Utilisateur non connecté
elsenews:spot-2023-10:echanges5maisons [ElseNews]

Outils pour utilisateurs

Outils du site


elsenews:spot-2023-10:echanges5maisons

Différences

Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.

Lien vers cette vue comparative

Les deux révisions précédentes Révision précédente
elsenews:spot-2023-10:echanges5maisons [25/12/2025/H19:10:12]
216.73.216.167 supprimée
— (Version actuelle)
Ligne 1: Ligne 1:
-~~NOTOC~~ 
-@DATE@ 
  
- 
----- 
- 
-====== Monde – L’échange de logement pendant les vacances, un concept économique dans l’air du temps ====== 
- 
- 
-[Le Monde – L’échange de logement pendant les vacances, un concept économique dans l’air du temps](https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/10/02/l-echange-de-logement-pendant-les-vacances-un-concept-economique-dans-l-air-du-temps_6191936_3234.html#xtor=AL-32280270-%5Bdefault%5D-%5Bandroid%5D ) 
- 
- 
-<hidden Article Complet (utilisateurs connectés)> 
-<ifauth @user> 
- 
-Vous pouvez partager un article en cliquant sur l’icône de partage en bas à droite de celui-ci. 
-La reproduction totale ou partielle d’un article, sans l’autorisation écrite et préalable du Monde, est strictement interdite. 
-Pour plus d’informations, consultez nos conditions générales de vente. 
-Pour toute demande d’autorisation, contactez syndication@lemonde.fr. 
-En tant qu’abonné, vous pouvez offrir jusqu’à cinq articles par mois à l’un de vos proches grâce à la fonctionnalité « Offrir un article ». 
- 
-https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/10/02/l-echange-de-logement-pendant-les-vacances-un-concept-economique-dans-l-air-du-temps_6191936_3234.html 
- 
-ÉCONOMIE 
-L’échange de logement pendant les vacances, un concept économique dans l’air du temps 
-Des plates-formes telles que HomeExchange et Intervac connaissent un nouvel engouement, ce qui permet, notamment, de contenir le budget voyage. 
-Par Marjorie Cessac 
-Par Marjorie Cessac 
-Par Marjorie Cessac 
-Hier à 06h00, modifié hier à 14h57 
-Lecture 3 min 
-Article réservé aux abonnés 
-Offrir 
- 
-A la sortie de l’aéroport international Austin-Bergstrom, à Austin, au Texas (Etats-Unis), le 26 mai 2023. BRANDON BELL / GETTY IMAGES VIA AFP 
-« Si vous voulez, je peux vous parrainer ? » Depuis qu’elle a découvert l’échange de logements pendant les vacances, Samia Fekih ne peut plus s’en passer. « Je suis devenue une sorte de gourou du concept », plaisante cette Parisienne, avant d’énumérer les destinations que sa famille a pu découvrir en l’espace d’un an et demi, rien qu’en prêtant leur 70 mètres carrés situé dans le quartier de Ménilmontant : France, Belgique, Pays-Bas et Danemark. 
- 
-Lire aussi : 
-Coupe du monde de rugby : 600 000 touristes étrangers attendus, et déjà une flambée des prix de l’hébergement 
-« Sans ce système, partir autant n’aurait pas été possible », assure-t-elle, en précisant que pour un prochain séjour de trois jours à Stockholm avec son mari, elle a d’ailleurs préféré un échange d’appartements à une chambre d’hôtel de 18 mètres carrés à 200 euros la nuit. 
- 
-A l’instar de cette locataire, les Français sont tentés dans un contexte inflationniste, où le prix des hôtels et des locations flambe, à dépasser les freins psychologiques (nécessité de ranger son appartement, peur des vols ou des dommages…) pour troquer leur résidence pendant leurs congés. « Il s’agit du mode le plus économique pour voyager », vante Charles-Edouard Girard, cofondateur de HomeExchange, qui a vu, sur les neuf derniers mois, le nombre de ses adhérents − 143 000 à ce jour dont 40 000 Français − progresser de 40 %. « On constate un vrai regain », confirme de son côté Kristina Caillaud, représentante en France de l’association Intervac, qui recense environ 10 000 adresses. 
- 
-Petits services 
-Dans ce type d’échange, seule l’inscription annuelle est payante, et elle varie selon les sites de 80 à 300 euros. Les locataires − sauf indication spécifique dans leur bail − y sont éligibles dans la mesure où ce dernier n’est pas considéré comme une sous-location. « En échange de maisons, il n’y a pas d’échange financier : c’est comme si vous receviez de la famille ou des amis », indique HomeExchange sur son site. 
- 
-Lire aussi : 
-Un été radieux pour le tourisme en France 
-En cas de détérioration mineure, le site gère un système de caution avec une empreinte de carte bancaire de 500 dollars (470 euros) réclamée à l’invité, comme pour la location d’une voiture. HomeExchange dit s’engager par ailleurs envers les hôtes par le biais d’une couverture dommages matériels allant jusqu’à 1 million de dollars ainsi qu’une couverture en cas de vol. 
- 
-Au-delà du logement, certaines personnes prêtent également leur voiture ou proposent de rendre de petits services, par exemple laisser à disposition une carte d’abonnement Batobus à Paris. « A Seattle, nous avons logé dans un bateau à aubes », se remémore Jean-Michel Chapuis, maître de conférences à la Sorbonne et à l’Institut de recherche et d’études supérieures du tourisme à Paris, qui a mené des enquêtes sur ce mode collaboratif et l’a expérimenté en échangeant sa propre maison : « Les propriétaires nous avaient laissé leur voiture, des vélos, un kayak », détaille-t-il. 
- 
-Un système de points 
-Des économies qui rendent les visiteurs moins regardants sur d’autres dépenses, surtout les familles, plus enclines à plébisciter ce mode de vacances. « A Anvers, nous avons pu vivre dans une maison avec 3 mètres de hauteur sous plafond, un piano, un jardin en plein centre-ville, un poulailler, un trampoline », raconte Samia Fekih, mère de deux très jeunes enfants. 
- 
-Troquer son bien pendant les congés n’est pas une idée nouvelle. Née dans les années 1960 dans les milieux enseignants en Europe puis aux Etats-Unis, elle s’est d’abord propagée de manière artisanale par le biais de listes d’amis et collègues, puis de catalogues, avant que des sites Internet ne s’en emparent dans les années 2000. 
- 
-Lire aussi : 
-Manque de logements en zones touristiques : les mesures du gouvernement jugées « timides » 
-Racheté en 2017 par deux Français, HomeExchange, qui était à l’origine américain, s’est depuis étoffé grâce à l’acquisition de plusieurs sites plus petits, le dernier en date étant, cette année, l’anglais Love Home Swap. Une façon d’élargir le nombre de maisons à disposition (77 % sont des résidences principales) ainsi que les destinations, en tout 135 pays, principalement occidentaux, la France étant le plus important devant les Etats-Unis et l’Espagne. 
- 
-HomeExchange a aussi déployé un système de points qui a accru l’intérêt pour le site. Au-delà du seul troc simultané (sur le même nombre de jours mais aussi aux mêmes dates) ce dernier permet de réaliser un échange différé dans le temps. « En 2018, nous avons pu parcourir, pendant sept à huit semaines, la Côte ouest des Etats-Unis et du Canada, après avoir cumulé pendant deux ans des points en recevant chez nous des personnes sur une semaine ou quinze jours », poursuit M. Chapuis. 
- 
-Le charme de la réciprocité 
-Certains se refusent néanmoins à opter pour ce système de points afin de garder l’esprit des débuts et ne pas rompre le charme de la réciprocité. « C’est justement cela qui me plaît, raconte Stéphanie (qui ne souhaite pas dévoiler son nom). C’est le fait d’échanger les clés, d’arroser les plantes, de prendre soin du lieu tout en sachant que l’autre fera de même chez moi », ajoute-t-elle, estimant que les liens qui se tissent sont à son sens « plus profonds » dans ce cas de figure. Cette possibilité est toujours permise chez HomeExchange, même si le nombre des adhérents tend à décliner et ne représente plus que 10 % du total. 
- 
-Lire aussi : 
-Le tourisme à vélo accélère son essor en France 
-Si l’aspect économique est avancé aujourd’hui comme la première motivation des personnes qui se lancent, il est loin d’être le seul argument. « Le but est aussi et surtout d’aller vers un autre type de tourisme », insiste Charles-Edouard Girard, en étant : « reçu comme un invité ». Preuve en est, essentiellement cantonné aux classes moyennes, ce mode de vacances gagne du terrain, y compris, de manière contre-intuitive, chez les plus riches. Des plates-formes se sont en effet spécialisées dans l’échange de villas de luxe et de biens d’exception… Néanmoins, par cooptation. 
- 
-Marjorie Cessac 
-NOS LECTEURS ONT LU ENSUITE 
-Quand un particulier ignore posséder un trésor et le brade à un brocanteur pour 150 euros 
- 
-Hier à 06h00 
-Entre Gérard Larcher et Emmanuel Macron, un rapport de force permanent 
- 
-Hier à 13h00 
-A Moscou, écrire des cartes postales, « le dernier combat politique autorisé » 
- 
-Hier à 11h52 
-Comment Jordan Bardella tente d’exploiter le thème de l’intelligence artificielle 
- 
-Hier à 00h00 
-L’hydrogène est-il la solution miracle pour la transition énergétique ? 
- 
-Hier à 14h00 
-Le prix Nobel de médecine décerné à Katalin Kariko et Drew Weissman pour leur contribution au vaccin à ARN messager 
- 
-Hier à 11h49 
-CONTRIBUTIONS 
-Bienvenue dans l’espace des contributions 
-Pour améliorer la qualité des échanges sous nos articles, ainsi que votre expérience de contribution, nous vous invitons à consulter nos règles d’utilisation. 
-Voir les contributions 
-</ifauth> 
-</hidden> 
× iphelper toolbox

you see this when javscript or css is not working correct

Untested
IP Address:
First usable:
Subnet:
Last usable:
CIDR:
Amount of usable:
Network address:
Reverse address:
Broadcast address:

elsenews/spot-2023-10/echanges5maisons.1766686212.txt · Dernière modification: 25/12/2025/H19:10:12 de 216.73.216.167