien loin le temps où Jacques Chirac couvait d’une sollicitude quasi familiale le jeune roi Mohammed VI, intronisé en juillet 1999. Avant de disparaître, son père, Hassan II, avait demandé à Chirac, qui l’avait toujours consulté sur les affaires du monde arabe, de veiller sur l’héritier du trône, a raconté Jean-Pierre Tuquoi, ex-journaliste au Monde, dans son ouvrage Majesté, je dois beaucoup à votre père. France-Maroc, une histoire de famille (Albin Michel, 2006). On était encore dans les chaleureuses connivences héritées de la « Françafrique ». 
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-Entrées dans le Tout-Paris 
-C’était aussi l’époque où le palais s’était converti à une communication offensive. Hassan II avait tiré les leçons de la crise née de la parution du brûlot d’un autre journaliste, Gilles Perrault, Notre ami le roi (Gallimard, 1990), enquête dévastatrice sur son régime répressif. Désireux de rénover ses relais à Paris au-delà d’affinités gaullistes très datées, Hassan II avait nommé au poste de conseiller économique André Azoulay, fils d’Essaouira ayant mené carrière à la tête de la communication de Paribas. Ce dernier lui ouvrit les portes de Publicis, qui devint « la société de communication patentée de la monarchie alaouite en France », rapporte Omar Brouksy dans La République de Sa Majesté. France-Maroc, liaisons dangereuses (Nouveau Monde, 2017). 
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-Mohammed VI héritera de ces nouvelles entrées dans le Tout-Paris, même si M. Azoulay sera progressivement mis de côté. Le cercle des « amis du Maroc » s’étoffe alors bien au-delà de la Chiraquie historique, rejointe désormais par les socialistes DSK, Jack Lang, Elisabeth Guigou, Hubert Védrine. Au cœur de la galaxie s’active un homme à l’efficace entregent, le peintre franco-marocain Mehdi Qotbi, nommé en 2011 par Mohammed VI président de la Fondation nationale des musées du royaume. « Le chantre du soft power culturel marocain », titre Jeune Afrique, qui lui consacre un portrait. 
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-L’avantage de cette relation très spéciale est que le Tout-Paris est aussi à Marrakech. La jet-set française y prend ses quartiers d’hiver dans des riads, au luxueux Hôtel La Mamounia ou au prestigieux Royal Mansour, propriété du roi, où Jack Lang est l’invité fréquent de Mohammed VI. Riche de huit festivals (film, rire, magie, danse, etc.), la Ville ocre est un lieu où l’on se presse. On y débat aussi des grandes affaires du monde. La cité a accueilli à quatre reprises les panels de la World Policy Conference, un petit Davos aux hautes ambitions lancé par Thierry de Montbrial, président de l’Institut français des relations internationales. 
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-Son partenaire local n’est autre que l’Office chérifien des phosphates (OCP), toute-puissante entreprise minière du Maroc dont l’influence tentaculaire en fait un véritable Etat dans l’Etat. L’OCP est, du reste, habitué à offrir son concours aux acteurs qui comptent dans l’opinion mondiale, comme l’illustrent sa participation aux Dialogues de l’Atlantique, toujours à Marrakech, en partenariat avec la German Marshall Fund, ou ses dons accordés à l’Atlantic Council, cercle de réflexion américain, et à la Fondation Clinton. 
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-Avec l’OCP et d’autres firmes de lobbying, le Maroc s’est mis au diapason des stratégies d’influence en vigueur dans les grandes capitales. Avec un objectif en ligne de mire : faire admettre son statut de puissance émergente, îlot de « stabilité » et d’« ouverture » dans une région chaotique et, en filigrane, la reconnaissance de sa souveraineté sur le Sahara occidental, promue cause sacrée de la diplomatie de Rabat. 
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-Lire aussi : 
-Le Sahara occidental, litige en souffrance entre Paris et Rabat 
-Il ne faut sans doute pas exagérer l’influence politique réelle du cercle des « amis du Maroc » en France. Il a surtout mis du liant et du clinquant à des intérêts d’Etat. Ces derniers ont longtemps convergé durant la guerre froide – le Maroc était un allié fidèle de l’Occident – puis, à partir de 2001, dans le combat partagé contre le terrorisme islamiste ; entente stratégique à laquelle il faut ajouter la francophonie et les grands contrats, comme le TGV Tanger-Casablanca. « La relation franco-marocaine est, en elle-même, tellement profonde qu’elle n’a pas besoin de lobbys », souligne Hubert Védrine, ancien ministre des affaires étrangères. Il n’empêche : ces réseaux avaient jadis joué un efficace rôle d’amortisseur de crise. Lors de la secousse provoquée par la publication de Notre ami le roi, en 1990, ou lors de la crise de 2014 – la suspension de la coopération judiciaire à l’initiative du Maroc après la convocation de son chef des services de renseignement par un juge parisien –, ils ont aidé à remettre la relation bilatérale sur les rails. 
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-« Insensibilité de l’Elysée » 
-Or leur impact est aujourd’hui déclinant. « Il est grand temps de revasculariser les réseaux d’amitiés franco-marocaines », s’impatiente un homme d’affaires de Rabat. Ils ont vieilli et leur crédit souffre parfois d’un sulfureux mélange des genres, où la politique croise trop le business. « Les lobbies français pro-Maroc sont fragiles car ils manquent de conviction, observe une source diplomatique. Ils sont trop liés à des arrangements financiers. » L’essoufflement de leur influence se fait d’autant plus sentir que la Macronie est culturellement étrangère à ces connivences héritées du passé. Génération de « technos » et de start-upeurs, elle ne goûte guère les affections franco-africaines. 
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-Lire aussi l’éditorial du « Monde » : 
-Entre la France et le Maroc, enrayer l’escalade de l’animosité 
-« Il y a une vraie insensibilité de l’Elysée vis-à-vis du Maroc », se lamente un ancien ambassadeur. « Sans doute la relativisation du lien entre la France et le Maroc était-elle inévitable, ajoute Hubert Védrine. Le Maroc est dans la mondialisation et n’a plus de raison de s’enfermer dans une relation exclusive avec la France. Mais cela a été mal géré. Ça s’est durci, précipité. Il n’y a plus de mécanismes dans les deux systèmes qui auraient permis de régler les inévitables différends en amont avant qu’ils ne dégénèrent. La relation doit redevenir la pépite qu’elle fut. » 
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-Plus grave : l’épuisement de l’aura du Maroc à Paris, qu’incarne cette fameuse « insensibilité » de M. Macron, a atteint par ricochets Bruxelles. Car la France avait toujours été un fidèle soutien de Rabat dans les instances européennes. Sa nouvelle tiédeur se fait désormais sentir. Le changement de climat a été illustré avec éclat par l’adoption d’une résolution au Parlement de Strasbourg, en janvier, dénonçant les atteintes à la liberté de la presse au Maroc. Le texte a été voté avec le soutien des eurodéputés macronistes, au premier rang desquels Stéphane Séjourné, secrétaire général de Renaissance, ce qui a déclenché la fureur de Rabat, où certains responsables y ont vu la main de « l’Etat profond français ». 
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-Près d’un mois plus tard, le Maroc se trouvait à nouveau épinglé dans une résolution du Parlement européen relative au « Qatargate » et au « Marocgate », ces soupçons de corruption d’eurodéputés par des émissaires marocains et qataris. 
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-Lire aussi : 
-Corruption au Parlement européen : un mystérieux espion marocain au cœur de l’enquête 
-Le vent avait déjà commencé à tourner pour Rabat en juillet 2021 avec les révélations du scandale « Pegasus », du nom de ce logiciel espion israélien grâce auquel les services marocains auraient sélectionné dix mille numéros de téléphone – au Maroc, en Algérie et en Europe – pour un potentiel piratage. 
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-Deux mois plus tôt, un conflit avait éclaté avec Madrid lorsque 8 000 migrants avaient franchi les hautes barrières de Ceuta, enclave espagnole située au nord du Maroc, sous l’œil complice de la police marocaine. L’incident était un message évident adressé à l’Espagne, que les Marocains voulaient faire plier sur le dossier du Sahara occidental. Le Parlement européen avait répliqué en appelant Rabat à faire cesser « sa pression » sur l’Espagne. 
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-Des lobbyistes sur la défensive 
-Toute cette séquence a ainsi projeté en Europe une image du Maroc très différente du cliché sympathique – stabilité politique, tolérance religieuse, décollage économique – qui avait cours jusqu’ici. On découvrait brutalement, ou on feignait de découvrir, sa part d’ombre : muselage de la presse, chantage migratoire sur un Etat voisin, espionnage et achat des loyautés. A Bruxelles et à Strasbourg, les cabinets de lobbying mandatés par Rabat, telle l’agence Acento Public Affairs, fondée par l’ancien ministre socialiste espagnol José Blanco, sont désormais sur la défensive. « Ils rasent les murs », note Ignacio Cembrero, journaliste au site d’information El Confidencial, spécialiste des affaires marocaines et critique du régime de Rabat. 
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-Les temps sont tout aussi rudes à Paris. L’affaire Rachid M’Barki, journaliste franco-marocain de BFM-TV licencié en février en raison de soupçons d’« ingérence » à la suite de la diffusion nocturne de sujets – notamment sur le Sahara occidental, qualifié de « Sahara marocain » – non validés par la rédaction en chef, a révélé les limites des tentatives d’infiltration dans les médias. 
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-Lire notre enquête : 
-Derrière les fausses infos de Rachid M’Barki sur BFM-TV, l’officine israélienne Team Jorge et un intermédiaire français 
-C’est peu dire que les stratégies d’influence du Maroc sont à la peine. A Rabat, on éprouve toutefois quelques difficultés à l’admettre. On préfère penser que l’écueil principal vient de M. Macron, et notamment de son pari d’une réconciliation avec l’Algérie, qui bloquerait toute évolution dans la position française sur le Sahara occidental. Aussi conviendrait-il d’attendre 2027 et de travailler d’ores et déjà à la relève. Le meilleur scénario serait la reconstitution du clivage droite-gauche, dont la disparition, en 2017, sous l’insaisissable Macronie, avait déstabilisé les canaux d’influence de Rabat en France. 
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-Dans cette perspective, les membres du parti Les Républicains (LR) sont très courtisés. Eric Ciotti, le président du mouvement, et Rachida Dati, maire (LR) du 7e arrondissement de Paris, ont proclamé la « marocanité » du Sahara occidental lors d’une visite à Rabat, en mai. A l’extrême droite, Thierry Mariani, député européen Rassemblement national, est un fidèle thuriféraire de la cause marocaine. La gauche, elle, n’est pas délaissée. Natif de Tanger, Jean-Luc Mélenchon, le patron de La France insoumise, doit se rendre au Maroc mercredi 4 octobre. Se prononcera-t-il sur le Sahara occidental ? 
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-Simultanément, les autorités de Rabat s’intéressent de très près aux élus locaux d’origine marocaine. Derrière la bannière de la « coopération décentralisée », le Cercle Eugène Delacroix, dont le président, Salah Bourdi, est conseiller municipal d’Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), est l’une de ces passerelles avec le royaume. Le préalable de toute adhésion, précise M. Bourdi, est la reconnaissance de « la monarchie » au Maroc ainsi que celle de la « marocanité » du Sahara occidental. La date de la création du cercle – au plus fort de la crise de 2014 autour de la suspension de la coopération judiciaire – n’est probablement pas fortuite. L’ambassade du Maroc à Paris y a été associée. Il s’agissait, à l’évidence, de structurer de nouveaux relais. 
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-« Tant d’espérances déçues » 
-Le site de l’association affirme d’ailleurs le « rôle essentiel » de la « diplomatie parallèle » au-delà des « canaux diplomatiques traditionnels ». « Je transmets des messages entre les deux ambassades », confie Salah Bourdi. Avec son effectif de 200 membres, le cercle ne dispose toutefois que d’une influence limitée. « C’est le profil type des candidats de la diversité très localisés en région parisienne et qui font un peu les rabatteurs de voix des quartiers, au risque de s’exposer au soupçon de communautarisme », relativise un connaisseur de la scène franco-marocaine. 
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-Lire aussi : 
-Les liens économiques entre la France et le Maroc, victimes collatérales des tensions diplomatiques 
-La remise en ordre de bataille des « messagers », si tant est qu’elle finisse par se produire, laisse toutefois entière la question du contenu du message. Au-delà de l’ode à l’amitié franco-marocaine, quelle image projeter du Maroc en France ? 
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-« A la fin du règne de Hassan II, il y avait un vrai récit à défendre, c’était la réorientation du régime, rappelle Aboubakr Jamaï, professeur de relations internationales à l’American College of the Mediterranean (AMC) à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône). Au début de celui de Mohammed VI, il y avait aussi un récit, celui du Maroc qui changeait. Mais maintenant, c’est quoi ? Après tant d’espérances déçues, quelle dynamique veut-on vendre à l’opinion ? Il faut bien donner aux gens du grain à moudre. » 
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-Est-ce un hasard ? Le roi a annoncé, mardi 26 septembre, sa volonté de remettre sur le métier la Moudawana, le code de la famille, afin de combler les insuffisances en matière de droits des femmes dont souffrait la précédente réforme de 2004. Mohammed VI a enjoint au gouvernement de rendre sa copie dans les six mois. Les associations féministes applaudissent déjà. Belle image du Maroc que le retour à ce progressisme-là. Plus reluisante assurément que celle des coups tordus révélée depuis deux ans. 
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-Frédéric Bobin 
-NOS LECTEURS ONT LU ENSUITE 
-Entre la France et le Maroc, enrayer l’escalade de l’animosité 
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-Hier à 12h00 
-Jean-Luc Mélenchon en visite au Maroc pour « écouter et apprendre », pas pour « donner des leçons » 
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-Aujourd’hui à 14h00 
-La part d’ombre des affaires franco-marocaines 
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-Aujourd’hui à 10h00 
-Christiane Succab-Goldman, veuve de Pierre Goldman, rompt quarante-quatre ans de silence : « Mon mari a été un objet de fantasmes forcenés » 
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-Aujourd’hui à 05h29 
-Entre la France et le Maroc, des relations diplomatiques qui tournent à l’aigre 
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-Hier à 06h30 
-Le Sahara occidental, litige en souffrance entre Paris et Rabat 
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-Hier à 10h00 
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