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sont une (ré)invention nazie

Clara Martinot

audiovisuel public Extrême droite fascisme france info nazisme

Franceinfo a raison : nos marchés de Noël ont bien un lien avec les Nazis ! N’en déplaise à l’extrême droite qui souhaite réécrire l’histoire en attaquant au passage le service public.


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https://www.franceinfo.fr/replay-magazine/


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“Cash Investigation” révèle la manière dont Bernard Arnault a pu s’emparer, à ses débuts dans les années 1980, du groupe de textile Boussac et de sa pépite, Dior, grâce à l’aide de l’État et à des centaines de millions d’euros de subventions publiques. Le montant n’avait jusque-là jamais été révélé. Une enquête à voir le 4 décembre 2025, sur France 2.

Christian Dior Couture est une marque chère au cœur de Bernard Arnault. Car c'est grâce à son acquisition, en 1984, que l'entrepreneur a fait son entrée dans le luxe, cinq ans avant de prendre le contrôle de LVMH. C'est le nom mythique de Christian Dior, le célèbre couturier, qui a poussé Bernard Arnault à se lancer dans cet univers du luxe. À l'époque, Dior Couture appartient à un conglomérat industriel spécialisé dans le textile, le groupe Boussac qui, comme l'ensemble de la filière européenne, fait face à de sérieuses difficultés économiques. Bernard Arnault s'en est emparé sur un coup de dés. Et surtout, grâce à l'aide de l'État.

Pour comprendre comment s'est passée l'opération, “Cash Investigation” s'est rendu à la bibliothèque de Sciences Po, à qui l'ancien patron du groupe Boussac a légué l'ensemble de ses archives. Des milliers de documents racontent l'histoire de l'ensemble Boussac-Willot, géant textile qui employait 17 000 salariés. Un vieil empire avec des filatures et des tissages à l'équipement souvent vétuste, qui se trouvait au bord de la faillite au début des années 1980.

Boussac, une affaire en or pour “Tintin”

Pour sauver les emplois, l’État est devenu actionnaire du groupe Boussac et cherche un repreneur. Ce sera Bernard Arnault, un homme encore jeune, 35 ans, sorti de Polytechnique en 1971, fils d’un chef d’entreprise du Nord, Jean, et doté d'un goût prononcé pour les affaires. À l'époque, la presse le surnomme “Tintin”. Et très vite, “Tintin” impose son autorité aux pouvoirs publics. Il apparaît alors comme le “sauveur de Boussac”. Mais comment cette opération financière s'est-elle passée ?

“Cash Investigation” a retrouvé une lettre de Bernard Arnault, datée du 16 décembre 1984 et adressée à Laurent Fabius, Premier ministre de François Mitterrand (1984-1986) élu quelque trois ans plus tôt. Il y demande à l’État de l’aider financièrement. Dès le lendemain, le gouvernement accepte et “Tintin” est adoubé. 

Plus de subventions publiques que d'investissement

Mais dans tous ces documents examinés par “Cash Investigation”, aucune trace du chiffre exact des subventions allouées à Bernard Arnault. Il a donc fallu se rendre aux archives du ministère de l’Économie. Et là, l'équipe du magazine a déniché une note qui récapitule tout, un document exclusif qui n’a jamais été révélé jusqu'à présent. On y découvre ce qu’a coûté Boussac à Bernard Arnault… et ce qu’il a reçu en aides publiques.

On y apprend notamment que l’entreprise des Arnault, qui se prénomme à l’époque Ferinel, a acheté le groupe Boussac pour 400 millions de francs, l’équivalent de 133 millions en euros constants. Quant aux aides de l’État, elles s’élèvent à 633,1 millions de francs, l’équivalent de 211 millions en euros constants. Ainsi, pour bâtir son empire, Bernard Arnault a reçu plus de subventions que ce que lui a coûté l’entreprise. Le brillant financier semble avoir fait une excellente affaire.

Quarante ans plus tard, le 21 mai 2025, quand Bernard Arnault est auditionné au Sénat dans le cadre de la commission d’enquête sur les aides publiques aux grandes entreprises, on pourrait s’attendre à un hommage digne de ce nom. Pourtant, le milliardaire déclare : “Je crois qu'il est très mauvais pour l'État de se mêler de la gestion des entreprises privées. En général, cela mène à la catastrophe.” Aurait-il la mémoire courte ?

À noter, en 1995, la Commission européenne a obligé LVMH, entre-temps devenu le groupe de Bernard Arnault, à rembourser une partie de ces aides publiques, pour non-respect de la réglementation des aides d'Etat.

“Cash Investigation” a sollicité LVMH à de nombreuses reprises, qui n’a pas souhaité répondre.

Extrait de “Bernard Arnault, ombre et lumière d’un empire”, une enquête de Mathieu Robert à voir dans “Cash Investigation” le 4 décembre 2025.

Les replays des magazines d'info de France Télévisions sont disponibles sur le site de Franceinfo, rubrique “Les émissions”.


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L’Insee a publié ce mardi 19 novembre 2025 son nouveau portrait social de la France. Et un volet entier de ce document annuel se penche sur un groupe minuscule… mais particulièrement scruté : les foyers fiscaux à très hauts revenus, les salariés les mieux payés et les ménages cumulant haut niveau de vie et haut patrimoine.

Au sommet de la pyramide, un profil domine nettement : homme, plus de 50 ans, sans enfant, cadre ou indépendant, et vivant le plus souvent en Île-de-France. Une photographie précise d’une France qui, d’après l’Insee, continue de voir ses écarts de richesse se creuser.

Un club très fermé

En 2022, seulement un foyer fiscal sur 1.000 - un peu plus de 40.000 ménages - entre dans la catégorie des « très hauts revenus », soit plus de 463.000 euros annuels. Presque la moitié habite l’agglomération parisienne et 82 % sont composés d’un couple marié ou pacsé.

Leur particularité ? Des revenus extrêmement diversifiés : salaires ou pensions, bénéfices professionnels, revenus fonciers, dividendes, assurance vie, actions, part de sociétés… Les plus riches ne dépendent pas d’une seule source, ce qui les rend plus sensibles aux crises, mais aussi plus réactifs lorsque les marchés se retournent en leur faveur.

Et l’écart avec le reste de la population se creuse : en 2003, ces foyers gagnaient 21 fois plus que la moyenne. En 2022 : 31 fois plus. Comparés aux foyers les plus modestes, l’écart passe même de 95 fois à… 167 fois.

Les salaires stratosphériques : footballeurs, patrons et cadres du privé

L’Insee consacre également un chapitre aux très hauts salaires. Il s’agit ici des 1% de postes les mieux rémunérés du secteur privé : au-delà de 10.219 € nets mensuels en 2023. Dans le top 0,1 %, cette rémunération grimpe à au moins 27.066 € net par mois.

Dans ce classement, un tiers des 100 postes les mieux payés sont occupés par des joueurs de Ligue 1, suivis par les dirigeants d’entreprise et les cadres très haut niveau. Les femmes y restent minoritaires : 10 % dans le top 100, 24 % dans le top 1 %. Un déséquilibre massif qui « contribue nettement à augmenter l’écart salarial entre femmes et hommes », rappelle l’Insee.

Les salariés très bien payés se montrent par ailleurs très stables : 77 % d’entre eux occupaient déjà leur poste l’année précédente.

Patrimoine : la frontière la plus inégalitaire

Dernier volet : les ménages cumulant haut patrimoine et haut niveau de vie. Ils représentent 1,6 million de ménages, soit 5,3 % de la population. Leur profil ressemble à celui des très hauts revenus : cadres ou indépendants dans 58 % des cas, vivant pour près de la moitié sans enfants, et très souvent en région parisienne.

Pour appartenir à ce groupe, il faut plus de 716.300 € de patrimoine brut et un niveau de vie annuel supérieur à 39.100 €. Leur patrimoine médian est 6,7 fois supérieur à celui de l’ensemble des ménages. Un écart qui s’explique notamment par le poids massif de l’héritage : 62 % déclarent avoir reçu au moins une transmission au cours de leur vie, contre 39 % dans la population générale.

L’Insee observe également que le patrimoine de ces ménages est plus diversifié : l’immobilier reste dominant, mais les placements financiers et le patrimoine professionnel pèsent davantage que chez les autres ménages.


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«273 morts contre 1 million» : le militant écologiste Cyril Dion fait polémique en comparant terrorisme et pollution

Invité lundi soir sur France 5 pour commenter l’ouverture de la COP 30 au Brésil, Cyril Dion a comparé «la pollution de l’air» et «le terrorisme islamiste», estimant la première bien plus dangereuse que le second. Un syndicat policier dénonce la «terrible indécence de cette comparaison».

Invité par France 5 dans l’émission «C dans l’air», le militant écologiste Cyril Dion commentait lundi soir 10 novembre l’ouverture de la COP 30 au Brésil et faisait part de sa préoccupation face au changement climatique et à la pollution. À cette occasion, il s’est fendu d’une comparaison jugée maladroite par de nombreux internautes : «Le terrorisme islamiste, ça a fait 273 morts en France, la pollution de l’air ça a fait entre 500.000 et 1 million de morts en dix ans. Qu’est ce qui nous rend le plus en insécurité ?», s’est-il interrogé en direct.

Cette phrase faisait suite à une analyse dans laquelle il entendait montrer l’intérêt électoral de défendre l’écologie. «Aujourd’hui, pour vous, l’écologie, c’est plus porteur électoralement ?», lui demandait la présentatrice Caroline Roux dans le contexte des élections municipales. «Ça pourrait être tellement porteur, a répondu Cyril Dion. Si on déplaçait le sujet de la sécurité en se disant : en fait, être en sécurité, est-ce que ce n’est pas de boire de l’eau du robinet sans pesticide, sans polluants éternels ? Que quand on sort dans les villes, on ne meure pas de la pollution de l’air, de maladies cardiovasculaires ?». C’est cette digression sur la sécurité qui l’a conduit à comparer terrorisme et pollution, à l’aune du nombre de morts causés par chacun (sans préciser l’origine du chiffre cité sur la mortalité liée à la pollution de l’air).

Face à cette réponse, la journaliste a évoqué alors le 10e anniversaire des attentats du 13 novembre, qui sera célébré ce jeudi : «Nous sommes à la veille de l’anniversaire malgré tout des attentats du Bataclan qui a heurté le pays, mais vous dites qu’il faut mener ce combat pour la sécurité alimentaire et du quotidien ?» s’est-elle offusquée.

Entre autres réactions suscitées par l’extrait, le Syndicat des Cadres de la Sécurité Intérieure (SCSI), qui représente les officiers et commissaires de police, a dénoncé sur son compte X la «terrible indécence de cette comparaison par l’écologiste Cyril Dion qui minimise le terrorisme islamiste par rapport au réchauffement climatique».

«273 morts contre 1 million» : le militant écologiste Cyril Dion fait polémique en comparant terrorisme et pollution


vous savez tres bien ce quil y a demain reveillez-vous les legislatives au cœur de lhommage a nahel-90e2af3bad2afdf3

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Un an après la mort de Nahel, tué le 27 juin 2023 par un policier après un refus d’obtempérer, près d'un millier de personnes lui ont rendu hommage samedi à Nanterre lors d'une marche silencieuse. Le cortège s'est élancé aux alentours de 14h30 pour rejoindre la place Nelson Mandela, où l'adolescent est mort il y a un an. En tête, une dizaine d’amis du jeune homme entouraient sa mère, Mounia Merzouk, derrière une banderole réclamant «Justice pour Nahel et pour tous les autres».

Très émue, Mounia Merzouk a remercié les participants et invoqué la mémoire de son fils, «joyeux, serviable» et «tout le temps souriant» dont le surnom était «oui, oui» car «il ne savait pas dire non». «Moi quand je rentre chez moi, j'ai plus personne, j'ai plus mon bébé», a-t-elle raconté, exigeant que «justice soit faite». «La vie de nos enfants dans les quartiers a de la valeur (…) Peu importe ce qu'on fait, on ne peut pas retirer un enfant comme ça. C'est impardonnable. (…) Nahel il ne savait pas qu’il allait se faire tuer. Peut-être arrêter, aller en prison, une garde à vue, se faire frapper, pas de problème, j’aurais accepté. Mais une balle ? Non…, non, une mère n’accepte pas ça. Perdre un enfant qui venait d’avoir dix-sept ans, qui était pressé de passer son permis pour être dans les règles ? Non…»

Selon d’autres extraits qui circulent sur X, la mère de Nahel a aussi ajouté : «Refus d'obtempérer ? Qui n'en fait pas dans la vie ?… Qui ne conduit pas sans permis ? Dites-moi… On a tous essayé de conduire en défaut de permis».

«Contre l’oubli»

Dans la marche, où aucun policier n'était visible, Fatma, une militante au sein du collectif Urgence Palestine du 18e arrondissement de Paris qui a préféré taire son nom, est venue à Nanterre «contre l'oubli». «Il n'y a rien, pas de procès, le policier est libre et Nahel ne reviendra pas», a-t-elle déploré.

«On a l'impression que c'est un éternel recommencement donc on est là pour dire qu'on n'a pas oublié, pour réclamer justice pour Nahel», a renchéri Bouna Mbaye, 33 ans auprès de l’AFP. «Les violences et les crimes policiers ont pour victimes des gens qui ont une certaine couleur, ce n'est pas un hasard», a asséné le jeune homme, keffieh sur les épaules. Tout au long du parcours, le premier tour des élections législatives programmé dimanche était dans la tête des manifestants.

«Je suis extrêmement inquiète de la montée du fascisme qui va forcément rendre nos forces de l'ordre encore plus répressives», a confié Messaouda, une éducatrice de 38 ans venue de Lyon avec une pancarte «refus d'obtempérer au racisme et aux violences policières». Mounia Merzouk a elle aussi évoqué l'échéance électorale de dimanche en appelant les jeunes à «se réveiller». «Vous savez très bien ce qu'il y a demain, réveillez-vous, il faut éviter les morts (…) il faut protéger nos enfants», a-t-elle lancé. La marche, qui a ressemblé 650 personnes selon la préfecture de police, s'est terminée dans le calme vers 16h30 aux cris de «Justice pour Nahel !» ou «Pas de justice, pas de paix !»

Émeutes d'une ampleur exceptionnelle

Nahel a été tué le 27 juin 2023 d'une balle tirée à bout portant par un policier motocycliste qui contrôlait le véhicule qu'il conduisait. D'après des éléments de l'enquête, le véhicule conduit par Nahel avait été arrêté par la circulation après un refus d’obtempérer.

L'auteur du coup de feu, Florian M., motard âgé de 38 ans au moment des faits, a été mis en examen pour meurtre et incarcéré pendant cinq mois. Il a été libéré et placé sous contrôle judiciaire en novembre après plusieurs demandes de son avocat. Sa détention provisoire avait atteint «un record de longévité dans une affaire de violences policières», remarquait une source proche de l'enquête jointe par Le Figaro , en novembre 2023. .

Une reconstitution des faits a eu lieu le 5 mai dernier: en présence de leurs avocats, le policier auteur du tir, son collègue présent ce jour-là et plusieurs témoins ont été confrontés leurs déclarations, notamment pour établir si Florian M. était en danger de mort.

La mort de Nahel a entraîné des émeutes d'une ampleur exceptionnelle à travers toute la France. Bâtiments publics attaqués, écoles et tribunaux brûlés, magasins pillés: un rapport du Sénat a estimé que les dégâts causés par les émeutes, moins longues mais plus intenses que celles de 2005, avaient coûté un milliard d'euros.

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ens/daily_notes.txt · Dernière modification: 09/06/2024/H10:36:22 de jeannot