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Les petites mains et l’ombre de la DZ Mafia : comment Clermont-Ferrand est tombée dans les griffes du narcotrafic

Un geste de la tête suffit à montrer le chemin. Si tu veux ta came, c’est par là. Le garçon, assis sur un banc, maillot de foot rose, roule son joint et joue les guides. À deux pas de l’avenue Charras, qui relie la gare au centre-villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia

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, le point de deal le plus visible de Clermont-Ferrand s’essouffle, sans pour autant s’éteindre complètement. Cet après-midi-là, Hafid (tous les prénoms ont été modifiés) grimace.
La présence policière rend la vente moins lucrative, le four (point de vente) ne tourne plus qu’à 2.000 euros par jour contre 10.000 cet été. Et la paie du jeune guetteur en souffre, lui qui a été contraint de quitter le point de deal de la Gauthière, le plus important de la métropole, il y a trois mois.
“150 et 200 euros par jour”
« J’espère pouvoir y retourner bientôt, on est mieux là-bas. Ici, j’alterne entre charbonneur (vendeur) et chouf (guetteur) et je touche entre 150 et 200 euros par jour quand je suis en TP. » Comprendre à temps plein. Il arrive à ce jeune de 16 ans de prendre des demi-journées pour ses rendez-vous avec la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ). « La galère hein. »
Un client passe, il l’oriente quelques rues plus loin. La conversation s’interrompt lorsque des policiers contrôlent la petite bande de mineurs. « Tu sais que tu n’as rien à faire ici, tu changes de coin. On te respectera quand tu nous respecteras », le toise un fonctionnaire. Hafid s’engouffre dans une allée et s’évapore.
Les petites mains de la fourmilière
Aux abords de chaque point de deal de la villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia

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, l’âge des petites mains interpelle. Des adolescents gravitent et forment les rangs de ces PME du trafic de stupéfiants en pleine croissance. Une nuit d’été, un guetteur d’à peine 12 ans usait ses baskets et sa voix à deux heures du matin, dans le quartier de la gare. Assistantes sociales dans des collèges de la métropole, Clémentine Couderc et Manon Delcher sont en première ligne face au phénomène. Elles sont stupéfaites par l’ampleur :
« On a des primaires de CM1-CM2 qui guettent, donc quand ils arrivent au collège ils sont déjà bien ancrés dans le système. Même les parents nous alertent, les enfants sont recrutés dans l’établissement. »
Clémentine Couderc et Manon Delcher (Assistantes sociales et co-secrétaires SNPES-PJJ/ FSU)
Il arrive que des adolescents reprennent leur semaine de cours après un week-end en garde à vue. L’académie a été alertée, mais une fois le premier pied posé dans le réseau, il est déjà trop tard.
Parce que « la pratique s’est trop bien développée, analyse un avocat clermontois, rodé aux stups, ils prennent des mineurs sur des périodes de 10-15 jours, ils se font de l’argent facilement, le dépensent dans des virées, et reviennent. »
“On est là, posés, on regarde ce qui se passe”
Logés dans des hôtels ou des Airbnb, ils glissent progressivement dans le trafic, se désocialisent, et deviennent insaisissables. « On fait rien de mal, on est là, posés, on regarde ce qui se passe », sourit l’un d’eux, assis sur la passerelle de Croix-de-Neyrat, l’un des spots des quartiers nord.
Derrière la partie visible, les grappes de dealers qui gravitent sur les points de vente, se cache une organisation tentaculaire, ficelée comme une entreprise. Cette pratique déjà appliquée dans d’autres métropoles gangrenées par le trafic de stups comme Marseille, Lyon ou Grenoble, rattrape désormais Clermont-Ferrand.
Sur les points de deal, l'organisation s'est professionnalisée.
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a été rattrapée brutalement par la violence du trafic de stupéfiants après une série de meurtres et de fusillades. La population découvre un système à l’efficacité redoutable. Dans les quartiers les plus pauvres, de très jeunes hommes, souvent mineurs, sont les petites mains de puissantes organisations prêtes à tout pour préserver leurs intérêts.
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Par Malik Kebour

Publié le 17 septembre 2025 à 07h01
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Un geste de la tête suffit à montrer le chemin. Si tu veux ta came, c’est par là. Le garçon, assis sur un banc, maillot de foot rose, roule son joint et joue les guides. À deux pas de l’avenue Charras, qui relie la gare au centre-villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia

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, le point de deal le plus visible de Clermont-Ferrand s’essouffle, sans pour autant s’éteindre complètement. Cet après-midi-là, Hafid (tous les prénoms ont été modifiés) grimace.

La présence policière rend la vente moins lucrative, le four (point de vente) ne tourne plus qu’à 2.000 euros par jour contre 10.000 cet été. Et la paie du jeune guetteur en souffre, lui qui a été contraint de quitter le point de deal de la Gauthière, le plus important de la métropole, il y a trois mois.

“150 et 200 euros par jour”
« J’espère pouvoir y retourner bientôt, on est mieux là-bas. Ici, j’alterne entre charbonneur (vendeur) et chouf (guetteur) et je touche entre 150 et 200 euros par jour quand je suis en TP. » Comprendre à temps plein. Il arrive à ce jeune de 16 ans de prendre des demi-journées pour ses rendez-vous avec la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ). « La galère hein. »

Un client passe, il l’oriente quelques rues plus loin. La conversation s’interrompt lorsque des policiers contrôlent la petite bande de mineurs. « Tu sais que tu n’as rien à faire ici, tu changes de coin. On te respectera quand tu nous respecteras », le toise un fonctionnaire. Hafid s’engouffre dans une allée et s’évapore.

Les petites mains de la fourmilière
Aux abords de chaque point de deal de la villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia

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, l’âge des petites mains interpelle. Des adolescents gravitent et forment les rangs de ces PME du trafic de stupéfiants en pleine croissance. Une nuit d’été, un guetteur d’à peine 12 ans usait ses baskets et sa voix à deux heures du matin, dans le quartier de la gare.
Assistantes sociales dans des collèges de la métropole, Clémentine Couderc et Manon Delcher sont en première ligne face au phénomène. Elles sont stupéfaites par l’ampleur :

« On a des primaires de CM1-CM2 qui guettent, donc quand ils arrivent au collège ils sont déjà bien ancrés dans le système. Même les parents nous alertent, les enfants sont recrutés dans l’établissement. »
Clémentine Couderc et Manon Delcher (Assistantes sociales et co-secrétaires SNPES-PJJ/ FSU)
Il arrive que des adolescents reprennent leur semaine de cours après un week-end en garde à vue. L’académie a été alertée, mais une fois le premier pied posé dans le réseau, il est déjà trop tard.

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Parce que « la pratique s’est trop bien développée, analyse un avocat clermontois, rodé aux stups, ils prennent des mineurs sur des périodes de 10-15 jours, ils se font de l’argent facilement, le dépensent dans des virées, et reviennent. »

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“On est là, posés, on regarde ce qui se passe”
Logés dans des hôtels ou des Airbnb, ils glissent progressivement dans le trafic, se désocialisent, et deviennent insaisissables. « On fait rien de mal, on est là, posés, on regarde ce qui se passe », sourit l’un d’eux, assis sur la passerelle de Croix-de-Neyrat, l’un des spots des quartiers nord.

Derrière la partie visible, les grappes de dealers qui gravitent sur les points de vente, se cache une organisation tentaculaire, ficelée comme une entreprise. Cette pratique déjà appliquée dans d’autres métropoles gangrenées par le trafic de stups comme Marseille, Lyon ou Grenoble, rattrape désormais Clermont-Ferrand.

Sur les points de deal, l'organisation s'est professionnalisée.
« Il y a des donneurs d’ordre, souvent à l’étranger et sur place, une répartition des tâches avec des “choufs” qui servent de fusibles, détaille le pénaliste. Le turnover est hyperimportant, c’est une fourmilière. Tu peux en attraper trois par jour, ça ne change rien, il y en a dix qui repoussent. Tout cela n’existait pas il y a quelques années. »

Jamais le système n’avait été aussi sophistiqué.

« On fait les 3×8, c’est comme l’usine, mais on n’est pas à l’usine, s’amuse Amin, 17 ans. C’est un vrai boulot, on gagne de l’argent, on a des missions, on doit rendre des comptes. C’est pas un jeu, mais quand t’as pas de papiers, t’as pas le choix. »
Amin (Guetteur)
Lui, charbonne ce matin de septembre dans l’un des fours de la villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia

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. Ses collègues gravitent, se déplacent en trottinette, transportent la marchandise en petite quantité d’un point A à un point B, récupèrent la monnaie, puis repartent. Les nourrices sont réparties partout autour, de la plus pratique à la plus pressée. Dans des appartements, dans les tuyaux d’aération, sous un toit ou des voitures, des commerces. Des éboueurs ont découvert de la drogue dans des poubelles, des enfants en ont retrouvé dans des buissons.

De 15 à 70 ans : une clientèle aux mille visages
Quartier le plus pauvre de la villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia

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, la Gauthière concentre entre ses barres d’immeubles la mutation du narcotrafic clermontois. Ici, à la « ZUP » (zone urbaine prioritaire), tourne 24 h/24 et 7/7 le four le plus lucratif de Clermont-Ferrand. Il a germé comme les petits commerces de la zone, derrière l’épicerie.

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À quelques mètres d’une crèche, une file d’attente donne à voir la société clermontoise dans toutes ses nuances. « Ici, tu viens aux heures de pointe, le matin avant le boulot, le soir en rentrant, tu vois un monde fou, glisse une petite main. Il y a tous les âges, de 15 à 70 ans, tous les métiers. »

La Gauthière abrite un “drive” de la drogue très lucratif, sept jours sur sept. Photo Rémi Dugne
Une fin d’après-midi de septembre, un ballet de berlines succède à des consommateurs à vélo sur ce drive occupé par une quinzaine de jeunes, des employés du deal et leurs amis. « Tu sais que certains viennent même avec leurs enfants?? », soupire un habitué du coin. Cette ubérisation permet au four de la ZUP de tourner aux alentours de 45.000 euros par jour selon les estimations de plusieurs sources.

À quelques mètres, dans le bar, la vie suit son cours. L’avant-veille, le 30 août, une énième fusillade a réveillé les HLM. On se fait tourner la vidéo des tirs, comme si plus rien ne pouvait sidérer les habitants. Ils en ont vu d’autres. Un père confie avoir éloigné son fils, « ils voulaient stocker la drogue chez lui, ils ont retourné tout l’appartement, il fallait qu’il parte ».

Depuis l'exécution de “Raouf”, un quartier traumatisé
La Gauthière est un quartier traumatisé où le vivre ensemble défendu par une flopée d’associations recule à chaque fois que la violence surgit. Dans l’ombre, la maison de quartier Nelson-Mandela tente de reprendre la main et du terrain sur le trafic en maintenant le dialogue avec les jeunes d’une cité où 37 % des habitants ont moins de 24 ans. Non sans mal. Ces derniers mois, de nouveaux visages ont quadrillé le secteur, un trombinoscope les aide à surveiller qui entre et sort.

Les tourments actuels de Clermont-Ferrand, frappée par une série inédite de règlements de comptes barbares depuis moins d’un an, trouvent en partie leurs racines ici, à la Gauthière. Le 4 septembre 2019, Abdéraouf Baïche dit « Raouf », figure du trafic de stups clermontois, est tué d’une dizaine de balles dans la tête. Son exécution va bouleverser l’alléchant marché clermontois et ouvrir l’appétit à d’autres entrepreneurs du stup.

Lutte mortelle inédite et petites annonces
« Les règlements de comptes des derniers mois ne pas sont tous liés, observe un connaisseur du milieu local. Il y a plusieurs histoires qui se déclenchent au même moment, c’est une guerre de territoire, elle n’est pas terminée. » Une lutte armée inédite qui place la villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia

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dans la lignée de métropoles secouées par de telles fusillades à l’image de Dijon, Rennes, Grenoble ou Avignon. En six mois, quatre hommes ont été tués dans la capitale auvergnate.

« Même les anciens voyous ne comprennent pas cette hyperviolence, concède un avocat habitué à ces dossiers. Il n’y a plus de règles, la vie n’a plus de valeur. Il y avait une déontologie qui n’existe plus. »
Un avocat de Clermont-Ferrand
Là aussi, le système bénéficie d’une logistique à l’efficacité redoutable. Des petites annonces circulent sur Telegram ou Snapchat, des VTC viennent récupérer la main-d’œuvre à des centaines de kilomètres pour des tâches précises. « Il ne manque que les contrats de travail », se désole une source.

Sur ce modèle, les missions les plus violentes peuvent se monter avec agilité. « Un gars peut venir pour une opération courte, rafaler par exemple, il fait un petit stage ou pas, s’équipe d’une kalach, retrouve un chauffeur et débarque pour tirer. » Avec pour écueil une réalisation parfois amatrice, certains se retrouvant embarqués sans avoir jamais utilisé d’arme à feu.

La fin du business local
Longtemps, les points de deal des quartiers nord, de Saint-Jacques ou de la Gauthière sont restés des chasses gardées, chacun gérant son business. Une époque révolue. « Cela s’est nationalisé voire internationalisé, on a basculé vers autre chose », dépeint un observateur avisé, persuadé que la réputation d’un marché clermontois juteux s’est propagée dans le pays.

« C’est fini le temps où un acteur local important allait lui-même, en indépendant, acheter quelques kilos à un revendeur à Lyon, puis faire son affaire ici, décrypte le procureur de la République de Clermont-Ferrand Éric Serfass, arrivé début septembre. Ce n’est plus un trafic de caves d’immeubles, c’est une organisation criminelle qui maîtrise la totalité des échelons. Aucun acteur de ce trafic n’est libre de son action, même s’il est d’ici, il est totalement dépendant, il en est même l’esclave. »

Points de deal convoités et hyperviolence
L’illustration de cette mondialisation se lit au bas de l’échelle, les ouvriers du deal ne sont plus seulement de jeunes locaux, happés par la rue. Ils sont de plus en plus nombreux à débarquer du sud de la France, de l’étranger, des régions lyonnaise ou parisienne.

Les rapports de force sur les points de deal suivent la même logique avec des déstabilisations et des convoitises venues de l’extérieur, comme les milieux lyonnais ou grenoblois. La nuit du 12 au 13 août, une violente fusillade a opposé un Clermontois à deux Avignonnais dans le quartier de Croix-de-Neyrat.

Quatre hommes sont morts en 2025, dont deux dans des conditions semblables à des “barbecues” marseillais. Photo Fred Marquet
Le corps de l’un d’eux a été retrouvé calciné à l’arrière d’une voiture. Cette vieille pratique marseillaise du « barbecue » avait déjà marqué les esprits trois mois plus tôt, à quelques centaines de mètres. Le cadavre encore chaud de W., 16 ans, avait été retrouvé au petit matin à moitié brûlé, un couteau dans la tête.

L’ombre des Marseillais de la DZ Mafia
Les vidéos et récits de ces crimes aux méthodes barbares sur fond de narcotrafic questionnent l’origine de cette violence inédite. Depuis des mois plane le spectre de la DZ Mafia. Cette organisation criminelle est devenue incontournable dans le trafic de stupéfiants depuis 2023 et sa victoire dans une guerre des clans à Marseille.

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Corps calcinés, fusillades… Clermont-Ferrand plongée dans l'“hyperviolence” du trafic de drogue
Si la « DZ » n’a jamais revendiqué ou laissé d’indice visible à Clermont-Ferrand, elle est scrutée dans le milieu où elle suscite craintes et fantasmes. « Depuis le début de l’année, beaucoup sont convaincus qu’elle est sur le marché, glisse un connaisseur. Mais il est difficile de savoir dans quelle mesure. »

La « DZ » peut tisser sa toile par des conquêtes de points de deal, mais aussi sous la forme de soutien et d’alliances de groupes locaux.

« Il n’est pas exclu que certains se servent de ce nom pour faire peur, c’est avant tout une marque connue qui peut être instrumentalisée. »
Source policière
Prudent, le procureur Eric Serfass dépeint « un label qui fait peur, qui sert peut-être à intimider les concurrents du narcotrafic ». Mais, selon le magistrat spécialisé dans la lutte contre la criminalité organisée, « il est certain que la DZ Mafia s’intéresse à Clermont-Ferrand ».

La question de la forme et des proportions semble davantage préoccuper les enquêteurs. D’autant que, si le label « DZ Mafia » est identifiable par son nom, d’autres anonymes n’en sont pas moins influents.

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