Publié le 12 mars à 20h26, mis à jour le 13 mars à 10h24
Sur cette image, diffusée par le ministère russe de la Défense le 6 février, un lance-roquettes Ouragan tire vers des positions ukrainiennes dans la région de Koursk. Russian Defense Ministry Press Service via AP
RÉCIT - L’offensive lancée en août dernier devait procurer à l’Ukraine une monnaie d’échange pour les territoires occupés par la Russie dans le cadre de négociations.
Les forces ukrainiennes cèdent du terrain dans la région de Koursk, sous la pression croissante de l’offensive russe lancée le 7 mars. Leur commandant en chef a annoncé un repli, mercredi. Le ministère de la Défense russe a affirmé avoir fait prisonniers 430 soldats ukrainiens et repris une douzaine de localités et plus de 100 km² de territoire, dont le centre-villeplugin-autotooltip__blue plugin-autotooltip_bigWikikPedia
WikikPedia de Soudja, principale base ukrainienne dans la région. « Les Russes exercent une pression maximale sur nos troupes », a reconnu mercredi le président ukrainien lors d’une conférence de presse à Kiev. « Le commandement militaire fait ce qu’il doit faire : préserver autant que possible la vie de nos soldats », a-t-il ajouté, admettant à demi-mot la précarité de la situation pour les quelque 10.000 soldats ukrainiens encore sur place.
En difficulté depuis l’automne, le dispositif ukrainien a été lourdement enfoncé depuis le 7 mars, quand les Russes ont lancé une nouvelle offensive. Selon les premières informations…
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