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Angleterre Scandale des Gangs Pakistanais [ElseNews]

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Angleterre Scandale des Gangs Pakistanais

Le Figaro

++++ Le JDD |
Source : https://www.lejdd.fr/societe/angleterre-le-scandale-des-viols-de-masse-par-des-gangs-pakistanais-eclate-au-grand-jour-153497
Angleterre : le scandale des viols de masse par des gangs pakistanais éclate au grand jour
Image d'illustration.
Image d'illustration. © Ukrinform/SIPA
Alice a 13 ans. Cette jeune adolescente anglaise fait le bonheur de sa famille, qui vit paisiblement dans la villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia

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d’Oxford. Brillante, intelligente, elle a la chance d’avoir un petit frère avec qui elle partage son quotidien de collégienne. Mais à 13 ans, Alice est violée à des dizaines de reprises durant deux ans et demi et forcée de se prostituer à des dizaines d’hommes pakistanais. Si elle parle à quelqu’un des actes de torture qu’elle subit, ses bourreaux l’ont avertie : ils tueront son petit frère et brûleront sa maison.

Trois ans plus tard, Alice n’a plus rien à voir avec la fillette qu’elle était. Impuissants, ses parents ont assisté à la transformation de leur enfant, sans rien connaître de l’enfer qu’elle vivait. « Il ne reste plus rien d’elle », explique sa mère, citée dans le délibéré du procès, accessible en ligne. Et de lâcher : « Elle a perdu son âme ! » Dix ans après les faits, celle qui n’est alors plus une adolescente souffre de stress post-traumatique, de crises d’anxiété, de dépression et souhaite mettre fin à ses jours.

Des victimes majoritairement blanches
Mais Alice n’est pas la seule à avoir vécu cet enfer. Elles sont des dizaines – certains disent même des centaines – de milliers, âgées pour la plupart de 10 à 15 ans, à avoir été violées et prostituées durant des années sur le sol britanniques. Deux choses relient ces victimes : leur ethnie et l’origine de leurs violeurs. Car les petites filles et adolescentes n’ont pas été choisies au hasard : quasiment toutes sont blanches, anglaises, et pour la plupart issues de milieu défavorisé. Leurs violeurs eux, sont en immense majorité pakistanais.

Aucune vague de MeToo n’a été lancée, aucune star internationale n’a écrit de message de soutiens pour les fillettes martyres du vivre-ensemble
Ces faits, d’une gravité et d’une ampleur jamais vues, ont pu se produire dans le territoire britannique durant des dizaines d’années dans le plus grand des silences. Aucune vague de MeToo n’a été lancée, aucune star internationale n’a écrit de message de soutien pour les fillettes martyres du vivre-ensemble. Le plus grand scandale que la Grande-Bretagne ait connu a bien failli demeurer dans le silence

Mais en ce début d’année 2025, le milliardaire et soutien de Donald Trump Elon Musk a posté en moins de 24 heures sept messages incendiaires sur ces viols de masses : « Les viols de masse en Angleterre sont toujours en train de se produire… » ; « Aucune enquête gouvernementale britannique sur le viol collectif de petites filles innocentes. […] Honte, Honte, Honte. » Une intervention qui a remis sous le feu des projecteurs l’un des plus grands crimes de l’histoire moderne anglaise

Des alertes dès les premiers cas de viols
Tout commence dans la villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia

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de Rotherham, situé dans le nord-est de l’Angleterre. De 1980 aux années 2010, au minimum 1 500 petites filles issues sont violées et prostituées. Les coupables sont des hommes de tous âges, appartenant en grande majorité à la forte communauté indo-pakistanaise vivant dans cette cité anglaise. Dès les premiers cas de viols, des parents alertent les pouvoirs publics.

« Comme ce sont des Pakistanais, on ne peut pas se permettre que cela se sache »
Mais le profil des individus, faisant partie des « minorités ethniques », dérange les autorités. Se met alors en branle tout une machinerie afin d’étouffer l’affaire. Durant des années (les premières dénonciations datent de 1990), les pouvoirs publics camouflent les faits, livrant par leur silence des centaines de fillettes innocentes aux mains des prédateurs sexuels. « Comme ce sont des Pakistanais, on ne peut pas se permettre que cela se sache », déclarait un haut responsable de police de la villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia

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cité par le Times, ajoutant que la villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia

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« exploserait » si la population apprenait les faits.

Des viols racialistes
Mais en septembre 2012, soit plus de 30 ans après les premiers viols, le journaliste anglais Andrew Nolfok publie dans le Times une enquête accablante, qui dévoile l’étendue des crimes sexuels de Rotherham. La justice est forcée de se saisir de l’enquête, et des dizaines d’arrestations sont effectuées par la police.

Parfois racialistes (divers témoignages rapportent des injures liées à l’origine des victimes), ces viols ont également des liens avec la religion. Un témoignage publié en mars 2018 dans le journal The Independent révèle que certains des bourreaux battaient leurs victimes en récitant des versets du Coran. Plusieurs enquêtes démontrent que les membres des gangs croyaient que les crimes qu’ils commettaient étaient justifiés par leur foi en Allah.

L’adolescente était mère de deux petites filles de son violeur, qui l’avait forcé d’avorter à trois reprises…
En plus des crimes de nature sexuels, les gangs indo-pakistanais n’hésitent pas à assassiner leurs victimes si celles-ci commencent à présenter un danger. À Telford, villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia

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de 160 000 habitants, où plus d’un millier de viols ont été recensés, cinq jeunes filles ont ainsi trouvé la mort. C’est dans cette villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia

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qu’en 2000, Lucy Lowe, 16 ans, a été assassinée, avec sa mère et sa sœur, par son bourreau Azhar Ali Mehmood, qui a incendié leur maison. L’adolescente était mère de deux petites filles de son violeur, qui l’avait forcé d’avorter à trois reprises…

Complicité de la police
Année après année, les révélations s’enchaînent sur les viols de masse commis presque à chaque fois par des groupes de Pakistanais sur des fillettes dans toute l’Angleterre. Rochdale (50 victimes), Huddersfield (22 victimes), Oxford (400 victimes), ou encore Telford (1 000 victimes)….n’en finit pas de s’allonger. Si le nombre de victimes varie, le mode d’action reste le même : es groupes organisés d’hommes entrent en contact avec des fillettes et adolescentes âgées majoritairement de 10 à 15 ans. Après leur avoir promis de l’amour et des cadeaux, ils leur proposent de la drogue afin de pouvoir les violer à leurs aises.

Les autorités ont identifié près de 200 auteurs, mais n’ont procédé en tout et pour tout qu’à sept arrestations !
Une fois que les enfants sont sous leur domination, ils les mettent en vente via un réseau de prostitution. Menaçant de les tuer si elles racontent les atrocités qu’elles subissent, les jeunes filles n’osent se confier à leurs parents ou à la police.

Au pays de Sherlock Holmes et de Scotland Yard, les forces de l’ordre brillent alors par leur inefficacité. À Telford, rappelle Marianne, la police aura refusé à cinq reprises d’ouvrir une enquête à propos de ces viols de masse. Pourtant, entre 2007 et 2009, les autorités ont identifié près de 200 auteurs, mais n’ont procédé en tout et pour tout qu’à sept arrestations !

La fin d’une omerta ?
En janvier 2019, lors d’un débat à la Chambre des Lords, Lord Pearson (UKIP) tente de briser l’omerta : « Il semblerait que plus de 250 000 jeunes filles blanches aient été violées au cours de ce siècle, principalement par des hommes musulmans », lance le vieil homme politique devant une assemblée d’une glaçante d’impassibilité.

Cinq ans plus tard, et sans que rien ne l’ait annoncé, il semblerait que l’heure soit venue de régler cette affaire monstrueuse et de rendre justice aux milliers de victimes. En ce début d’année 2025, les viols de masse en Angleterre font partie des sujets les plus abordés sur le réseau social X

Tommy Robinson, principal lanceur d’alerte à propos de ces viols de masse dort toujours en prison
Une partie de la classe politique britannique s’est emparée du sujet. La cheffe du Parti conservateur Kemi Badenoch a par exemple appelé sur X à ce qu’une enquête nationale soit ouverte. De son côté, Tommy Robinson, principal lanceur d’alerte à propos de ces viols de masse, dort toujours en prison, poursuivi pour avoir « diffamé » un réfugié syrien.

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